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Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine

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oeuvres:autobiografia_de_federico_sanchez_autobiographie_de_federico_sanchez [2016/10/23 19:11] – Modified from the form at oeuvres:autobiografia_de_federico_sanchez_autobiographie_de_federico_sanchez Audrey Thériaultoeuvres:autobiografia_de_federico_sanchez_autobiographie_de_federico_sanchez [2016/10/25 14:08] (Version actuelle) Audrey Thériault
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 [[auteurs:Jorge Semprún]] - Barcelone, Planeta, 1977, 343 p.  [[auteurs:Jorge Semprún]] - Barcelone, Planeta, 1977, 343 p. 
  
-//Autobiographie de Federico Sanchez//, traduit de l'espagnol par Claude et Carmen Durand, Paris, Seuil, 1978, 315 p.+//Autobiographie de Federico Sánchez//, traduit de l'espagnol par Claude et Carmen Durand, Paris, Seuil, 1978, 315 p.
  
 {{ oeuvres:autobiographia_de_federico_sanchez.jpg?100|}} {{ oeuvres:autobiographia_de_federico_sanchez.jpg?100|}}
  
-« Federico Sanchez cesse d'exister un jour du printemps 1964 dans un ancien château des rois de Bohême des environs de Prague : ce jour-là, les instances supérieures du parti communiste espagnol, par la bouche de la Pasionaria, le rejettent dans les ténèbres extérieures.+« Federico Sánchez cesse d'exister un jour du printemps 1964 dans un ancien château des rois de Bohême des environs de Prague : ce jour-là, les instances supérieures du parti communiste espagnol, par la bouche de la Pasionaria, le rejettent dans les ténèbres extérieures.
  
 Cet exclu n'est pas n'importe qui : fils d'un ambassadeur de la République, engagé tout jeune dans la Résistance française, déporté à Buchenwald, il a chanté le culte de la personnalité de Staline et est devenu un haut responsable, bientôt chargé d'aller coordonner à Madrid le travail clandestin du Parti. Sa connaissance directe de la lutte antifranquiste le conduit alors à s'éloigner des positions triomphalistes des dirigeants exilés. L'affrontement avec Carrillo devient inévitable. L'exclusion suit de peu. Cet exclu n'est pas n'importe qui : fils d'un ambassadeur de la République, engagé tout jeune dans la Résistance française, déporté à Buchenwald, il a chanté le culte de la personnalité de Staline et est devenu un haut responsable, bientôt chargé d'aller coordonner à Madrid le travail clandestin du Parti. Sa connaissance directe de la lutte antifranquiste le conduit alors à s'éloigner des positions triomphalistes des dirigeants exilés. L'affrontement avec Carrillo devient inévitable. L'exclusion suit de peu.
  
-L'exclu quitte son nom de guerre et recouvre alors son identité véritable. Le lecteur français le connait bien : c'est Jorge Semprun, auteur du //Grand Voyage// (prix Formentor), de la //Deuxième mort de Ramon Mercader// (prix Fémina) et de scénarios de films célèbres : //Z//, l'//Aveu//, //La guerre est finie//, //Les routes du sud//... Roman, témoignage, mémoires, réflexion politique, pamphlet, essai d'"autobiocritique", ce livre n'est rien de cela et tout cela à la fois. Comme ces poupées russes emboitées, les souvenirs de Federico Sanchez n'en finissent pas de se comprendre les uns les autres, de renvoyer les uns aux autres : ricochets sans fin par lesquels le temps de la mémoire, faisant fi de toute chronologie, rend instantanément présentes les pages mêlées de toute une vie. L'//Autobiographie de Federico Sanchez//, premier livre écrit par Jorge Semprun dans sa langue maternelle, a reçu le prix Planeta 1977 et remporté un succès considérable en Espagne. » (Quatrième de couverture, Seuil)+L'exclu quitte son nom de guerre et recouvre alors son identité véritable. Le lecteur français le connait bien : c'est Jorge Semprún, auteur du //Grand Voyage// (prix Formentor), de la //Deuxième mort de Ramon Mercader// (prix Fémina) et de scénarios de films célèbres : //Z//, l'//Aveu//, //La guerre est finie//, //Les routes du sud//... Roman, témoignage, mémoires, réflexion politique, pamphlet, essai d'"autobiocritique", ce livre n'est rien de cela et tout cela à la fois. Comme ces poupées russes emboitées, les souvenirs de Federico Sánchez n'en finissent pas de se comprendre les uns les autres, de renvoyer les uns aux autres : ricochets sans fin par lesquels le temps de la mémoire, faisant fi de toute chronologie, rend instantanément présentes les pages mêlées de toute une vie. L'//Autobiographie de Federico Sánchez//, premier livre écrit par Jorge Semprún dans sa langue maternelle, a reçu le prix Planeta 1977 et remporté un succès considérable en Espagne. » (Quatrième de couverture, Seuil)
  
