Auteurs contemporains

Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine

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Jean Echenoz - ensemble de l'oeuvre

Documentation critique

FARIA , Dominique Almeida Rosa de, « Vraisemblance et ‘illusion auctoriale’ dans le roman contemporain », Carnets [en ligne], nº 3 (2011), p. 175-183. +++ Article de revue

### Résumé

« Les romans contemporains – dont ceux de Jean Echenoz et de Jean-Philippe Toussaint – attirent constamment l’attention sur le caractère construit et artificiel du récit et ont recours à des procédés de réécriture qui fonctionnent comme des clins d’œil au lecteur, chez qui ils produisent une sensation de complicité avec l’auteur. L’accent y est donc mis sur la présence de l’autorité romanesque plutôt que sur le caractère vraisemblable du monde fictionnel: c’est cette voix qui s’adresse directement au lecteur et la situation d’énonciation qui deviennent vraisemblables et qui assurent ce que l’on appellera une “illusion auctoriale”, c’est-à-dire une croyance en un contact ou une relation directe entre lecteur et auteur. »

FARIA, 2011, HTML###

FARIA , Dominique Almeida Rosa de, « Mutations du roman français depuis les années quatre-vingt : le parcours de Jean Echenoz », Carnets [en ligne], nº 10-11 (2011), p. 19-26. +++ Article de revue

### Résumé

« Le parcours littéraire de Jean Echenoz coïncide avec les principales mutations du roman français depuis les années quatre-vingt. Lorsque cet auteur publie son premier roman, en 1979, les annonces de la mort du roman abondent dans la presse littéraire. L’aspect formel joue un rôle central dans ses premiers textes. Dans une deuxième étape de son travail (après Un An,1997), Echenoz construit dans ses ouvrages un équilibre solide entre le travail formel et le soin apporté à l’organisation de l’intrigue. C’est alors que la qualité de son travail commence à être signalée. Depuis Ravel (2006), une troisième étape commence: Echenoz participe à cette tendance au retour du sujet que l’on remarque chez un grand nombre de ses contemporains, écrivant des biographies fictionnelles de personnalités historiques. De nos jours, il est considéré comme l’un des plus importants auteurs français contemporains, et la vitalité du roman français est partout reconnue. »

FARIA, 2011, PDF###

KARTAL GÜNGÖR, Tülin, « Jean Echenoz Romanlarında Teknik ve İçerik Olarak Müzik », Journal of Turkish Studies, vol. 13, nº 3 (2018), p. 433-444. +++ Article de revue

### Abstract

« The concept of music that appeals to the masses in our time is an artistic discipline that interacts with many disciplines at the same time. One of the disciplines in which music is interacting indirectly or directly is literature. If literacy is needed to describe, explain, and feel the thoughts, voices and rhythm are needed to mobilize the inner feelings. In the works of Jean Echenoz, one of the prominent representatives of contemporary French literature, which are open to intertextual reading and studying, it is seen that music has been attacked with numerous open and closed references. Of course, one of the most important reasons for this lies in Echenoz’s passion for music and his ability to reflect his rich cultural and artistic heritage to his work. In many of his works, the author includes music-related terms and facts. In his works, voices, words and music are the expression of making a whole, in which the differences first break apart and then unite freely. Utilizing the glamor of language to perfect the narrative of the text, the author intends to outline the rhythmic structure and linguistic richness of the text rather than the story. The study will also focus on open and closed sentences, interrogation and quotation from intertextual methods.In this work, Echenoz’s passion for music and the presence of music and sound in his compositions and techniques will be examined. This study, which we have dealt with in a comparative approach, aims at showing how the author has interacted with music literature in general. »

KARTAL GÜNGÖR, 2018, PDF ###

IEVEN, Émilie, « L’errance, un mouvement à potentiel utopique », Carnets [en ligne], nº 10 (2017). +++ Article de revue

###Résumé

« Cet article se propose d’analyser le potentiel utopique de l’errance et de réfléchir à celle-ci en tant que mouvement permettant de se réapproprier, de récréer certains rapports à l’espace, à la fois singuliers et multiples. Sur la base d’une tentative de définition de l’errance (construite à partir de l’étymologie du mot ainsi que de la philosophie de Deleuze et Guattari – plus précisément, les ouvrages L’Anti-Œdipe et Mille plateaux) et d’une analyse de trois romans de Jean Echenoz (Un An, Le Méridien de Greenwich, Les Grandes blondes), cet article cherchera donc à montrer que l’errance possède une véritable charge utopique, à même de permettre au personnage contemporain de nouer des rapport singuliers avec l’espace, en déjouant et en répondant aux problèmes et questions que celui-ci pose. »

IEVEN, 2017, HTML###

BLANCKEMAN, Bruno, Les récits indécidables : Jean Echenoz, Hervé Guibert, Pascal Quignard, Villeneuve-d’Ascq, Presses universitaires du Septentrion (Perspectives. Lettres et Arts), 2000, 222 p. +++ Monographie

BERNARD, Isabelle, « Nouveaux savoirs et nouveau réalisme dans le roman français à la fin du XXe siècle : Éric Chevillard, Patrick Deville, Jean Echenoz, Jean-Philippe Toussaint », thèse de doctorat, département des lettres modernes, Université Paris III, 2000, 601 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise

BESSARD-BANQUY, Olivier, Le roman ludique. Jean Echenoz, Jean-Philippe Toussaint, Éric Chevillard, Paris, Presses universitaires du Septentrion (Perspectives), 2003, 284 p. +++ Monographie

ESFANDIAR, Esfandi, « Un formalisme référentiel dans le roman français des années 1980 : Patrick Deville, Jean Echenoz, Jean-Philippe Toussaint », thèse de doctorat, département des lettres modernes, Université Paris III, 2001, 499 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise

###Résumé
« Du point de vue de la production romanesque, les années 1980 se définissent par l’éclosion des individualités, par l’éclatement des écoles littéraires er autres regroupements d’auteurs autour d’une esthétique et de directives communes. Cet état de fait n’a cependant pas découragé la critique, toujours soucieuse de dégager des similitudes de ton, de forme et de contenu dans les oeuvres des différents écrivains. Patrick Deville, Jean Echenoz et Jeam-Philippe Toussaint ont par exemple été réunis - parmi d’autres - sous l’étiquette “minimalistes”. De la même manière, cette présenter étude propose, s’agissant de ces trois auteurs et par le biais d’analyses comparatives, de mettre en lumière les contours d’un modèle représentationnel à cheval entre réalisme et formalisme - où le formalisme le dispute au réalisme, et vice-versa - cela à différents degrés er selon différentes modalités. La perspective de lecture - et partant, d’analyse - adoptée, est celle d’un lecteur ordinaire, participatif, confronté à des récits référentiellement parlant ambivalents, et qui constate que l’ambivalence à l’aquelle il a affaire réside dans la manière même dont les histoires lui sont contées. À ce titre, cette étude s’intéresse principalement à la forme des récits, et en particulier, à leur dimension discursive. » ###

JÉRUSALEM, Christine, Jean Echenoz : géographies du vide, Saint-Étienne, Publications de l’Université de Saint-Étienne (Lire au présent), 2005, 230 p. +++ Monographie

###Il s’agit d’une version remaniée de sa thèse de doctorat en littérature française.###

