Auteurs contemporains

Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine

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Un an

Jean Echenoz, Un an, Paris, Éditions de Minuit, 1997, 112 p.

« N’étant que trop sûre d’avoir provoqué la mort de Félix, Victoire aime autant s’éloigner. Où qu’elle se trouve alors, Louis-Philippe passe l’informer de temps en temps des suites de cette affaire. Or Louis-Philippe ment. »

(Extrait du site de l’éditeur)

Documentation critique

FORTIER, Frances, et Andrée MERCIER, « Savoir retenu et savoir manquant. Quelques enjeux de la narration omnisciente dans le récit contemporain », dans Jean-Louis BRAU (dir.), La voix narrative, Nice, Centre de narratologie appliquée (Université de Nice-Sophia-Antipolis), 2000, p. 445-460. +++ Chapitre de collectif

LANGEVIN, Francis, « Lire la connivence et l’ironie: construction de la personnalité narrative chez Jean Echenoz », mémoire de maîtrise, département de Lettres, Université du Québec à Rimouski, 2004, 107 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise

###Résumé
Cette étude des romans Un an (1997) et Au piano (2003) de Jean Echenoz donne à lire un parcours de lecture qui observe ses propres stratégies interprétatives de manière à proposer, même (et surtout) temporairement, un outil de lecture pour aborder l’ensemble de l’œuvre de Jean Echenoz. Les signaux délibérément ambigus du texte (narrateurs non fiables, dérèglements de l’intrigue, focalisation à géométrie variable, frasques rhétoriques, narratives et syntaxiques et posture énonciative ambiguë) agissent comme autant de stimuli à une lecture fine, attentive, peut-être un peu obsessive – et sans doute déceptive pour qui chercherait à produire une interprétation définitive, « stabilisée ». Le repérage et la compréhension des énoncés ironiques mobilise et condense les stratégies et les compétences cognitives du lecteur; le repérage passe par la reconnaissance (ou l’hypothèse) d’une intention ironique. Aussi le territoire de l’ironie est-il, à l’instar des romans de Jean Echenoz, un espace incertain, mouvant, glissant, où la lecture rencontre en miroir (en écho) ses compétences, ses stratégies, ses succès et ses échecs. L’introduction du mémoire revisite les lectures critiques sédimentées autour de l’œuvre de Jean Echenoz et présente l’approche de l’ironie qui traversera toute l’étude. Le premier chapitre est consacré à l’intrigue déceptive d’Un an, qui donne l’occasion d’observer un certain nombre d’incohérences entre les registres narratifs; c’est ce premier échec apparent qui sert de déclencheur à une lecture plus attentive des procédés. Le chapitre II montre une lecture collectionneuse qui se serait affûtée aux achoppements énumérés au premier chapitre, et permet d’entrevoir une instance au-dessus du narrateur qui, ironique, alimente perversement les hypothèses d’un lecteur trop perspicace. Le chapitre III met en évidence la personnalité du narrateur d’Au piano, aperçue à l’occasion de nombreuses interventions de régie, de métalepses, de foyers d’évaluation incertains, etc. Le chapitre IV présente le repérage des listes, des cumuls qui ponctuent Au piano et qui dévoilent une instance narrative dotée d’une forte personnalité. La conclusion assemble le incongruités repérées, et la manière tout à la fois enthousiaste et méfiante de les repérer, pour proposer que la lecture des romans de Jean Echenoz autorise paradoxalement la connivence et s’y refuse.

