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Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine

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oeuvres:pascal_quignard_-_ensemble_de_l_œuvre [2016/05/03 12:03] Virginie Savardoeuvres:pascal_quignard_-_ensemble_de_l_œuvre [2018/06/09 21:36] (Version actuelle) – [Documentation critique] Laurianne Thibeault
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 ===== Documentation critique ===== ===== Documentation critique =====
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 +ALTMANOVA, Jana, « Pascal Quignard , //Dernier Royaume// », //Annali//, no 47 (2005), p. 669-674. +++ Article de revue
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 +FAHREN, Simon, « De l’autre bord. À propos de Pascal Quignard, //Dernier Royaume// », //Le Nouveau Recueil//, no 66 (mars-mai 2003), p. 145-154. +++ Article de revue
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 +PIBAROT, Annie, « Fragments d’écriture de soi dans //Dernier Royaume// de Pascal Quignard », dans Norbert COL (dir.), //Ecritures de soi. Actes du colloque du Centre de recherche sur l’analyse des discours, constructions et réalités (ADICORE), Université de Bretagne-Sud, Lorient, 24-26 novembre 2004//, Paris, L’Harmattan, 2007, p.195-202. +++ Chapitre de collectif
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 +VIART, Dominique, « Une “récapitulation de l’histoire humaine” ? Le traitement de l’Histoire dans //Le Dernier Royaume// », //Europe//, vol. 88, nos 976-977 (août- septembre 2010), p. 162-183. +++ Article de revue
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 +LEBLOND, Aude, « //Le Dernier Royaume// de Quignard entre chapitre et fragment », dans Claire COLIN, Thomas CONRAD et Aude LEBLOND (dir.), //Pratiques et poétiques du chapitre, du 19e au 21e siècle//, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, 2017. +++ Chapitre de collectif
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 +[[https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01462003/document|LEBLOND, 2017, PDF]]
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 +CREPU, Michel, « Journal littéraire. Barbey d’Aurevilly, Jeandrieu, Quignard, Cioran, Ndiaye… », //La Revue des Deux Mondes//, no 9 (septembre 2009), p. 53-61. +++ Article de revue
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 +[[http://www.revuedesdeuxmondes.fr/article-revue/barbey-daurevilly-jeandrieu-quignard-cioran-ndiaye/|CREPU, 2009, PDF]]
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 +CALLE-GRUBER, Mireille et Pascal QUIGNARD, //La suite des chats et des ânes//, Paris, Presses Sorbonne Nouvelle (Coll. Archives), 2013, 148 p. +++ Collectif
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 +CALLE-GRUB, Mireille et Anaïs FRANTZ, //Dictionnaire Sauvage Pascal Quignard//, Paris, Hermann, 2016, 776 p. +++ Collectif
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 +« Le Dictionnaire sauvage Pascal Quignard, ponctué d’affiches ou encore de dessins que l’écrivain effectue cependant qu’il écrit un livre et qui constituent une véritable archive de l’écriture, est l’œuvre d’un collectif de chercheurs et d’universitaires du monde entier. Près de trois cents entrées, répertoriées par ordre alphabétique et complétées d’une bibliographie exhaustive, offrent des clés de lecture et ouvrent de multiples parcours croisant divers domaines (lettres et arts, sciences, philosophie, langues et cultures antiques et contemporaines, anthropologie) qui sont autant de lieux, pour Pascal Quignard, d’une recherche insatiable de l’âme. 
 +Pascal Quignard participe lui-même à cette élaboration sous la forme d’un dialogue avec Mireille Calle-Gruber. Dès l’A, il explicite son rapport au savoir, à la bibliothèque qu’emblématise l’exercice du dictionnaire ; le qualificatif de « sauvage » préservant quant à lui la part indomptable de la connaissance et en particulier de la cosmogonie de son œuvre.