PANAITE, Oana, « La littérature et ses ombres : invention esthétique et questionnement éthique dans la prose narrative contemporaine », thèse de doctorat, département de littérature et de civilisation française, Université Paris IV (Paris-Sorbonne), 2004, 465 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise

###Résumé
« Cette thèse propose une lecture critique de trois tendances majeures de la littérature contemporaine : l’écriture d’inspiration biographique, l’épuisement de la fiction et l’éclatement du récit. Sont examinées les prémisses historiques et théoriques d’une nouvelle esthétique définie par le refus du manifeste collectif et par l’émergence des poétiques individuelles, et d’une éthique du ressaisissement mondain manifeste dans les poétiques de la mémoire, l’écriture de l’authenticité et l’ancrage des textes dans la légitimité du vécu. À travers l’analyse comparée des oeuvres de Pierre Michon, de Jean Echenoz et de Patrick Chamoiseau et de leurs contemporains, l’auteur procède à une lecture exhaustive des structures de la représentation, des cadres thématiques et des formes stylistiques qui caractérisent la prose narrative française et francophone depuis 1980. »

Abstract
« This dissertation presents a critical examination of three major trends in contemporary literature: the biographical imagination, the exhaustion of fiction and the dismantling of narratives. The analysis focuses on the historical and theoretical framework of a new esthetics whose main characteristics are the refusal of the collective manifesto and the emergence of individual poetics as well as an ethics of worldliness manifested in the poetics of memory, the writing of authenticity and the existential foundation of the literary text. Through the comparative reading of works by Pierre Michon, Jean Echenoz and Patrick Chamoiseau, the author scrutinizes the structures of representation, the thematic and stylistic forms which have come to define French and Francophone narrative prose after 1980. » ###

VIART, Dominique et Bruno VERCIER, « Le roman “impassible” et ludique », dans La littérature française au présent. Héritage, modernité, mutations, Paris, Bordas (La bibliothèque Bordas), 2005, p. 384-396. +++ Chapitre de collectif

RAYMOND, Richard, Machinerie mimétique : modalités progressives de la représentation dans l’écriture de Jean Echenoz, mémoire de maîtrise, département des études littéraires, Université du Québec à Montréal, 2001, 107 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise

BLANCKEMAN, Bruno, « Jean Echenoz ou le récit ventriloque » dans Jean-Louis BRAU (dir.), La voix narrative, Nice, Université de Nice-Sophia-Antipolis (Cahiers de narratologie), 2001, p. 213-220. +++ Chapitre de collectif

BERGÉ, Aline, « Paysages avec figures anonymes : de quelques lieux communs dans le récit contemporain », dans Françoise CHENET, Michel COLLOT et Baldine SAINT GIRONS (dir.), Le paysage. État des lieux, Bruxelles, OUSIA (Recueil), 2001, p. 280-296. +++ Chapitre de collectif

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COLLOMB, Michel, « Sortir du cadre : Bernard Plossu, Jean Echenoz », dans Andrée MANSEAU (dir. ), Mises en cadre dans la littérature et dans les arts, Toulouse, Presses universitaires du Mirail, 1999, p. 189-194. +++ Chapitre de collectif

LAUGIER, Emmanuel, et Frédéric POMIER, « L’Echenoz de la vie », Le matricule des anges, n° 70 (février 2006), p. 14-17. +++ Article de revue

JÉRUSALEM, Christine et Jean-Bernard VRAY (dir.), Jean Echenoz : « une tentative modeste de description du monde », Saint-Étienne, Publications de l’Université Saint-Étienne et CIEREC (Lire au présent), 2006, 305 p. +++ Collectif

###Table des matières :

  • Christine JÉRUSALEM, « Avant-propos », p. 7-11.
  • Jean-Christophe BAILLY, « [Lettre de Jean-Christophe Bailly à Jean Echenoz : Paris, 2 février 2003] », p. 13.
  • Olivier BESSARD-BANQUY, « L’édition selon Jean Echenoz », p. 15-19.
  • Bruno BLANCKEMAN, « Petite étude des Grandes blondes (Une écriture réversible) », p. 21-27.
  • François BON, « Souvenirs du temps de Jean Echenoz », p. 29-36.
  • Elisa BRICCO, « Jean Echenoz en Italie : un problème de réception ? », p. 37-49.
  • Frédéric BRIOT, « Jean Echenoz et les formes classiques : boulevard ou impasse? », p. 51-58.
  • Stéphane CAUDIER, « Michon, Echenoz : un parallèle », p. 59-68.
  • Sylviane COYAULT, « Le mouvement perpétuel », p. 69-79.
  • Isabelle DANGUY, « Orphée Au piano: rien n’égale sa douleur », p. 81-90.
  • Sophie DERAMOND, « Une vision critique de l’espace urbain : dynamique et transgression chez Jean Echenoz », p. 91-99.
  • Catherine DOUZOU, « Le retour du réel dans l’espace de Jean Echenoz », p. 101-112.
  • Gilles ERNST, « Les “Grandes blondes” et les autres, ou eros en mode mineur », p. 113-130.
  • John FAERBER, « Comme l’Esprit vint aux Blondes », p. 131-146.
  • Gérard FASSE, « L’Admiratrice », p. 147-152.
  • Christine JÉRUSALEM, « “Le roman aime le monde parce qu’il le brasse et l’embrasse” », p. 153-158.
  • Jean-Pierre LE DANTEC, « Architecture, ville et paysage dans Au piano», p. 159-166.
  • Danièle MÉAUX, « Le miroir des écrans », p. 167-178.
  • Aline MURA-BRUNEL, « L’espace d’un an », p. 179-190.
  • Dominique Rabaté, « Sur le fil du récit », p. 191-203.
  • Anne ROCHE, « Au piano: Da Capo », p. 205-214.
  • Olivier ROLIN, « Quelques vagues (indications) », p. 215-219.
  • Gianfranco RUBINO, « L’évidence du narrateur », p. 221-229.
  • Alexandra SAEMER, « Le Luxembourg de Sophie Ristelhueber et de Jean Echenoz », p. 231-242.
  • Dominique VIART, « Le divertissement romanesque, Jean Echenoz et l’esthétique du dégagement », p. 243-254.
  • Tanguy VIEL, « Pour une littérature post-mortem », p. 255-265.
  • Michel VOLKOVITCH, « Les temps verbaux chez Jean Echenoz », p. 267-276.
  • Alexandra VRÂNCEANU, « L’ekphrasis dans les romans de Jean Echenoz. “Les métamorphoses de l’image et les fausses pistes de lecture” », p. 277-287.
  • Jean-Bernard VRAY, « Jean Echenoz : un art de l’épinglage », p. 289-299.