Langevin, 2004, PDF###

BLANCKEMAN, Bruno, « Sans domicile de fiction : Echenoz SDF », Critique, n° 607 (décembre 1997), p. 904-916. +++ Article de revue

MOTTE, Warren, « Jean Echenoz’s Yearbook », dans Gérard DEFAUX et Jerry NASH (dir.), A French Forum. Mélanges de littérature française offerts à Raymond C. et Virginie A. La Charité, Paris, Librairie Klincksieck, 2000, p. 295-308. +++ Chapitre de collectif

###Aussi publié dans Fables of the Novel : French Fiction since 1990###

HORVÀTH, Krisztina Zentai, « Le personnage SDF comme lieu d’investissement sociologique dans le roman contemporain », Neohelicon, vol. 28, n° 2 (décembre 2001), p. 251-268. +++ Article de revue

###Résumé (Springer Link)
« Ce texte se penche sur les représentations romanesques des marginaux de notre temps : les sans domicile fixe. Ces personnages apparaissent très fréquemment dans le roman urbain contemporain, mis en scène sur deux modes différents : en tant que personnages principaux dont le texte retrace le parcours et en tant que personnages anonymes faisant partie intégrante du paysage urbain. On cite ici à titre d’exemples des romans de J.-C. Izzo, M. Lindon et J. Echenoz pour le premier cas, ainsi que les textes d’A. Ernaux pour le second. Ces représentations des SDF dans les romans urbains sont intéressantes dans la mesure où elles fournissent aux auteurs une occasion privilégiée d’exercer une critique sociale visant d’une part l’émergence d’une importante pauvreté urbaine au sein de la société de consommation et, d’autre part, l’indifférence générale que suscite ce phénomène. Dans la plupart des textes, un véritable fossé social se creuse entre les marginaux et les autres personnages, ce qui explique en partie pourquoi les rencontres entre ces deux groupes de personnages restent anonymes ou se font uniquement par l’intermédiaire des médias. Un fossé pareil sépare souvent la vie antérieure et la vie actuelle du même personnage devenu SDF. Le parcours de ces personnages peut présenter plus ou moins d’individualité, les raisons les plus couramment évoquées témoignent cependant toujours d’une sorte d’incapacité des personnages à se plier aux contraintes de la société, d’une sensibilité ou d’un moral plus marqués qui les empêchent de faire un compromis afin de réussir à s’intégrer. Il s’agit là d’une stratégie dont les auteurs se servent pour mettre le lecteur du côté des personnages échoués et du même coup contre la société dont le mauvais fonctionnement provoque leur déclassement. On fait également l’inventaire des sujets les plus fréquemment évoqués à propos des clochards : la perte progressive de la sexualité dont l’aspect purificateur peut être plus ou moins accentué, l’habitat des personnages SDF, les objets personnels et leur rôle modifié par rapport l’usage courant dans la société occidentale, etc. En ce qui concerne le mode de vie des SDF représenté dans les romans, deux modèles dominants se font contraste : la vie en communauté menée dans les grandes villes (il s’agit d’une société parallèle qui coexiste avec la société normale), et la vie solitaire menée à la campagne. Cette dernière représente une forme de refus de la vie urbaine, un thème nostalgique en voie de disparition dans la littérature contemporaine. A travers les différentes techniques de survie mises en scène dans les textes, les romanciers focalisent l’attention du lecteur sur l’indifférence générale qui se manifeste aussi bien au niveau collectif (administratif) qu’au niveau individuel. Le fait que la solidarité soit toujours montrée comme réaction individuelle et plutôt exceptionnelle contribue à la dénonciation de l’irresponsabilité sociale. » ###

VIART, Dominique, « Les esthétiques démenties : réalisme et minimalisme d’Un an à Je m’en vais », Roman 20-50, dossier « Les grandes blondes, Un an et Je m’en vais de Jean Echenoz », sous la direction de Sidonie LOUBRY-CARETTE, n° 38 (décembre 2004), p. 13-26. +++ Article de revue

PANAÏTÉ, Oana, « Fiction au conditionnel. L’essai romanesque de Jean Echenoz », Études littéraires, vol. 37, n° 2 (printemps 2006), p. 171-182. +++ Article de revue