 ===== Documentation critique ===== ===== Documentation critique =====
  
-O'DONOGHUE, Samuel, « The Proustian Memory Boom: How Writing the Self Can Be Used to Write the Nation », //Romance Studies//, vol. 33, no 2 (2015), p. 153-165. +++ Article de revue+O'DONOGHUE, Samuel, « The Proustian "Memory Boom: How Writing the Self Can Be Used to Write the Nation », //Romance Studies//, vol. 33, no 2 (2015), p. 153-165. +++ Article de revue
  
 ### **Abstract** ### **Abstract**
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 KATONA, Eszter, « ¿Autobiografía de quién? Búsqueda de la identidad entre Federico Sánchez y Jorge Semprún », //Colindancias : Revista de la Red Regional de Hispanistas de Hungría, Rumanía y Serbia//, vol. 3 (2012), p. 107-116. +++ Article de revue KATONA, Eszter, « ¿Autobiografía de quién? Búsqueda de la identidad entre Federico Sánchez y Jorge Semprún », //Colindancias : Revista de la Red Regional de Hispanistas de Hungría, Rumanía y Serbia//, vol. 3 (2012), p. 107-116. +++ Article de revue
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 PRADERA, Francisco Javier, « Jorge Semprún and His Heteronym Federico Sánchez », dans Ofelia FERRÁN et Gina HERRMANN (dir.), //A Critical Companion to Jorge Semprún : Buchenwald, Before and After//, New York, Palgrave Macmillan (Studies in European Culture and History), 2014, p. 53-69. +++ Chapitre de collectif PRADERA, Francisco Javier, « Jorge Semprún and His Heteronym Federico Sánchez », dans Ofelia FERRÁN et Gina HERRMANN (dir.), //A Critical Companion to Jorge Semprún : Buchenwald, Before and After//, New York, Palgrave Macmillan (Studies in European Culture and History), 2014, p. 53-69. +++ Chapitre de collectif
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 ### **Présentation de l'éditeur** ### **Présentation de l'éditeur**
  
-//Can These Bones Live?// views translation as a mode of literary invigoration—indeed, as a process at the core of all important cultural transactions—rather than a mere utilitarian means of converting the terms of one language into another. Brodzki considers a wide array of canonical and lesser-known fictional and autobiographical works by authors from North America, Europe, and Africa—including Philip Roth, Italo Calvino, Jorge Semprun, and Buchi Emecheta—that foreground translation as narrative theme, figurative device, and textual strategy. The book emphasizes translation's critical role in literary history by examining depictions of the translator figure in contemporary literature and by showing that reading slave narratives through the prism of intercultural translation expands and enriches our understanding of both slavery and genre. At its center, the book argues for translation's crucial role in processes of intergenerational transmission. By linking such processes particularly to mourning and memorialization in texts shaped by the experience of catastrophe, Brodzki demonstrates how translation ensures the afterlife of individual texts and cultural narratives across time and space. ###+//Can These Bones Live?// views translation as a mode of literary invigoration—indeed, as a process at the core of all important cultural transactions—rather than a mere utilitarian means of converting the terms of one language into another. Brodzki considers a wide array of canonical and lesser-known fictional and autobiographical works by authors from North America, Europe, and Africa—including Philip Roth, Italo Calvino, Jorge Semprún, and Buchi Emecheta—that foreground translation as narrative theme, figurative device, and textual strategy. The book emphasizes translation's critical role in literary history by examining depictions of the translator figure in contemporary literature and by showing that reading slave narratives through the prism of intercultural translation expands and enriches our understanding of both slavery and genre. At its center, the book argues for translation's crucial role in processes of intergenerational transmission. By linking such processes particularly to mourning and memorialization in texts shaped by the experience of catastrophe, Brodzki demonstrates how translation ensures the afterlife of individual texts and cultural narratives across time and space. ###
  