Quatrième de couverture :

« Jean Echenoz: “une modeste description du monde”(sic) réunit les contributions du premier colloque international consacré à l’un des écrivains les plus marquants des années quatre-vingts (Pierre Lepape). Son univers romanesque reflète, avec une justesse fulgurante, les déchirures du monde contemporain dans un souffle musical très “jazzé”. Les communications éclairent différents aspects de son oeuvre (la dimension humoristique de ses récits, leur intertextualité, le style échenozien, la représentation du réel et particulièrement de la ville, les liens avec d’autres arts comme le cinéma ou la peinture, le rapport à l’édition et à la réception de l’oeuvre à l’étranger). ###

SALGAS, Jean-Pierre, « Défense et illustration de la prose française », dans Michel BRAUDEAU, Lakis PROGUIDIS, Jean-Pierre SALGAS et Dominique VIART, Le roman français contemporain, Paris, Ministère des affaires étrangères - adpf, 2002, p. 73-127. +++ Chapitre de collectif

### Corpus retenu
Cherokee , L’équipée malaise, Lac, Nous trois et Jérôme Lindon###

JÉRUSALEM, Christine, « La rose des vents : cartographie des écritures de Minuit », dans Bruno BLANCKEMAN et Jean-Christophe MILLOIS (dir.), Le roman français aujourd’hui. Transformations, perceptions, mythologies, Paris, Prétexte, 2004, p. 53-77. +++ Chapitre de collectif

JÉRUSALEM, Christine, « Modernes vanités, les “trompe-l’œil textuels” de Jean Echenoz », La voix du regard, n° 16 (automne 2003), p. 253-255. +++ Article de revue

RABADI, Isabelle, « La représentation du lien social contemporain dans les romans de Jean Echenoz et de Patrick Deville », dans Michel COLLOMB (dir.), L’empreinte du social dans le roman depuis 1980, Montpellier, Université Paul-Valéry (Centre d’étude du XXe siècle), 2005, p. 35-46. +++ Chapitre de collectif

###« Marqués du sceau de leur époque de rédaction, les romans de Jean Echenoz et de Patrick Deville contiennent une foule d’indices - événements politiques, valeurs et usages, habitudes et modes de vie, technologies et langage, musique, toile de fond économique, géopolitique… -, qui sont autant d’ “effets de réel” rendant les années 1980 et 1990 reconnaissables. Donnés pour alertes, drôles et désinvoltes, ces romans portent pourtant sur le monde un regard vif et acéré, l’alacrité n’enrayant aucunement la profondeur de leur propos. » (Extrait, p. 35)

Corpus retenu
Le méridien de Greenwich, Cherokee, L’Équipée malaise, Lac, Nous trois, Les grandes blondes, Je m’en vais et Un an###

FLÜGGE, Manfred, « Avantgarde wider Willen : Jean Echenoz, Patrick Deville, Eric Chevillard, Marie NDiaye, Hélène Merlin, Marie Redonnet », dans Die Widerkehr des Spieler. Tendenzen des Französische Roman nach Sartre, Marburg, Hitzeroth, 1993, p. 54-64. +++ Monographie

Dossier « Les grandes blondes, Un an et Je m’en vais de Jean Echenoz », sous la direction de Sidonie LOUBRY-CARETTE, Roman 20-50, n° 38 (décembre 2004), p. 5-83. +++ Dossier de revue

###Sommaire

  • « Entretien avec Jean Echenoz » / Sidonie Loubry-Carette.
  • « Les esthétiques démenties : réalisme et minimalisme d’Un an à Je m’en vais » / Dominique Viart
  • « L’occupation des sols fictionnels dans les romans de Jean Echenoz : correspondances et allers-retours » / Christine Jérusalem
  • « Lecture d’une séquence (Je m’en vais, pp. 192-196 / Un an, pp. 69-71) » / Laurent Demanze.
  • « Chronique d’une disparition annoncée : L’occupation des sols - Opéra muet » / Marie-Hélène Boblet.
  • « Les grandes blondes, roman hyperréaliste ? » / Catherine Douzou
  • « De la vertu critique de l’humour à l’ère industrielle de la reproduction : Les grandes blondes» / Dominique Carlat.
  • « En théorie, “Je m’en vais” » / Bruno Blanckeman.###

BLANCKEMAN, Bruno, « Jean Echenoz ou le roman comme ciné / cure », Roman 20-50, n° 41 (2006), p. 167-178. +++ Article de revue

SCHOOTS, Fieke, « L’écriture “minimaliste” », dans Michèle AMMOUCHE-KREMERS et Henk HILLENAAR (dir.), Jeunes auteurs de Minuit, Amsterdam - Atlanta, Rodopi (Cahiers de recherches des instituts néerlandais de langue et de littérature françaises, 27), 1994, p. 127-144. +++ Chapitre de collectif

###« […] la liberté totale de l’ère postmoderne n’empêche pas que certains auteurs de Minuit constituent un groupe à la recherche de “nourritures identiques”. L’inventaire des procédés “minimalistes” nous montrera de quels auteurs il s’agit et fera ressortir les traits qui les distinguent des autres “jeunes” auteurs de Minuit. Nous découvrirons en même temps la nature de leur relation avec ces prédécesseurs illustres qu’étaient les nouveaux romanciers. » ###

MOTTE, Warren F., « Jean Echenoz’s Yearbook », dans Fables of the Novel : French Fiction since 1990, Normal, Ill., Dalkey Archive Press, 2003, p. 135-156. +++ Monographie

###Publié auparavant dans :

MOTTE, Warren, « Jean Echenoz’s Yearbook », dans Gérard DEFAUX et Jerry NASH (dir.), A French Forum. Mélanges de littérature française offerts à Raymond C. et Virginie A. La Charité###

JÉRUSALEM, Christine, « L’occupation des sols fictionnels dans les romans de Jean Echenoz : correspondances et allers-retours », Roman 20-50, dossier « Les grandes blondes, Un an et Je m’en vais de Jean Echenoz », sous la direction de Sidonie LOUBRY-CARETTE, n° 38 (décembre 2004), p. 27-35. +++ Article de revue

BOBLET, Marie-Hélène, « Chronique d’une disparition annoncée : L’occupation des sols - Opéra muet », Roman 20-50, dossier « Les grandes blondes, Un an et Je m’en vais de Jean Echenoz », sous la direction de Sidonie LOUBRY-CARETTE, n° 38 (décembre 2004), p. 45-55. +++ Article de revue

JULLIEN, Dominique, « Echenoz’s Modern-Day Mystics », SubStance, vol. 35, n° 3 (no 111 - 2006), p. 51-63. +++ Article de revue

###« Back in 1988, in an article on Echenoz published in a special issue of Yale French Studiesdevoted to contemporary French novelists, I wrote : “Although the Médicis prize awarded to him for his second novel, Cherokee, has begun to familiarize the public with his work, Jean Echenoz is still a new name in contemporary French fiction. No critical studies are available on him yet, but a number of short articles can be found in different periodicals.”

In 2005, Jean Echenoz is no longer a new name in contemporary French fiction. With a dozen novels published (all by Editions de Minuit), numerous literary prizes (including the Prix Médicis for Cherokeein 1988, the Grand prix du roman de la Société des gens de lettres for Lacin 1989, the prix Novembre for Les Grandes Blondesin 1995, and the prestigious prix Goncourt for Je m’en vaisin 1999), and a well-developed and growing critical bibliography, Jean Echenoz is now a familiar figure in the literary landscape. Articles appear regularly in the press, and an entire program of France-Culture devoted to his work aired recently (December 2003). On the scholarly side, the first international colloquium on Echenoz’s fiction was organized by the Université de St-Etienne in 2004. His latest novel, Ravel, a fictionalized narrative of Ravel’s last ten years of life, came out in January 2006, and the impatient fan could read excerpts and reviews on the official Echenoz website even before its publication. Jean Echenoz is beginning to establish himself on the English-speaking literary scene as well, where five of his novels have already been translated by Mark Polizzotti.