 +Ce Dictionnaire, guide à plusieurs voix, dessine une cartographie de l’œuvre. Volume de ressources et de références incontournable, il est le meilleur garant d’une approche capable de faire prendre toute la mesure de l’interrogation originaire qui se joue au secret de l’écriture de Pascal Quignard. » (Présentation de l’éditeur)
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 +OGAWA, Midori, //Voix, musique, altérité. Duras, Quignard, Butor//, Paris, L'Harmattan, 2010, 208 p. +++ Monographie
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 +LOCATELLI, Aude, //La lyre, la plume et le temps. Figure de musiciens dans le "Bildungsroman"//, Tübingen (Allemagne), Niemeyer, 1998, 366 p. +++ Monographie
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 +KRISTEVA, Irena, //Pascal Quignard. La fascination du fragmentaire//, Paris, L’Harmattan (Critiques littéraires), 2008, 351 p. +++ Monographie
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 +« La singularité des Petits traités, l'oeuvre majeure de Pascal Quignard, suscite le désir de définir la problématique de l'ouvrage en évitant toutefois de le réduire à des schémas interprétatifs. Le problème de la Fascination du fragmentaire est déployé en trois temps. Le premier vise à décortiquer la rhétorique spéculative et à souligner la discontinuité narrative supposée par le fragment. Le deuxième relève les enjeux du mythe qui assure la continuité du récit fragmentaire ; le troisième éclaire le fonctionnement de la fascination du sujet par l'Autre qu'il regarde, écoute, lit. » (Présentation de l’éditeur)
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 +BONNEFIS, Philippe, //Une colère d’orgues. Pascal Quignard et la musique//, Paris, Galilée, 2013, 145 p. +++ Monographie
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 +« Peu de livres de Pascal Quignard où, comme le tonnerre au fond de l’horizon, la musique d’orgues ne roule ses échos menaçants. Mais peu de livres, par cette même raison, que la musique d’orgues n’inonde ainsi régulièrement de sa lumière vive, intermittente mais vive, et où elle ne contribue, ce faisant, à jeter un jour à chaque fois plus cru sur le mystère des relations – tellement compliquées, tellement embrouillées – que l’œuvre de Pascal Quignard entretient avec la musique en général.
 +Relations telles, pour tout dire, que, si la musique y est bien, comme ce livre en forme l’hypothèse, l’un des cas de l’obligation, et, selon toute vraisemblance même, de l’obligation sous sa forme la plus coercitive ; si elle peut s’entendre comme l’énoncé absolu et direct d’un « tu joueras » sans réplique, la pratique de la musique, quant à elle, son exécution si l’on préfère, s’y apparente le plus souvent à un art de l’esquive.
 +Je ne peux plus chanter, ma voix a mué ; je ne peux plus chanter, mon souffle défaille ; je ne peux plus chanter, j’ai le sang aux lèvres.
 +Chanter ni toucher d’un instrument. « Une arthrose de la paume me crispe les doigts depuis quelques années, et, voyez comme les choses s’en vont quand elles décident de nous quitter, je me suis fait voler mes deux violoncelles et mon alto. »
 +Chute admirable, qui est un pied de nez au destin – Pascal Quignard sachant pertinemment, quand il fait cette confidence au Nouvel Observateur dans son numéro du 17 au 23 juin 2010, qu’ils reviendraient, les instruments volés, et, avec eux, le cortège d’incohérentes prescriptions, l’interminable kyrielle d’ordres et de contrordres, qui semblent leur suite nécessaire. Qu’ils reviendraient aussi sûrement, par malheur, que, dans le conte de Maupassant, reviennent à leur propriétaire les meubles qui, d’eux-mêmes, une nuit, à grand fracas, le tabouret poussant le piano, les fauteuils courant comme des lapins, avaient déserté son domicile. » (Présentation de l’éditeur)
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 +ALMANOVA, Jana, //Pascal Quignard. Frammenti di una lingua impronunciabile. Tra segno e senso//, Fasano, Schena, 2012, 224 p. +++ Monographie