###Résumé
« Représentatif, par son caractère hybride, d’une tendance essayiste dans la prose narrative contemporaine, Un an de Jean Echenoz propose un discours double : d’une part, la fiction ou la représentation du monde, de l’autre, l’investigation ethnologique et la réflexion sociologique. Inspiré par les effets sociaux des arrêtés anti-mendicité de 1996, le roman déplace l’accent du récit d’événements vers le récit de pensées et le commentaire. Le regard “en négatif” qu’adopte le narrateur dissipe l’illusion romanesque et étend l’espace qui entoure le discours de la fiction, transformant l’oeuvre en un “essai romanesque”. »

Panaïté, 2006, HTML ###

COLLOMB, Michel, « Distance sociale, sur Un an de Jean Echenoz », dans Michel COLLOMB (dir.), L’empreinte du social dans le roman depuis 1980, Montpellier, Université Paul-Valéry (Centre d’étude du XXe siècle), 2005, p. 287-296. +++ Chapitre de collectif

BRICCO, Elisa, « Le début et la fin : évolution d’une relation textuelle dans le roman contemporain ? », dans Andrea DEL LUNGO (dir.), Actes du Colloque “Le début et la fin. Une relation critique”, organisé à Toulouse le Mirail, avril 2005, [Colloque en ligne]. +++ Autre

###Disponible sur Fabula.

« J’ai donc circonscrit des romans où, toujours de façon différente, à la fin “la boucle se boucle” par une reprise des mêmes images, des mêmes thèmes, des mêmes discours et des mêmes situations du début. Ces textes sont, en ordre chronologique de parution : Anatomie d’un chœur de Marie Nimier, Truismes de Marie Darrieussecq, Un an de Jean Echenoz, La Télévision de Jean-Philippe Toussaint, Mon grand appartement de Christian Oster, Terrasse à Rome de Pascal Quignard, Le Magot de Momm de Hélène Lenoir, La Fonte des glaces d’Alain Nadaud, Dondog d’Antoine Volodine, Magnus de Sylvie Germain. Il s’agit de dix romans parus entre 1990 et 2005, publiés par des maisons d’édition différentes et écrits par des auteurs des deux sexes ; mais ce sont surtout des textes que j’ai aimés et qui se posent, à des degrés différents, dans une posture “transitive” par rapport au lecteur. » ###

BERRAZZOLI, Cristina, « Un match joué entre auteur et lecteur : d’Un an à Je m’en vais », dans Rosa GALLI PELLIGRINI (dir.), Stratégies narratives 2. Le roman contemporain, Bari / Paris, Schena / Presses de l’Université Paris-Sorbonne, 2003, p. 119-142. +++ Chapitre de collectif

DERAMOND, Sophie, « Un an de Jean Echenoz : d’une retraite minimaliste vers un espace poétique », Interval(les), vol. 1, n° 1 (automne 2004), p. 125-135. +++ Article de revue

### Deramond, 2004, PDF ###

DEMANZE, Laurent, « Lecture d’une séquence (Je m’en vais, pp.192-196) / Un an, pp.69-71) », Roman 20-50, dossier « Les grandes blondes, Un an et Je m’en vais de Jean Echenoz », sous la direction de Sidonie LOUBRY-CARETTE, n° 38 (décembre 2004), p. 37-43. +++ Article de revue

FOURNOU, Marie, « Représentations du féminin chez Théophile Gautier et Jean Echenoz, une postérité déroutante : de l’ascendance niée au renouvellement », dans Aline MURA-BRUNEL (dir.), Chevillard, Echenoz. Filiations insolites, Amsterdam, Rodopi (CRIN, vol. 50), 2008, p. 37-51. +++ Chapitre de collectif

###« La figure féminine d’Echenoz, sans cesse prête à s’évanouir, déterminée justement par son indétermination et le doute quant à son appartenance à la réalité, n’appelle-t-elle pas alors, en filigrane, les représentations proposés par l’oeuvre fantastique de Théophile Gautier, multipliant les silhouettes, les ombres indécidables, les revenantes éphémères et fugitives ? La filiation peut certes paraître insolite, il est cependant de nombreux indices pouvant nous permettre de la suggérer. […] Aussi allons-nous resserrer notre propos sur ces points de convergence, ces traces substantielles laissant deviner les liens stylistiques, thématiques et linguistiques que ces représentations suscitent ; l’ascendance résiduelle des représentations fantastiques de Gautier, en palimpseste des figures échenoziennes, ne serait-elle pas alors autorisée, voire requise, bien que reposant sur un rapprochement expérimental ? » ###