Equally familiar to readers is what has come to define Echenoz’s trademark manner : his novels are playful, ironic reworkings of popular genres, particularly detective novels, spy novels, and corresponding thriller movies. Lac, his award-winning 1989 novel, a sophisticated and clever spoof of spy fiction, is an exemplary case of a narrative that plays on generic clichés and readers’ expectations. Two stories, however, are somewhat atypical in his oeuvre and seem to me to handle the usual Echenoz themes of disappearance, death and grief in a more melancholy and serious tone. The short story, L’Occupation des sols (1988) and the 2003 novel Au pianowould appear to have a rather peculiar status, to be rather less self-conscious and more straightforward, the importance being more on the tale and less on the telling. In what follows, I will argue that these two works exhibit, albeit with Echenoz’s characteristic bittersweet playfulness, the profound metaphysical anxiety that inhabits modern artists. » (Extrait, p. 51-52) ###

BLANCKEMAN, Bruno, « Figures du Procureur », dans Sylviane COYAULT (dir.), L’écrivain et sa langue. Romans d’amour : de Marcel Proust à Richard Millet, Clermont-Ferrand, Presses Universitaires Blaise-Pascal (Littératures), 2005, p. 55-62. +++ Chapitre de collectif

###

Corpus retenu
Lac, L’occupation des sols, Un an, Au piano et Les grandes blondes

« Si l’on s’autorise à jouer soi-même avec une langue dont la neutralité critique n’est jamais qu’illusoire, la figure du procureurpourrait désigner les termes variables d’un procès institué par certains écrivains contre la langue, mais aussi les traitements différents que leur écriture lui impose - lui procure- à dessein d’en perpétuer la dynamique et qui en expriment simultanément le souci, une procura, toute inquiétude et tout soin mêlés. J’aimerais pour en convaincre convoquer à la barre trois de ces illustres procureurs : le fasciné malgré tout (Pascal Quignard), le suspicieux baladeur (Jean Echenoz), le stupéfait réactif (Patrick Modiano). »
(Extrait, p. 57) ###

RUFFEL, Lionel, « Le minimal, le maximal ou le deuil du moderne », dans Le dénouement. Essai, Lagrasse, Verdier (Chaoïd), 2005, p. 77-104. +++ Monographie

###« Partant du principe que la proclamation des trois fins [celle de l’histoire, celle des idéologies, celle de la modernité] relève de l’idéologie, il s’agira d’en prouver l’inconséquence “par l’absurde”, en montrant la permanence massive, dans le renouvellement des idées et des formes, de la préoccupation historique, de la dimension politique, et plus généralement des grands thèmes de la modernité, transformés et réactualisés. Parce qu’il n’est probablement pas légitime de déduire une dramaturgie historique d’une seule scène romanesque, il a fallu la situer dans un réseau de représentations, de figures ou de scènes. Ces “figures du dénouement”, une enquête les a repérées, chez des auteurs qu’on imagine proches d’Antoine Volodine : Pierre Guyotat, Valère Novarina, Olivier Rolin, mais aussi chez des auteurs en apparence plus éloignés, les écrivains “minimalistes” par exemple [Jean Echenoz, Jean-Philippe Toussaint, Éric Chevillard], ou encore chez Pascal Quignard. L’enjeu était de comprendre ce qu’elles disaient de l’époque. Le réseau fut donc élargi aux “discours du dénouement”, perceptibles juste après la double chute (du mur de Berlin, des statues de Moscou) chez des philosophes marqués, de manière fort différente, par l’histoire et la pensée du marxisme. Cette articulation des discours et des figures tente de comprendre une fin de siècle, c’est-à-dire le passage d’un siècle à l’autre. » ###

PINGAUD, Bernard, La bonne aventure : essai sur la “vraie vie”, le romanesque et le roman, Paris, Seuil (Réflexion), 2007, 165 p. +++ Monographie

PANAÏTÉ, Oana, « Fiction au conditionnel : l’essai romanesque de Jean Echenoz », Études littéraires, vol. 37, n° 2 (2006), p. 171-182. +++ Article de revue

O’BEIRNE, Emer, « Navigating Non-lieux in Contemporary Fiction : Houellebecq, Darrieussecq, Echenoz and Augé », The Modern Language Review, vol. 101, n° 2 (avril 2006), p. 388-401. +++ Article de revue

HOUPPERMANS, Sjef, Jean Echenoz. Étude de l’oeuvre, Paris, Bordas (Écrivains au présent), 2008, 191 p. +++ Monographie

DYTRT, Petr, Le (post)moderne des romans de Jean Echenoz : de l’anamnese du moderne vers une écriture du postmoderne, Brno, Masarykova universita, 2007, 216 p. +++ Monographie

###Présentation sur Fabula. ###

DEL LORENZO POZ, Marco, « Jean Echenoz », Belgator, n° 4 (3 juillet 1995), p. 425-434. +++ Article de revue

TAUTZ, Mirjam, « Transferts littéraires contemporains : Jean Echenoz et Sylvie Germain en Allemagne », Roman 20-50, n° 44 (décembre 2007), p. 151-164. +++ Article de revue

MURA-BRUNEL, Aline (dir.), Chevillard, Echenoz. Filiations insolites, Amsterdam / New York, Rodopi (CRIN - Cahiers de recherche des instituts néerlandais de langue et de littérature française, 50), 2008, 140 p. +++ Collectif

###Résumé
« À chaque rentrée littéraire, le nombre de romans publiés ne cesse de croître. Et même si tous, loin s’en faut, ne dépassent pas le temps d’une saison, il en est qui demeurent et qui témoignent de la vitalité et de la qualité de la littérature française d’aujourd’hui. Jean Echenoz et Eric Chevillard sont de ceux-là.  Par des analyses à la fois précises et profondes, les auteurs du présent volume explorent leurs œuvres respectives ainsi que quelques autres en interrogeant des parentés lointaines ou inattendues et prenant l’histoire littéraire à rebours. Bien que le dispositif épistémologique qui préside à l’acte d’écrire ait changé, la littérature continue de décliner les mêmes paradigmes. » (Extrait de la quatrième de couverture)

Table des matières (reproduite sur le site des éditions Rodopi)
Aline MURA-BRUNEL : Introduction
Jean-Gérard LAPACHERIE : Quand le roman représente les conventions qui le régissent
Aline MURA-BRUNEL : Balzac/Echenoz : un couple insolite
Marie FOURNOU : Représentations du féminin chez Théophile Gautier et Jean Echenoz, une postériorité déroutante : de l’ascendance niée au renouvellement
Jackie RUBICHON : Au Piano de Jean Echenoz : un roman néo-réaliste
Maud FOURTON : L’écrivain et son trouble : l’éditeur (à propos de Jérôme Lindon de Jean Echenoz)
Sébastien BONNEMASON-RICHARD : Les filiations insolites – Jean Echenoz, avant-garde l’air de rien
Nadine LAPORTE : Jean Echenoz. pour une littérature vagabonde : de L’Equipée malaise à Au Piano
Christina HORVATH : Eric Laurrent : héritier, pasticheur ou épigone de l’esthétique échenozienne ?
René AUDET : Eric Chevillard et l’écriture du déplacement : pour une narrativité pragmatique
Marie-Odile ANDRÉ : Filiation insolite : un vaillant petit Chevillard
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JULLIEN, Dominique, « Jean Echenoz », Yale French Studies, n° 75 (1988), p. 337-341. +++ Article de revue