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 +« Il vasto corpus testuale costituito dalle numerose e variegate opere di Pascal Quignard, il più "classico" degli scrittori postmoderni del panorama letterario francese, rappresenta sia oggetto di interesse per la critica letteraria, sia inesauribile fonte di analisi e riflessione per chi indaga gli aspetti più prettamente linguistici e metalinguistici della letteratura, poiché la lingua, "matrice" di quest'ultima, le conferisce un "colorito" chiaro e una "trama" precisa. Quignard sfida la lingua nella sua valenza di significazione, indagando sulle parole e sul loro rapporto con la realtà designata e con la verità espressiva; tenta una risemantizzazione e ricategorizzazione del suo mondo percettivo e conoscitivo, seguendo dei parametri individuali, e dunque arbitrari, per quanto motivati nelle svariate forme e combinazioni all'interno della sua opera, quasi a voler ricreare un'immagine riflessa della lingua, ritenuta strumento arbitrario e inaffidabile. L'analisi condotta in questo lavoro segue pertanto un percorso intenzionalmente univoco, partendo dalla lingua e ritornando ad essa, in una circolarità quasi obbligata. Quignard crea così un suo "autoportrait linguistique", con i frammenti di una lingua "impronunciabile", ai limiti del "dicibile", "une langue individuelle réduite au silence". » (Présentation de l’éditeur)
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 +WYSS, André, « Harmonie, dysharmonie. Aspects du rapport de Pascal Quignard à la musique », //Quarto//, no 17 (novembre 2002), p. 24-30. +++ Article de revue
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 +WESTPHAL, Bertrand, « Exilés d’hier, personnages d’aujourd’hui. Cornelius Gallus, Porcius Latron, Ovide chez Pazzi, Quignard et Ransmayr », dans Georges CESBRON et Laurence RICHER, //La réception du latin du XIXe siècles à nos jours. Acte de Colloque d’Angers des 23 et 24 septembre 1994//, Angers, Presses de l’Université D’Angers, 1996, p. 331-335. +++ Chapitre de collectif
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 +VOUILLOUX, Bernard, « L’image spéculative », //Europe//, vol. 88, nos 976-977 (août-septembre 2010), p. 145-161. +++ Article de revue
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 +VACHAUD, Pauline, « Pascal Quignard : tours et détours d’une haine », //Recherches & Travaux//, no 78 (2011), p. 37-52. +++ Article de revue
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 +[[https://journals.openedition.org/recherchestravaux/444?lang=de|VACHAUD, 2011, HTML]]
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 +TURIN, Gaspard, « L’amenuisement du souffle. Usages de la liste chez Pascal Quignard », //Lendemains//, vol. 34, no 136 (2009), p. 31-36. +++ Article de revue
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 +[[https://periodicals.narr.de/index.php/Lendemains/article/viewFile/35/19|TURIN, 2009, PDF]]
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 +TLEMSANI-CANTIN, Jawad, « La musique et les fantômes dans l’œuvre de Pascal Quignard », //Europe//, vol. 88, nos 976-977 (août-septembre 2010), p. 41-51. +++ Article de revue
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 +SOULIER, Catherine, « Sarx, Hiems », //Anabases//, no 12 (2010), p. 220-225. +++ Article de revue
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 +[[https://journals.openedition.org/anabases/1238|SOULIER, 2010, HTML]]
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 +SORARU, Isabelle, « Le difficile “vœu de silence” de Pascal Quignard », dans Yves-Michel ERGAL et Michèle FINCK (dir.), //Ecriture et silence au XXe siècle//, Strasbourg, Presses universitaires de Strasbourg, 2010, p. 47-58. +++ Chapitre de collectif
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 +SANTI, Sylvain, « Rhétorique souveraine », //Studi Francesi//, vol. 61, no 181 (2017), p. 99-106. +++ Article de revue
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 +###« This study begins by examining the very particular conception of reason underpinning the speculative rhetoric invented in Petits traités, then taken up and pursued in Dernier royaume. It then goes on to examine how this rhetoric calls into question the origins of the authority of knowledge; an authority that Quignard constantly invokes in his texts in order to reveal the irreducible degree of uncertainty that knowledge entails. This revelation is fundamental. Quignard uses it to pursue what is undoubtedly the main aim behind his rhetorical inventions: allowing thought to become individual again. Attempting to restore individualisation in this way implies a certain sovereignty of the author, whose features are sketched out in the successive authorial figures constructed and cultivated from one book to the next. The author’s sovereign authority requires an opisthotonic dimension from his readers, a point at which they agree to give themselves over to the other, in what can only be a total form of relinquishment. The speculative rhetoric creates a relationship between author and readers that, for the latter, consists less in submitting to the peremptory authority of the former, than in giving themselves over to this authority in order to better receive an individualised form of thought. In this sense, the relationship between the author and his reader entails something of the order of the masochist contract, explored by Quignard in his early work. » (Résumé joint à l’article)