DÉCARIE, Isabelle, « Le quotidien à tout prix. Analyse du retour à l’ordinaire dans Le drap d’Yves Ravey et Un an de Jean Echenoz », temps zéro, n° 1 (juin 2007), [en ligne.] +++ Article de revue

### Résumé
Pourquoi le quotidien reprend-il le dessus avec force dans les occasions les moins courantes, comme celle d’une maladie mortelle ou d’une fugue à la suite d’un crime ? Comment le quotidien est-il raconté dans de telles circonstances ? Ces questions préliminaires guident ici l’analyse de deux romans, Le drap d’Yves Ravey (2002) et Un an de Jean Echenoz (1997), dans lesquels des événements, qui rompent pourtant avec le quotidien des personnages, sont chaque fois dépassés pour faire place au retour du temps ordinaire. Il s’agit ici de voir comment les romanciers parviennent à maintenir un récit de tous les jours tout en racontant une situation peu banale, puis de tenter de répondre à cette autre interrogation : quelle force nous pousse à vouloir à tout prix raconter le quotidien malgré des circonstances dramatiques ?

Abstract
Why does everyday life take over even in the least mundane of occasions, as is the case with a terminal illness or a disappearance after a crime ? How is everyday life narrated in such circumstances ? These preliminary questions guide the analysis of two novels, Le drap by Yves Ravey (2002) and Un an by Jean Echenoz (1997), two books in which events, although far from ordinary, are each time transcended to herald the return of everyday life. This article explores the ways in which Echenoz and Ravey manage to tell an extraordinary story while narrating ordinary events and tries to answer the question : what force compels us to tell the story of the ordinary at any price, even when confronted with dramatic circumstances ?

Décarie, 2007, HTML ###

WAGNER, Frank, « Lire l’entre-deux », Lecture littéraire : revue du recherche sur la lecture des textes littéraires, n° 5-6 (avril 2002), p. 125-137. +++ Article de revue

###Porte aussi sur Je m’en vais###

SCHLÜNDER, Susanne, « “Un réalisme en trompe l’œil” : les figures de perception comme principe narratif chez Jean Echenoz (Un An, Je m’en vais) », Roman 20-50, n° 45 (juin 2008), p. 145-157. +++ Article de revue

FORTIER, Frances et Andrée MERCIER, « L’autorité narrative dans le roman contemporain. Exploitations et redéfinitions », Protée, vol. 34, n° 2-3 (automne-hiver 2006), p. 139-152. +++ Article de revue

### Résumé
Le présent article vise à dégager les procédés, dans des textes à la visée narrative explicite, qui problématisent expressément et redéfinissent l’autorité narrative, sans pour autant sacrifier la captatio illusionis, c’est-à-dire l’adhésion du lecteur à la fiction. Les trois textes retenus, à dominante événementielle mais savants – Un an de Jean Echenoz (1997), L’Histoire de Pi de Yann Martel (2002), Lauve le pur de Richard Millet (2000) –, s’inscrivent dans la mouvance du retour au récit ; cette narrativité, revue à la lumière des acquis de la modernité, présente divers degrés et positionnements de l’autorité narrative et attire ainsi l’attention sur les modalités d’adhésion et les enjeux de crédibilité du discours fictionnel. Nous estimons que cette réflexion caractérise précisément tout un pan du roman contemporain.