LECLERC, Yvan, « Autour de Minuit », Dalhousie French Studies, n° 17 (automne-hiver 1989), p. 63-74. +++ Article de revue

###Cet article traite des oeuvres de François Bon, Jean Echenoz, Marie Redonnet et Jean-Philippe Toussaint. ###

BLANCKEMAN, Bruno, « Jean Echenoz : dérapages contrôlés », dans Jean-Pierre MOURAY et Jean-Bernard VRAY (dir.), Figures du loufoque à la fin du XXe siècle. Arts et littératures, Saint-Étienne, Publications de l’Université de Saint-Étienne (Arts), 2003, p. 127-133. +++ Chapitre de collectif

ASHOLT, Wolfgang, « Trauerarbeit der Moderne in Romanen von François Bon, Jean Echenoz und Marie Redonnet », Intertextualität und Subversivität. Studien zur Romanliteratur der achtziger Jahre in Frankreich, Heidelberg, Universitätsverlag C. Winter, 1994, p. 303-314. +++ Monographie

BARRÈRE, Anne, et Danilo MARTUCCELLI, Le roman comme laboratoire. De la connaissance littéraire à l’imagination sociologique, Villeneuve d’Ascq, Presses universitaires du Septentrion (Le regard sociologique), 2009, 373 p. +++ Monographie

###« La compréhension du monde contemporain ne peut pas se faire en tournant le dos à la production artistique de son époque. Mais alors qu’au XIXe siècle, le roman réaliste et la sociologie naissante se sont naturellement inspirés, la conversation entre sciences sociales et littérature s’est progressivement brouillée et affaiblie. Ce processus est même devenu extrême en France, où une critique, inlassablement reprise depuis des années, a décrété la production romanesque actuelle comme désocialisée, insignifiante et enfermée dans les arcanes du moi.

Ce livre est animé par une toute autre conviction, celle que certaines œuvres recèlent, à condition de bien savoir les lire, des sources majeures pour la compréhension de notre époque. En s’appuyant sur l’analyse de 200 romans, signés par 20 écrivains français contemporains, tous vivants et en pleine activité, il permet de comprendre comment le roman reste une source privilégiée de connaissance et d’imagination pour les sciences sociales.

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AMAR, Ruth, « Jean Echenoz : de “l’art de la fugue” », Dalhousie French Studies, n° 76 (2006), p. 85-91. +++ Article de revue

###Amar, 2006, PDF ###

DERAMOND, Sophie, « Minimalisme et spatialité chez Jean Echenoz », dans Bruno BLANCKEMAN et Marc DAMBRE (dir.), Romanciers minimalistes, 1979-2003, Paris, Presses Sorbonne Nouvelle, 2012, p. 93-101. +++ Chapitre de collectif

TAUTZ, Mirjam, « Jean Echenoz en Allemagne : édition et réception », dans Bruno BLANCKEMAN et Marc DAMBRE (dir.), Romanciers minimalistes, 1979-2003, Paris, Presses Sorbonne Nouvelle, 2012, p. 113-124. +++ Chapitre de collectif

BESSARD-BANQUY, Olivier, « La relation amoureuse chez les “jeunes auteurs de Minuit” », dans Bruno BLANCKEMAN et Marc DAMBRE (dir.), Romanciers minimalistes, 1979-2003, Paris, Presses Sorbonne Nouvelle, 2012, p. 155-164. +++ Chapitre de collectif

JÉRUSALEM, Christine, « Identification d’une femme : les portraits féminins dans l’oeuvre de Jean Echenoz », dans Bruno BLANCKEMAN et Marc DAMBRE (dir.), Romanciers minimalistes, 1979-2003, Paris, Presses Sorbonne Nouvelle, 2012, p. 165-176. +++ Chapitre de collectif

DANGY, Isabelle, « Suspension, détachement, apesanteur dans les romans de Jean Echenoz », dans Bruno BLANCKEMAN et Marc DAMBRE (dir.), Romanciers minimalistes, 1979-2003, Paris, Presses Sorbonne Nouvelle, 2012, p. 177-185. +++ Chapitre de collectif

MOUGIN, Pascal, « Réalités contemporaines chez Echenoz, Toussaint, Oster : une tentation problématique », dans Bruno BLANCKEMAN et Marc DAMBRE (dir.), Romanciers minimalistes, 1979-2003, Paris, Presses Sorbonne Nouvelle, 2012, p. 205-215. +++ Chapitre de collectif

KELLY, Van, « Tentation du minimalisme et puissance du bricolage : Jean Echenoz vs Agnès Varda », dans Bruno BLANCKEMAN et Marc DAMBRE (dir.), Romanciers minimalistes, 1979-2003, Paris, Presses Sorbonne Nouvelle, 2012, p. 271-281. +++ Chapitre de collectif

KEMP, Simon, French Fiction into the Twenty-First Century: The Return to the Story Cardiff, University of Wales Press, 2010, 213 p. +++ Monographie

### Abstract
« The French novel’s “return to the story” in the last decades of the twentieth century and the beginning of the twenty-first is has been widely acknowledged in literary scholarship. But is this assessment accurate? With French Fiction in the Twenty-First Century, Simon Kemp looks at the work of five contemporary writers—Annie Ernaux, Pascal Quignard, Marie Darrieussecq, Jean Echenoz, and Patrick Modiano—in the context of the current French literary scene, and examines how far they pursue the innovations of their predecessors and just how far they have turned their backs on the era of experiment. »

Table of contents
Annie Ernaux and the Narrating of Time
Pascal Quignard and the Fringes of Narrative
Marie Darrieussecq and the Voice of the Mind
Jean Echenoz and the Uses of Digression
Patrick Modiano and the Problem of Endings
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SEMSCH, Klaus, « Anatopies du moi - Essai sur le biofiction dans Au piano, Ravel et Courir de Jean Echenoz », dans Wolfgang ASHOLT et Marc DAMBRE (dir.) , Un Retour des normes romanesques dans la littérature française contemporaine, Paris, Presses Sorbonne Nouvelle, 2010, p. 243-260. +++ Chapitre de collectif

PANAÏTÉ, Oana, « Les fins de l’écriture : réflexion et pratique du style dans les œuvres de Jean Echenoz et Pierre Michon », French Forum, vol. 31, n° 2 (printemps 2006), p. 95-110. +++ Article de revue

### Panaïté, 2006, HTML ###

TURIN, Gaspard, « Toussaint, Echenoz, Chevillard : le cliché comme forme d’engagement littéraire », Versants: Revue Suisse des Littératures Romanes/Rivista Svizzera di Letterature Romanze/Schweizerische Zeitschrift für Romanische Literaturen, n° 52 (2006), p. 73-96. +++ Article de revue