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 +[[https://journals.openedition.org/studifrancesi/6731|SANTI, 2017, HTML]]
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 +SAMOYAULT, Tiphaine et Alexandre GEFEN, « Longueurs du XXe siècle. Du roman-fleuve au roman contemporain », dans Tiphaine SAMOYAULT et Alexandre GEFEN (dir.), //La Taielle des romans//, Paris, Classiques Garnier, 2012, p. 241-267. +++ Chapitre de collectif
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 +[[https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01624132/document|SAMOYAULT et GEFEN, 2012, PDF]]
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 +ROUX, Jean-Louis, « Pascal Quignard ou la poésie prouvée par son impossibilité même », //Recherches et Travaux//, no 36 (1989), p. 145-158. +++ Article de revue
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 +RICHARD, Jean-Pierre, « Sensation, dépression, écriture », dans Jean-Pierre RICHARD, //L’état des choses. Etudes sur huit écrivains d’aujourd’hui//, Paris, Gallimard, 1990, p. 39-66. +++ Chapitre de monographie
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 +REYNAUD, Benoît, « “Des ires honnies” », dans Joëlle GARDES TAMINE, Christine MARCANDIER et Vincent VIVÈS (dir.), //Ironies entre dualité et duplicité//, Aix-en-Provence, Publications de l’Université de Provence, 2007, p. 229-240. +++ Chapitre de collectif
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 +QUIGNARD, Pascal, Bruno BLANCKEMAN, Bénédicte GORRILLOT et al., « Table ronde “Sur la poétique du fragment chez Pascal Quignard”, samedi 30 mars 2013 », //Contemporary French and Francophone Studies//, vol. 18, no 3 (2014), p. 273-279. +++ Article de revue
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 +PICARD, Timothée, « Recension de //La mise au silence// », //Francofonia//, vol. 21, no 41 (2001), p. 181-184. +++ Article de revue
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 +PICARD, Timothée, « La littérature contemporaine a-t-elle retrouvé un modèle musical ? Le cas de Pascal Quignard », Europe, vol. 88, nos 976-977, (août-septembre 2010), p. 52-76. +++ Article de revue
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 +PEYLET, Gérard, « La mémoire mélancolique chez Pascal Quignard. Une expérience du désir et de l’absence », dans Gérard PEYLET (dir.), //La mélancolie//,  Bordeaux, Presses universitaires de Bordeaux, 2012, p. 271-283. +++ Chapitre de collectif
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 +PAUTROT, Jean-Louis, « Biographie », //Études Françaises//, vol. 40, no 2 (2004), p. 93-97. +++ Article de revue
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 +NAEPELS, Michel, « L’épiement sans trêve et la curiosité de tout », //L’Homme//, no 203-204 (2012), p. 77-102. +++ Article de revue
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 +###« Comment le savoir des anthropologues émerge-t-il à partir des relations intersubjectives qu’ils nouent dans l’enquête ethnographique ? Cet article aborde les possibilités heuristiques de celle-ci en s’interrogeant sur la situation d’enquête, sur le contexte qui rend possible la présence de l’ethnographe et sur l’espace intersubjectif qu’elle définit. Il décrit les machines d’inscription matérielle ou d’enregistrement qui permettent à l’enquêteur de susciter et de coproduire ses « données », discursivités et visibilités, dans les espaces de l’interaction, de l’observation, de l’interlocution. Enfin, il revient sur les relations d’intersubjectivité qui la constituent, et sur les engagements que celles-ci impliquent – la présence de l’ethnographe comme son implication dans l’entretien menant simultanément à une politique de la situation et à une éthique de la relation. » (Résumé joint à l’article)
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 +[[https://journals.openedition.org/lhomme/23101|NARPELS, 2012, HTML]]
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 +MURA-BRUNEL, Aline, « Nouveau discours du silence », dans Aline MURA-BRUNEL et Karl COGARD (dir.), //Limites du langage. Indicible au silence//, Paris, L’Harmattan, 2002, p. 365-373. +++ Chapitre de collectif