Abstract
This paper seeks to bring out, in texts of explicitly narrative orientation, the different devices that problematize and redefine narrative authority, without sacrificing the captatio illusionis, that is to say, the reader’s engagement with the fiction. The three texts constituting the focus of our study, Jean Echenoz’s Un an (1997), Yann Martel’s Life of Pi (2002), Richard Millet’s Lauve de pur (2000) are part of the current return to narrative. This narrativity, seen in the light of modernity, presents various degrees of narrative authority and draws attention to the terms of engagement as well as to the question of plausibility at stake in the fictional discourse. We believe that this reflection constitutes a dominant feature of contemporary novel.

Fortier et Mercier, 2006, HTML ###

BOURGUIGNON, Caroline, « La stratégie narrative dans les romans Jacques le fataliste et son maître de Denis Diderot et Un an de Jean Echenoz », mémoire de maîtrise en études littéraires, Université Laval, 2001, 98 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise

### La version PDF du mémoire est disponible pour les membres de communautés universitaires qui ont un abonnement institutionnel auprès de UMI - Proquest ###

ROCHLITZ, Rainer, L’art au banc d’essai : esthétique et critique, Paris, Gallimard (NRF essais), 1998, 473 p. +++ Monographie

ERMAN, Michel, « À propos du personnage dans le roman français contemporain », Études Romanes de Brno: Sborník Prací Filozofické Fakulty Brněnské Univerzity, L: Řada Romanistická/ Series Romanica vol. 33, n° 24 (2003), p. 163-170. +++ Article de revue

### Erman, 2003, PDF ###

PHILIPS, Angela Marie, « Representing Female Resistance in Gautier, Barbey d’Aurevilly, Echenoz and Sebbar », doctorate of Romance Languages (French), University of Chapel Hill, 2000, 252 f. +++ Article de revue

### Abstract
The present dissertation examines the representation of the female protagonist in the work of Theophile Gautier, Barbey d’Aurevilly, Jean Echenoz and Leila Sebbar. In their treatment of female images, these authors inscribe themselves in the tradition of modernity as defined by Christine Buci-Glucksmann. Buci-Glucksmann, like Walter Benjamin, defines modernity as the end of the notion of origin and models. According to Buci-Glucksmann, the woman projects an inaccessible desire. As an unattainable object or fantasy, the woman is reduced to fragments of images. French literature of the late nineteenth-century shows us that women often times served as the medium upon which many male authors justified or exorcised this fear of the new, unknown, modern period - the new century. Women were represented as statues or paintings, cold and often frightful. The female protagonist decentered the male status in a society where gender roles were being questioned and modified. In postmodern society, at the dawn of the twenty-first century, we see the same cliches of the nineteenth-century reappropriated to represent women and perhaps for the same reasons : insecurities, malaise, or “ennui” as Baudelaire called it. Again, the female represents the other, moving away from the status quo. Outside of the traditional, historical paradigm and expanding her space, the female poses a threat to the established male order. There is no separation of space and, as the twentieth-century texts show us, gender roles are ambiguous. The traditional dichotomy where male and female roles are clearly outlined is broken down. One would expect that by expanding her space and adopting new roles the female would be liberated. However, this is not consistently the case. Therefore, we find that pre-industrial and contemporary female personae are similar. Ancient images of females transcend economic and social trends and help to reinforce the same order of things.

La section sur Jean Echenoz porte aussi sur Les grandes blondes

La version PDF du mémoire est disponible pour les membres de communautés universitaires qui ont un abonnement institutionnel auprès de UMI - Proquest ###

SCHOOTS, Fieke, « “Signe particulier néant”: Un an, Jean Echenoz et le fait divers », dans Paul Pelckmans et Bruno Tritsmans (dir.), Écrire l’insignifiant : dix études sur le fait divers dans le roman contemporain, Amsterdam, Rodopi (Faux titre), 2000. +++ Chapitre de collectif

HELKKULA, Mervi, « Narration omnisciente ou récit sans narrateur ? Sur les romans de Jean Echenoz », Poétique, n° 160 (2009), p. 397-404. +++ Article de revue

### Helkkula, 2009, PDF###

Un an (oeuvre)
TitreUn an
AuteurJean Echenoz
Parution1997
TriUn an
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