###Turin, 2006, PDF ###

GALLOWAY, Monique, « Planes, Trains, Automobiles… & Space Shuttles: The Function of Travel in the Fiction of Jean Echenoz », eSharp: Electronic Social Sciences, Humanities, and Arts Review for Postgraduates, n° 4 (printemps 2005), p. 1-15. +++ Article de revue

### Abstract
The French novelist Jean Echenoz is a highly acclaimed fiction writer (winner of the prestigious Prix Goncourt in 1999) whose nine novels, written over the last twenty-five years, have used the so-called popular genres of the adventure, spy and detective story as a springboard to explore and revitalise the novelistic form. Travel figures prominently throughout his work. His characters embark on eventful journeys all over France, to nearby countries such as Belgium, or further afield to Malaysia, India, Australia, Guyana, Cameroon and Peru, to the Arctic Circle, to space or in his most recent work, to Heaven and Hell. Although their journeys are always eventful, they cannot be regarded as epic, as the motivation of the characters (to carry out contract killings, kidnap, smuggle arms, run away from a crime, etc.) is invariably well short of heroic, noble or even honest. This is not conventional travel writing, as the images created of the places visited are fleeting, incomplete and intensely subjective. Nor can their journeys be regarded as Bildungsreisen, because the characters return home largely unchanged by their experiences and with no greater sense of their own identity. The characters may wander rather aimlessly round the world, but they are not nomads as they always begin and end their journeys safely at home in Paris.

This article examines the function of travel in the works of Echenoz in the light of his stated preference for writing novels that are grounded in geography rather than history, and his constant quest for locations which will enable him to define his characters in relation to their physical environment and to today’s global consumerist society. The article also considers the extent to which Echenoz may be said to be fashioning fictional non-places in the sense elaborated by the anthropologist Marc Augé.

Galloway, 2005, PDF ###

AMAR, Ruth, « Du minimalisme de Jean Echenoz », Lettres Romanes, vol. 59, n° 1-2 (février-mars 2005), p. 113-121. +++ Article de revue

KEMP, Simon, « Crime Fiction Pastiche in the Novels of Jean Echenoz », Romance Studies, vol. 20, n° 2 (décembre 2002), p. 179-189. +++ Article de revue

### Abstract
Echenoz’s crime-fict€ion-related novels occupy an equivocal position with regard to their source material, being neither crime fiction themselves nor outright parodies of the genre. The article explores this relationship as one of pastiche, and in doing so considers the various, often negative critical views of pastiche as a literary form. Fredric Jameson’s pessimistic opinions are of particular interest, and the article sets out to discover how his views are justified or refuted by Echenoz’s work. Closely examining some of the novels’ incorporations and distortions of the tropes of crime fiction, and looking especially at Echenoz’s handling of the crime fiction denouement, the study seeks out the aspects of textual play and implicit critique inherent in the pastiche. The picture that emerges is of an intertextual relationship that is both celebratory and deconstructive, a necessarily complex attitude towards a genre which can be at the same time formulaic and intensely self-conscious.

Kemp, 2002, PDF ###

SCHULMAN, Peter, « Fin(s) de siècle(s) Blues : The Bachelor According to Jean Echenoz », Romance Notes, vol. 40, n° 1 (automne 1999), p. 111-118. +++ Article de revue

### Porte sur Cherokee, L’Équipée malaise et Nous trois. ###

MURA-BRUNEL, Aline, « Balzac/Echenoz : un couple insolite », dans Aline MURA-BRUNEL(dir.), Chevillard, Echenoz. Filiations insolites, Amsterdam / New York, Rodopi (CRIN - Cahiers de recherche des instituts néerlandais de langue et de littérature française, 50), 2008. +++ Chapitre de collectif

FOURNOU, Marie, « Représentations du féminin chez Théophile Gautier et Jean Echenoz, une postérité déroutante : de l’ascendance niée au renouvellement », dans Aline MURA-BRUNEL (dir.), Chevillard, Echenoz. Filiations insolites, Amsterdam / New York, Rodopi (CRIN - Cahiers de recherche des instituts néerlandais de langue et de littérature française, 50), 2008. +++ Chapitre de collectif

BONNEMASON-RICHARD, Sébastien, « Les filiations insolites : Jean Echenoz, avant-garde l’air de rien », dans Aline MURA-BRUNEL(dir.), Chevillard, Echenoz. Filiations insolites, Amsterdam / New York, Rodopi (CRIN - Cahiers de recherche des instituts néerlandais de langue et de littérature française, 50), 2008. +++ Chapitre de collectif

HORVATH, Christina, « Éric Laurrent : Héritier, pasticheur ou épigone de l’esthétique échenozienne? », dans Aline MURA-BRUNEL (dir.), Chevillard, Echenoz. Filiations insolites, Amsterdam / New York, Rodopi (CRIN - Cahiers de recherche des instituts néerlandais de langue et de littérature française, 50), 2008. +++ Chapitre de collectif

### Porte sur Les grandes blondes, Je m’en vais et Lac. ###

PANAÏTÉ, Oana, « The Age of Prose : Forms, Themes and Styles of French and Francophone Contemporary Fiction », thèse de doctorat en philosophie, John Hopkins University, 2005, 508 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise

### Abstract
This dissertation présents a critical examination of three major trends in contemporary literature: the biographical genre, the exhaustion of fiction and the dismantling of narratives. The analysis focuses on the historical and theoretical framework of a new esthetics whose main characteristics are the refusai of the collective manifesto and the emergence of individual poetics as well as an ethics of worldliness manifested in the poetics of memory, the writing of authenticity and the existential foundation of the literary text. Through the comparative reading of works by Pierre Michon, Jean Echenoz and Patrick Chamoiseau, the author scrutinizes the structures of représentation, the thematic and stylistic forms which have corne to define French and Francophone narrative prose afîter 1980.

La version PDF du mémoire est disponible pour les membres de communautés universitaires qui ont un abonnement institutionnel auprès de UMI - Proquest ###

LETENDRE, Daniel, « À la cheville des temps : la construction du présent dans la littérature narrative française au tournant du XXIe siècle », thèse de doctorat en littératures de langue française, Université de Montréal, 2013, 368 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise

### Résumé
Cette thèse de doctorat met en lumière les stratégies narratives déployées dans le récit français actuel pour représenter et construire son présent. L’hypothèse principale que cette recherche vérifie est la suivante : la littérature narrative d’aujourd’hui, par le recours à une énonciation entremêlant discours et narration ainsi que par une utilisation critique et pragmatique du passé, réplique au « présentisme » observé par François Hartog, cette perspective sur les temps dont le point d’observation et le point observé sont le présent. Les écrivains contemporains mettent en place un régime de temporalités où passé et avenir sont coordonnés au présent pour pacifier le rapport entre les trois catégories temporelles et faire apparaître un présent qui, sinon, demeure narrativement insaisissable ou soumis à l’autorité d’un passé ou d’un avenir qui dicte ses actions. En distinguant leurs textes du genre romanesque et du mode narratif qui le compose, Pierre Bergounioux, François Bon, Olivier Cadiot, Chloé Delaume, Annie Ernaux, Jean Echenoz et Olivier Rolin, entre autres, s’inscrivent dans la tradition énonciative du récit, ici entendu comme genre littéraire où l’énonciation et le texte en formation sont à eux-mêmes leur propre intrigue. Le sujet d’énonciation du récit contemporain cherche à élucider son rapport au temps en ayant recours à des scènes énonciatives qui ont à voir avec l’enquête et l’interlocution, de manière à ce que d’une anamnèse personnelle et intellectuelle, de même que de la confrontation d’une mémoire avec son récit jaillissent les caractéristiques d’une expérience du présent. Or, une des caractéristiques du présent expérimenté par le sujet contemporain semble être une résistance à la narration et au récit, rendant alors difficile sa saisie littéraire. Cette opposition au récit est investie par des écrivains qui ont recours, pour donner à voir l’immédiateté du présent, à la note et au journal, de même qu’à des genres littéraires qui mettent en échec la narration, notamment la poésie. En dépit de leurs efforts énonciatifs pour extraire le présent de l’opération qui le transforme en passé, ces écrivains font tout de même l’expérience répétée de la disparition immédiate du présent et de leur incapacité à énoncer littérairement un sentiment du présent. Le seul moyen d’en donner un aperçu reste alors peut-être de chercher à construire le présent à partir du constat répété de l’impossibilité d’un tel accomplissement.