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 +MURA-BRUNEL, Aline, « L’amenuisement de la parole dans les récits de Pascal Quignard », dans Aleksander ABLAMOWICE (dir.), //Le romanesque français d’une fin de siècle à l’autre//, Katowice (Pologne), Wydawn. Uniwersytetu Śla̧skiego, 1998, p. 166-176. +++ Chapitre de collectif
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 +MOTARD-NOAR, Martine, « Les Astérisques et “la fixité du regard perdu” chez Pascal Quignard », //Littératures//, no 72 (2015), p. 141-154. +++ Article de revue
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 +###« La majorité des livres de Pascal Quignard mettent le lecteur en présence d’un nombre récurrent d’astérisques. Le lecteur s’élance ainsi de fragment en fragment, ballotté devant un manque apparent de continuité dans le texte, dont le genre reste incertain, succession d’anecdotes historiques, de réflexions philosophiques, de mini-contes, de courts traités linguistiques, de raisonnements à partir d’allusions autobiographiques. Le but de cet article est d’éclaircir le double mouvement de l’astérisque, soit celui de l’isolement du texte pris entre les espaces blancs qui l’entourent et forment des plages de béance et celui de la ponctuation d’un mouvement à deux temps, d’une trace, qui signifie sans faire apparaître et dans laquelle le désir s’exprime. C’est de la sorte que l’astérisque peut sceller, articuler ou parfois contourner l’échec de toute tentative d’accès à la vérité, à la scène originaire, à la Mère et à “ la fixité de son regard”. » (Résumé joint à l’article)
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 +[[https://journals.openedition.org/litteratures/385|MOTARD-NOAR, 2015, HTML]]
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 +MIMOSO-RUIZ, Bernadette Rey, « Interdits et iconologie. Pasolini/Quignard », Dans Jacques DUGAST et François MOURET (dir.), //Littérature et interdits//, Rennes, Presses universitaires de Rennes (1998), p. 307-314. +++ Chapitre de collectif
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 +MILLET, Richard, « Prix littéraires », //Foi et Vie//, vol. 102, no 2 (avril 2003), p. 87-91. +++ Article de revue
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 +MILLET, Richard, « Notes sur Pascal Quignard », //Critique//, no 33 (novembre 1977), p. 1037-1043. +++ Article de revue
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 +WALD LASOWSKI, Patrick, « Les tragiques », //Revue des Sciences Humaines//, no 260 (octobre-décembre 2000), p. 237-246. +++ Article de revue
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 +LAPEYRE-DESMAISON, Chantal, « Narrataire et lecteurs dans quelques “récits” contemporains », dans Annie ROUXEL et Gérard LANGLADE (dir.), //Le Sujet lecteur. Lecture subjective et enseignement de la littérature//, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2004, p. 169-178. +++ Chapitre de collectif
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 +KADRI, Gharib, « La psychanalyse à l’épreuve de la //Rhétorique spéculative// », dans Daniel LEUWERS (dir.), //De Francophonie et de France, le poème, aujourd’hui//, Tours, Presses universitaires François-Rabelais, 2005, p. 241-257. +++ Chapitre de collectif
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 +JERUSALEM, Christine, « “J’espère être lu en 1640”. De l’histoire et du roman dans l’œuvre de Pascal Quignard », dans Aude, DERUELLE et Alain TASSEL (dir.), //Problème du roman historique//, Paris, L’Harmattan, 2008, p. 285- 296. +++ Chapitre de collectif
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 +GROSLEZIAT, Chantal, « Les tout-petits aiment-ils la musique ? », //Spirale//, no 28 (avril 2003), p. 129-134. (Article de revue)
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 +[[https://www.cairn.info/revue-spirale-2003-4-page-129.htm|GROSLEZIAT, 2003, PDF]]
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 +GORRILLOT, Bénédicte, « Le français, le latin et les autres chez Pascal Quignard », //Lendemains//, vol. 34, no 136 (2009), p. 9-18. +++ Article de revue  
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 +[[https://www.periodicals.narr.de/index.php/Lendemains/article/download/33/17|GORRILLOT, 2009, PDF]]
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 +GIL, Marie, « Mélancolie et répétition, ou “la leçon du faune” », Europe, vol. 88, nos 976-977 (août-septembre 2010), p.85-101. +++ Article de revue
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 +GHITA, Elena, « Le réseau figural de l’ombre dans l’œuvre de Pascal Quignard », //Dialogues Francophones//, no 14 (2008), p. 157-164. +++ Article de revue