 BOU, Enric, « Construcción autobiográfica y exilio : Entre la memoria individual y la colectiva », //Revista Canadiense de Estudios Hispánicos//, vol. 30, no 1 (automne 2005), p. 17-32. +++ Article de revue BOU, Enric, « Construcción autobiográfica y exilio : Entre la memoria individual y la colectiva », //Revista Canadiense de Estudios Hispánicos//, vol. 30, no 1 (automne 2005), p. 17-32. +++ Article de revue
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 ### **Resumen** ### **Resumen**
  
-Se presenta en este artículo una reflexión sobre un aspecto de la condición del exilio: la interrelación entre memoria personal y colectiva, a partir de cinco obras singulares y complementarias : //Vida en claro// (1944), de José Moreno Villa, //Otoño en Madrid hacia 1950// (1987), de Juan Benet, //Los años sin excusa// (1975), de Carlos Barral, //Autobiografía de Federico Sánchez// (1977), de Jorge Semprún y //Travesías// (1925-1955) (2003), de Jaime Salinas. Utilizando el concepto de memoria individual y colectiva desarrollado por Paul Ricoeur se discute la difícil combinación de ambas entre los escritores en situación de exilio y dictadura a causa del más difícil funcionamiento de los más mínimos mecanismos que permiten su interacción. A partir de la difícil conciliación entre anécdota individual y experiencia colectiva consiguen estos autores una versión de la historia: ambigua y parcial, de intervención y amago, acentuando así las contradicciones de la autobiografía. El sueño imposible de una memoria total que integrara la individual, la colectiva y la histórica, se revela como más difícil de conseguir para estos memorialistas.+Se presenta en este artículo una reflexión sobre un aspecto de la condición del exilio : la interrelación entre memoria personal y colectiva, a partir de cinco obras singulares y complementarias : //Vida en claro// (1944), de José Moreno Villa, //Otoño en Madrid hacia 1950// (1987), de Juan Benet, //Los años sin excusa// (1975), de Carlos Barral, //Autobiografía de Federico Sánchez// (1977), de Jorge Semprún y //Travesías (1925-1955)// (2003), de Jaime Salinas. Utilizando el concepto de memoria individual y colectiva desarrollado por Paul Ricoeur se discute la difícil combinación de ambas entre los escritores en situación de exilio y dictadura a causa del más difícil funcionamiento de los más mínimos mecanismos que permiten su interacción. A partir de la difícil conciliación entre anécdota individual y experiencia colectiva consiguen estos autores una versión de la historia: ambigua y parcial, de intervención y amago, acentuando así las contradicciones de la autobiografía. El sueño imposible de una memoria total que integrara la individual, la colectiva y la histórica, se revela como más difícil de conseguir para estos memorialistas.
  
   * [[http://www.jstor.org/stable/27764033|Bou, 2005, PDF]] ###   * [[http://www.jstor.org/stable/27764033|Bou, 2005, PDF]] ###
  
 FERRÁN, Ofelia, « Memory and Forgetting, Resistance and Noise in the Spanish Transition : Semprún and Vázquez Montalbán », dans Joan Ramon RESINA (dir.), //Disremembering the Dictatorship : The Politics of Memory in the Spanish Transition to Democracy//, Amsterdam, Rodopi, 2000, p. 191-222. +++ Chapitre de collectif FERRÁN, Ofelia, « Memory and Forgetting, Resistance and Noise in the Spanish Transition : Semprún and Vázquez Montalbán », dans Joan Ramon RESINA (dir.), //Disremembering the Dictatorship : The Politics of Memory in the Spanish Transition to Democracy//, Amsterdam, Rodopi, 2000, p. 191-222. +++ Chapitre de collectif
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 MOLERO DE LA IGLESIA, Alicia, //La autoficción en España : Jorge Semprún, Carlos Barral, Luis Goytisolo, Enriqueta Antolín y Antonio Muñoz Molina//, Berne, Peter Lang (Perspectivas Hispánicas), 2000, 421 p. +++ Monographie MOLERO DE LA IGLESIA, Alicia, //La autoficción en España : Jorge Semprún, Carlos Barral, Luis Goytisolo, Enriqueta Antolín y Antonio Muñoz Molina//, Berne, Peter Lang (Perspectivas Hispánicas), 2000, 421 p. +++ Monographie
  