Abstract
This doctoral thesis highlights present-day French authors’ narrative strategies used to illustrate and conceive the present. Our central hypothesis is that through an act of utterance intermeshing discourse and narration, as well as the critical and pragmatic use of references to the past, today’s narrative literature offers a counterpoint to the “presentism” described by François Hartog (i.e. a retrospective look at eras in which the present is both the vantage point and the point under observation). By so doing, contemporary authors offer a system of historicities where the past and the future are linked to the present in order to reconcile the link between the three temporal categories and reveal a present which, otherwise, would remain narratively elusive or subrogated to the authority of a past or a future that dictates its behaviour. By distancing their works from the fictional genre and from the narrative form it embodies, Pierre Bergounioux, François Bon, Olivier Cadiot, Annie Ernaux, Chloé Delaume, Jean Echenoz and Olivier Rolin, amongst others, are part of the enunciative tradition of the narrative, considered here as a literary genre in which the enunciation and the text in gestation are, in and of themselves, their own intrigue. In the contemporary narrative, the aim of the enunciation subject is to clarify its relationship to time by using enunciative scenes having to do with this quest and the conversation so that from a personal and intellectual anamnesis, as well as from the clash of a memory with its recounting, emerge the characteristics integral to the present experience. And yet, one of the characteristics of the present that the contemporary subject experiences seems to be a resistance to narration and to storytelling, which makes it almost impervious to literary analysis. Authors take up this opposition to storytelling by using, in an effort to bring the immediacy of the present to the foreground, the note, the journal entry, and literary genres that thwart narration, such as poetry. In spite of their enunciative efforts to distil the present from the operation that transforms it into the past, these authors are nevertheless faced, time and again, with having to live the immediate dissipation of the present and their inability to capture in a literary form its essence. Perhaps the only way to offer a glimpse of this is to try to create the present by repeatedly showing the impossibility of such an achievement.

Letendre, 2013, PDF ###

JÉRUSALEM, Christine, Jean Echenoz, Paris, Association pour la diffusion de la pensée française / Ministère des affaires étrangères, 2006, 77 p. +++ Monographie

LEBRUN, Jean-Claude, Jean Echenoz, Monaco, Éditions du Rocher, 1992, 138 p. +++ Monographie

MATEI, Alexandru, Jean Echenoz et la distance intérieure, Paris, L’Harmattan (Critiques littéraires), 2012, 288 p. +++ Monographie

SCHOOTS, Fieke, “Passer en douce à la douane” : l’écriture minimaliste de Minuit : Deville, Echenoz, Redonnet et Toussaint, Amsterdam / Atlanta, Rodopi (Faux titre, n° 131), 1997, 232 p. +++ Monographie

ZHAO, Jia, L’ironie dans le roman français depuis 1980 : Echenoz, Chevillard, Toussaint, Gailly, Paris, L’Harmattan (Critique littéraires), 2012, 299 p. +++ Monographie

CRUICKSHANK, Ruth, « Jean Echenoz: problematic patterns and symbolic violence », dans Fin de millénaire French Fiction : The Aesthetics of Crisis, Oxford, Oxford University Press, 2009. +++ Monographie

### Abstract
This chapter examines patterns of crisis in the 1990s prose fictions of Goncourt prize winner Echenoz. Countering contradictory critiques of Echenoz as epitome or observer of postmodernity, it identifies in representations of cultural production (including novels, cinema, the art market, and reality television) implicit critical challenges to the symbolic violence of the mass media. Foregrounding the patterns of a parallel crisis‐generating postcolonial economy underlying the global market, it also identifies how Echenoz’s avoidance of overt criticism risks perpetuating market‐driven stereotypes and misogyny. Analysis of language games and intertexts (including, via Žižek, Hitchcock’s Vertigo) identifies how both deliberately and unintentionally Echenoz draws on and draws attention to the agency—critical and oppressive—of different fictional constructions, bringing into the tropes of his novels, the media, and the market alike, and thus leadng readers to consider their own responsibility in challenging or perpetuating symbolic violence.

Cruickshank, 2009, HTML ###

MOTTE, Warren, « Reading Jean Echenoz », Context: A Forum for Literary Arts and Culture, n° 16 (2004), p. 6-7 +++ Article de revue

### Motte, 2004, HTML ###

DYTRT, Petr, « Le Renouveau romanesque ou la continuation du roman de Minuit ? Le Cas de Jean Echenoz », Études Romanes de Brno: Sborník Prací Filozofické Fakulty Brněnské Univerzity, L: Řada Romanistická/ Series Romanica, vol. 33, n° 24 (2003), p. 77-81. +++ Article de revue

### Résumé
La nouvelle littérature romanesque de la seconde moitié du XXe siecle, notamment celle qui paraît aux Editions de Minuit, semble vouloir dire entre autres ce qu’il en est de la littérature des prédécesseurs modernistes. Chez Echenoz, il est question en particulier de certains topos qui étaient chers aux auteurs du Nouveau Roman tels que l’écriture spéculaire ou la mise en abîme. L’étude reflète l’attitude du roman échenozien vis-a-vis de ces lieux communs. Ainsi sont radiographiés certains des procédés de narration de la derniere avant-garde littéraire française.

Abstract
The French novel of the end of the 20th century which is published by the publishing house Minuit is marked by authors of the “Nouveau roman” such as Alain Robbe-Grillet or Michel Butor. In his novels, Jean Echenoz has adopted a special attitude towards his literary precursors. Examples of this attitude have the form of rewriting of some commonplaces of this modernist literary “school”. Among the other “new” writing processes there is the mirror writing or the “mise en abîme”. The article tries to deal with several of these. ###

MOTTE, Warren, Fables of the Novel: French Fiction since 1990, Normal (Illinois), Dalkey Archive, 2003, p. 242. +++ Monographie

### Contient un chapitre consacré à Jean Echenoz ###

SCULMAN, Peter Lawrence, « The Sunday of Fiction: The Modern French Eccentric from Raymond Queneau to Jean Echenoz », Doctorate of Arts and Sciences, University of Columbia, 1997, 367 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise

### Abstract
In a world of increasing conformity, the modern eccentric can be seen as a guardian of individualism. With this rudimentary notion of the eccentric in mind, this dissertation endeavors to define the modern eccentric in 20th-century French literature via the works of Raymond Queneau through Jean Echenoz, as well as to compare the notion of the eccentric in 19th- and 20th century French literature by tracing the eccentric’s relationship to time, space and society. The originality of my thesis lies in its analysis of the eccentric as a fictional character rather than in the study of eccentricity in purely formal terms as has been the case of other critical works on this subject. Also, whereas to date, the study of eccentricity has focused primarily on literature of the 18th and 19th centuries, this thesis completes prior criticism by exploring 20th-century fictional eccentrics.