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 +GENETTI, Stefano, « Pascal Quignard. Les écrits pour la danse », Magali NACHTERGAEL et Lucille TOTH (dir.), //Danse contemporaine et littérature, entre fictions et performances écrites//, Pantin, Éditions du Centre national de la danse (Recherches), 2015. +++ Chapitre de collectif
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 +GENETTI, Stefano, « Écrire, danser, d’après la voix perdue. Pascal Quignard, Angelin Preljocaj, et “L’Anoure” », dans Laura COLOMBO, et Strefano GENETTI (dir.), //Pas de mots, de la littérature à la danse//, Paris, Hermann, 2010, p. 239-257. +++ Chapitre de collectif
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 +GENETTI, Stefano, « Fantasmi di Ulisse nell’opera di Pascal Quignard. Un segnalibro », dans Anna Maria BABBI et Francesca ZARDINI (dir.), //Ulisse. Da Omero a Pascal Quignard. Convegno internaz., Verona, 25-27 mai 2000//, Vérone, Fiorini, 2000, p. 469-505. +++ Chapitre de collectif
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 +GENETTI, Stefano, « Disagio frammentario e obbedienza al frammento in Pascal Quignard. Contenstazione, contraddizione, scrittura », dans Lucia OMACINI et Laura ESTE BELLINI (dir.), //Théorie et pratique du fragment. Actes du Colloque internat. De la Società universitaria per gli studi di lingua e letteratura francese, Venise, 28-30 nov. 2002//, Genève, Slatkine, 2004, p. 245-267. +++ Chapitre de collectif
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 +GALLOPIN, Christian, « Les exigences paradoxales de la résistance », //Vie sociale et traitements//, no 113 (2012), p. 26-33. +++ Article de revue
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 +[[https://www.cairn.info/revue-vie-sociale-et-traitements-2012-1-page-26.htm|GALLOPIN, 2012, PDF]]
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 +DEMANZE, Laurent, « Biographie d’un mélancolique », Europe, vol. 88, nos 976-977 (août-septembre 2010), p. 102-113. +++ Article de revue
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 +DEGUY, Michel, « Savoir du non-savoir », //Noesis//, no 7, 2004, mis en ligne le 15 mai 2005. +++ Article de revue en ligne
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 +[[https://journals.openedition.org/noesis/27|DEGUY, 2004, HTML]]
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 +DECLERCQ, Gilles, « Un Goncourt des plus sordides. Pascal Quignard ou la leçon des choses », Marc BARATIN, Carlos LÉVY, Régine UTARD et al. (dir.), //Stylus. La parole dans ses formes. Mélanges en l’honneur du professeur Jacqueline Dangel//, Paris, Classiques Garnier, p. 197-212. +++ Chapitre de collectif
 +
 +DECLERCQ, Gilles, « Roman, fable, déclamation. L’invention dans l’œuvre de Pascal Quignard », dans Gilles DECLERCQ et Michel MURAT (dir.), //Le romanesque//, Paris, Presses de la Sorbonne nouvelle, 2004, p. 233-254. +++ Chapitre de collectif
 +
 +DE HERDT, Irina, « Une gêne rhétorique à l’égard de l’ironie », dans Didier ALEXANDRE et Pierre SCHOENTJES (dir.) avec la collaboration d’Irina De Herdt et Sarah Sindaco, //L’Ironie. Formes et enjeux d’une écriture contemporaine//, Paris, Classiques Garnier, 2013, p. 99-114. +++ Chapitre de collectif
 +
 +COUSIN DE RAVEL, Agnès, « Imaginaires de guerre. Claude Simon et Pascal Quignard », //Carnets//, no 5, 2015, mis en ligne le 30 novembre 2015. +++ Article de revue en ligne
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 +« Simon/Quignard : two life periods during wars (for one, his father’s death in 1914 on the battlefield and his own experience in 1939-40; for the other, the ruins and destructions seen from his window and the family stories) call two very differing fiction worlds. Nevertheless both, when deconstructing the war engines, are producing an analysis in similar terms: war’s cruelty, far from the hero building story tale is the mark of humanity. Its images, in their power of destruction, are one of the springs of their writing practice, although so different when writing the fragmentation. Their imaginary of war suggests the power of literature. » (Résumé joint à l’article)
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 +[[https://journals.openedition.org/carnets/455|COUSIN DE RAVEL, 2015, HTML]]
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 +COSTE, Claude, « Une écriture en reflet », Europe, vol. 88, nos 976-977 (août-septembre 2010), p. 28-40. +++ Article de revue
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 +CLAUDE Chrystelle, « L’ange de la lecture », dans Chantal LAPEYRE-DESMAISON (dir.), //Lecteurs de fictions//, Toulouse, Éditions universitaires du Sud, 2009, p. 37-51. +++ Chapitre de collectif