La version PDF du mémoire est disponible pour les membres de communautés universitaires qui ont un abonnement institutionnel auprès de UMI - Proquest ###

HOUPPERMANS, Sjef, Lectures du désir : De Madame de Lafayette à Régine Detambel et de Jean de La Fontaine à Jean Echenoz, Amsterdam, Rodopi, 1997, p. 441. +++ Article de revue

CLOONAN, William, « Jean Echenoz », dans William Thompson (dir.), Contemporary Novel in France, Gainesville, University Press of Florida, 1995, p. 200-214. +++ Chapitre de collectif

NETTELBECK, Collin W., « The “Post-Literary” Novel: Echenoz, Pennac and Company », French Cultural Studies, vol. 5 n° 2 [14] (juin 1994), p. 113-138. +++ Article de revue

HOUPPERMANS, Sjef, « Pleins et trous dans l’oeuvre de Jean Echenoz », dans Michèle Ammouche-Kremers et Henk Hillenaar (dir.), Jeunes auteurs de Minuit, Amsterdam, Rodopi, 1994, p. 95-102. +++ Chapitre de collectif

CRISO, Rachael Anne, « Jean Echenoz and the Parageneric Text », Dissertation Abstracts International, vol. 54, n° 3 (septembre 1993), p. 946A. +++ Article de revue

WAGNER, Frank, « Retours, tours et détours du récit », Poétique, n° 165 (2011), p. 3-34. +++ Article de revue

### Wagner, 2011, PDF###

CLERC, Jeanne-Marie, « Où en est le parallèle entre cinéma et littérature ? », Revue de littérature comparée, n° 298 (2001), p. 317-326. +++ Article de revue

### Clerc, 2001, PDF ###

SERMIER, Émilien, Variations sur un standard. Jeux et métamorphoses dans les trois romans biographiques de Jean Echenoz, postface de Jean Kaempfer, Lausanne, Archipel (Essais, n° 17), 2013, 106 p. +++ Monographie

### Présentation de l’éditeur
Tel un standard musical, le modèle de la biographie est aujourd’hui repris et rejoué par d’innombrables écrivains. Pierre Michon, Patrick Deville, Guy Goffette, Pascal Quignard ou Emmanuel Carrère : tous ont composé des récits biographiques, à leur façon. Et récemment, à son tour, le romancier Jean Echenoz a inventé ses propres variations autour du genre. De manière originale, il a mis en récits les vies de Maurice Ravel (Ravel, 2006), d’Émile Zatopek (Courir, 2008), de Nikola Tesla (Des éclairs, 2010). Parus aux Éditions de Minuit, ces trois romans biographiques forment un corpus homogène, dont la présente étude cerne les constantes formelles et thématiques. À chaque fois, comme par jeu, Jean Echenoz s’amuse autour d’une forme fixe qu’il parodie et détourne ; virtuose, son écriture s’adapte à la vie et à l’oeuvre du biographié. Mais une métamorphose aussi s’accomplit, car la réalité historique est revisitée par le regard singulier du romancier. Les biographiés deviennent alors de véritables personnages échenoziens ; et ils permettent, à l’écrivain, d’esquisser un autoportrait en creux.

Table des matières en ligne ###

SENNHAUSER, Anne, « Présences paradoxales du romanesque dans la fiction contemporaine : les cas de Jean Echenoz, de Patrick Deville et de Tanguy Viel », dans Itinéraires. Littérature, textes, cultures, dossier « La fiction aujourd’hui » (Cécile De Bary, dir.), n° 2013-1, p. 65-79. +++ Chapitre de collectif

### Résumé
Depuis les trente dernières années, la réécriture s’est imposées comme le signe d’une nouvelle approche de l’héritage littéraire. Des oeuvres comme celles de Jean Echenoz, Patrick Deville et Tanguy Viel expriment en effet, au-delà de la simple reprise parodique, une fascination pour tout une mythologie de l’aventure et du crime, qui renvoie à une veine romanesque souvent décriée. Chez les trois auteurs étudiés, cette dernière devient vectrice de renouvellements profonds, dans la mesure où elle permet moins de restaurer des modèles désuets que d’en explorer les stéréotypes narratifs et d’interroger le statut de l’imagination. La fiction s’en trouve légitimée d’un point de vue esthétique et ontologique, étant désignée comme un plaisir de lecture aussi bien que comme un art de vivre. ###

DERAMOND, Sophie, « Jean Echenoz : écrivain architecte », dans Architecture, littérature et espaces, Limoges, Presses Universitaires de Limoges (Espaces Humains), 2006, p. 55-63. +++ Chapitre de collectif

BERNARD-RABADI, Isabelle, « Jean Echenoz préfère les blondes », dans Marie-Camille BOUCHINDOMME et Tristan GRÜNBERG (dir.), Blondes mythiques. Représentations de la blondeur dans les arts , Neuilly-lès-Dijon, Éditions du murmure, 2012. +++ Chapitre de collectif

BOUCHY, Florence, « Démystification et invention du quotidien : les objets des romans de Jean Echenoz », Recherches & Travaux, dossier « Le devenir-roman des Mythologies de -Barthes » n° 77 (2010), p. 77-89. +++ Article de revue

### Bouchy, 2010, HTML ###

O’BEIRNE, Emer, « Between Lack and Excess, Present and Past: Art in Marc Augé and Jean Echenoz », dans Daisy CONNON, Gillian JEIN et Greg KERR (dir.), Aesthetics of Dislocation in French and Francophone Literature and Art:Strategies of Representation, Lewiston / Ceredigion, Mellen Press, 2009. +++ Chapitre de collectif

CASTIGLIONE, Agnès (dir.), dossier « Jean Echenoz : une petite mélancolie », Siècle 21, n° 17 (automne 2010). +++ Dossier de revue

### Présentation du dossier
Dossier sous la direction d’Agnès Castiglione, professeur à l’université de Saint-Étienne, spécialiste de littérature contemporaine. Jean Echenoz est l’auteur d’une oeuvre considérable, construite dans la discrétion, ce qui ne l’a pas empêché de réunir un lectorat important et d’obtenir le prix Goncourt. Les textes de ce dossier insistent sur le regard d’un auteur, « sociologue amusé », et d’une oeuvre teintée d’une « petite mélancolie ». Textes de Bruno Blanckeman, Dominique Viart, Christine Jérusalem, Gérard Titus-Carmel. Avec une lettre manuscrite de l’auteur. ###

Jean Echenoz - ensemble de l'oeuvre (oeuvre)
TitreJean Echenoz - ensemble de l'oeuvre
AuteurJean Echenoz
Parution9999
TriJean Echenoz - ensemble de l'oeuvre
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