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 +CLAUDE, Chrystelle, « Caius Albucius Silus et Sénèque le Père dans le “Scriptorium” de Pascal Quignard », dans Mireille HILSUM et Hélène VEDRINE (dir.), //La Relecture de l’œuvre par ses écrivains mêmes. Tome 3 : Se relire par l’image//, Paris, Kimé, 2012, p. 253-264. +++ Chapitre de collectif
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 +CAMPAGNOLI, Ruggero, « Scève, l’Hölderlin de Pascal Quignard », dans Pascal QUIGNARD et Adriano MARCHETTI (dir.), //Pascal Quignard. La mise au silence, précédé de La voix perdue//, Seyssel, Champ Vallon, 2000, p. 151-160. +++ Chapitre de collectif
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 +BRICCO, Elisa, « L’art comme déclencheur de fiction chez : Sylvie Germain, Pierre Michon, Pascal Quignard », dans Daniela FABIANI et Claude HERLY (dir.), //Art et littérature. Regards sur les auteurs européens contemporains//, Paris, L’Harmattan, 2006, p. 155-168. +++ Chapitre de collectif
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 +BONNEFIS, Philippe, « Sous le signe de l’agneau. Sur un tableau de Valerio Adami », dans François BERQUIN (dir.), //Roman 20-50, dossier « Le salon du Wurtemberg et Villa Amalia de Pascal Quignard »//, no 44 (décembre 2007), p. 7-14. +++ Article de revue
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 +[[https://www.cairn.info/revue-roman2050-2007-2-p-5.htm|BONNEFIS, 2007, PDF]]
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 +BOKOBZA KAHAN, Michèle, « Lire //Les Liaisons dangereuses// de Laclos par le prisme de l’œuvre quignardienne », //Studi Francesi//, vol 58, no 174 (2014), p. 554-560. +++ Article de revue
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 +« The last short text in Pascal Quignard’s La Haine de la musique is called «Sur la fin des liaisons». By reinventing a happy ending to Laclos’ Liaisons dangereuses, Quignard offers a key for interpreting both his own work and that of Laclos. Far from being a simple exercise in dismantling the classic dramatic conclusion of a moral novel or being a ludic game of rewriting a famous scene of fiction, Quignard’s version opens up an unexpected path to a deepened interpretation of both authors. The aim of this article is to throw a light on the vital reciprocal literary relationship between Quignard and Laclos and to analyse the complexity of this precise intertextual relationship. Three main points that emerge from this literary confluence will be discussed here: both writers develop a deep concern with language and its impossible transparency; both maintain a climate of indecidability in their works; and the similarities between Quignard’s fragmentary and Laclos’ epistolary writing invite the reader to rethink the issues of both forms. » (Résumé joint à l’article)
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 +[[https://journals.openedition.org/studifrancesi/1047|BOKOBZA KAHAN, 2014, HTML]]
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 +BLANCKEMAN, Bruno, « Des ronds dans l’encre », Europe, vol. 88, nos 976-977 (août-septembre 2010), p. 77-84. +++ Article de revue
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 +BASCHERA, Marco, « La logique de la sidération auditive », //Recherches & Travaux//, no 78 (2011), p.  55-68. +++ Article de revue
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 +[[https://journals.openedition.org/recherchestravaux/446|BASCHERA, 2011, HTML]]
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 +BARNETT, R., « Les enjeux de la parole », //Neohelicon//, vol. 35, no 2 (décembre 2008), p. 181-189. +++ Article de revue
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 +« On tend à distribuer les rôles : à l’écrivain la voix, au critique le savoir réflexif. D’un côté, une mystique de l’écriture (aujourd’hui souvent dominante), de l’autre, l’obsession scientiste. Dans la tradition de la pensée critique française, ce dualisme simpliste n’est pas sans conséquences. Il réduit trop souvent l’exercice de la pensée à la construction impersonnelle d’une glose, où la subjectivité n’est plus assumée. Leiris, Quignard, Barthes, Sartre, Calvino, Adorno ont tour à tour posé dans toute sa complexité cette question du rapport entre la voix et le savoir, entre la subjectivité et la grammaire, invitant à une écriture critique où la rigueur ne s’oppose plus au rythme, où une voix singulière, informée et vivante s’adresse à un lecteur dans une relation tout à la fois spéculative et émotionnelle. » (Résumé joint à l’article)
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 +[[https://link.springer.com/article/10.1007/s11059-008-4013-7|BARNETT, 2008, PDF]]
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 BENNINGTON, Geoffrey, « La philosophie de Pascal Quignard », dans Philippe BONNEFIS et Dolorès LYOTARD (dir.), //Pascal Quignard, figures d'un lettré//, Paris, Galilée, 2005, p. 391-401. +++ Chapitre de collectif BENNINGTON, Geoffrey, « La philosophie de Pascal Quignard », dans Philippe BONNEFIS et Dolorès LYOTARD (dir.), //Pascal Quignard, figures d'un lettré//, Paris, Galilée, 2005, p. 391-401. +++ Chapitre de collectif
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 This thesis investigates how writing, mourning, and individuation form a singly dynamic process. If loss elicits a shattered sense of self, the thesis explores how, paradoxically, mourning also brings about a heightened sense of self, what Barthes called //la crime du particulier//.\\ This thesis investigates how writing, mourning, and individuation form a singly dynamic process. If loss elicits a shattered sense of self, the thesis explores how, paradoxically, mourning also brings about a heightened sense of self, what Barthes called //la crime du particulier//.\\
 Secondly, contemporary texts of mourning transform certain functions of the elegy. As a coded genre, it sought closure by giving a symbolic meaning to those mourned and by maintaining an imaginative dialogue with them. In contemporary texts, the encounter between mourner and mourned becomes internalised, hosting, ghosting, incarnation, trans-substantiation, or identification providing metaphors for this communion. Freud made melancholia a pathological form of mourning, with the mourner unable to attain closure. Instead, contemporary texts construe melancholia as a special vigilance of memory. It becomes an ethical form of mourning tinted with joy. Finally, this thesis foregrounds a paradigmatic shift in the consolations of writing. The consoling efficacy of the traditional elegy was premised on the belief that giving a symbolic meaning to the dead ensured them an afterlife. The contemporary literature of mourning discussed here has instead become a locus of communion with the dead, organizing the transmission of their legacy. ### Secondly, contemporary texts of mourning transform certain functions of the elegy. As a coded genre, it sought closure by giving a symbolic meaning to those mourned and by maintaining an imaginative dialogue with them. In contemporary texts, the encounter between mourner and mourned becomes internalised, hosting, ghosting, incarnation, trans-substantiation, or identification providing metaphors for this communion. Freud made melancholia a pathological form of mourning, with the mourner unable to attain closure. Instead, contemporary texts construe melancholia as a special vigilance of memory. It becomes an ethical form of mourning tinted with joy. Finally, this thesis foregrounds a paradigmatic shift in the consolations of writing. The consoling efficacy of the traditional elegy was premised on the belief that giving a symbolic meaning to the dead ensured them an afterlife. The contemporary literature of mourning discussed here has instead become a locus of communion with the dead, organizing the transmission of their legacy. ###
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 +ZHUO, Yue, « Le monde romain est notre mélancolie : L’objet perdu de Pascal Quignard », //French Forum//, vol. 41, n° 1-2 (été-automne 2016), p. 127-140. +++ Article de revue
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 +### **Extrait (p. 128)**\\
 +Le monde romain chez Quignard est ainsi un monde sentimental, pis, mélancolique. Il s’oppose frontalement à la pensée spéculative des Grecs d’Athènes. Son érotisme s’éloigne de la sensualité joyeuse de ces derniers, marqué par un regard effrayé et une tristesse infinie. Mais c’est surtout un monde où l’oubli ressuscite la mémoire, où le vrai se mélange avec le faux, où l’érudition s’imbrique discrètement dans l’autobiographique. Dans la plupart des écrits qui évoquent l’antiquité romaine, Quignard conduit ses personnages vers une frontière où ils doivent succomber au silence et à l’amnésie. Ses héros subissent presque tous une défaillance de la parole et une perte de mémoire. 
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 +[[https://muse.jhu.edu/article/647864|Zhuo, 2016, PDF]] ###
  
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