 +EINFALT, Michael, « Erinnerung und Identität, Autobiographie und Roman : Jorge Semprúns //Autobiografía de Federico Sánchez// im Kontext des französischsprachigen Werks », //Arcadia : Internationale Zeitschrift für Literaturwissenschaft//, vol. 34, no 2 (1999), p. 205-216. +++ Article de revue
  
- +SOTO-FERNÁNDEZ, Liliana, « La autobiografía ficticia en tres autores del siglo XX : Unamuno, Martín Gaite y Semprún », thèse de doctorat, Faculty in Hispanic and Luso-Brazilian Literatures, The City University of New York, 1994, 301 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise
-EINFALT, Michael, « Erinnerung und Identität, Autobiographie und Roman : Jorge Semprúns //Autobiografía de Federico Sanchéz// im Kontext des französischsprachigen Werks », //Arcadia : Internationale Zeitschrift für Literaturwissenschaft//, vol. 34, no 2 (1999), p. 205-216. +++ Article de revue +
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-SOTO-FERNÁNDEZ, Liliana, « La autobiografia ficticia en tres autores del siglo XX : Unamuno, Martín Gaite y Semprún », thèse de doctorat, Faculty in Hispanic and Luso-Brazilian Literatures, The City University of New York, 1994, 301 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise+
  
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 RODRÍGUEZ, Jesús, « Historia de un desengaño : Los hijos de Federico Sánchez », //Cuadernos de Aldeeu//, vol. 9, no 2 (novembre 1993), p. 255-266. +++ Article de revue RODRÍGUEZ, Jesús, « Historia de un desengaño : Los hijos de Federico Sánchez », //Cuadernos de Aldeeu//, vol. 9, no 2 (novembre 1993), p. 255-266. +++ Article de revue
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 VALIS, Noël M., « Reader Exile and the Text : Jorge Semprún's //Autobiografía de Federico Sánchez// », //Monographic Review/Revista Monografica//, no 2 (1986), p. 174-188. +++ Article de revue VALIS, Noël M., « Reader Exile and the Text : Jorge Semprún's //Autobiografía de Federico Sánchez// », //Monographic Review/Revista Monografica//, no 2 (1986), p. 174-188. +++ Article de revue
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 SCHMIGALLE, Günther, « Jorge Semprúns Kritik des Kommunismus : Die //Autobiografía de Federico Sánchez// (1977) », //Iberoamericana//, vol. 12, no 1 (1981), p. 3-21. +++ Article de revue SCHMIGALLE, Günther, « Jorge Semprúns Kritik des Kommunismus : Die //Autobiografía de Federico Sánchez// (1977) », //Iberoamericana//, vol. 12, no 1 (1981), p. 3-21. +++ Article de revue
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 VILLAGRÁ, Andrés, « Actos performativos de la segunda persona autobiográfica : Jorge Semprún y Serrano Poncela », //Confluencia//, vol. 16, no 1 (automne 2000), p. 90-98. +++ Article de revue VILLAGRÁ, Andrés, « Actos performativos de la segunda persona autobiográfica : Jorge Semprún y Serrano Poncela », //Confluencia//, vol. 16, no 1 (automne 2000), p. 90-98. +++ Article de revue
  
-### [[http://www.jstor.org/stable/27922772|Villagrá, 2000, PDF]] ### +###  
- +  * [[http://www.jstor.org/stable/27922772|Villagrá, 2000, PDF]] ###
-SEMILLA DURÁN, María Angélica, « Chapitre I. Mythe et exemplarité : //Autobiographie de Federico Sanchez// », //Le masque et le masqué : Jorge Semprun et les abîmes de la mémoire//, Toulouse, Presses Universitaires du Mirail (Hespérides), 2005, p. 15-55. +++ Monographie +
  
 +SEMILLA DURÁN, María Angélica, « Chapitre I. Mythe et exemplarité : //Autobiographie de Federico Sánchez// », //Le masque et le masqué : Jorge Semprún et les abîmes de la mémoire//, Toulouse, Presses Universitaires du Mirail (Hespérides), 2005, p. 15-55. +++ Monographie
  
 GALA GUILLÉN, Begoña, « //La guerre est finie//, germe d'//Autobiographie de Federico Sánchez// », //CinémAction//, no 140 (2011), p. 43-47. +++ Article de revue GALA GUILLÉN, Begoña, « //La guerre est finie//, germe d'//Autobiographie de Federico Sánchez// », //CinémAction//, no 140 (2011), p. 43-47. +++ Article de revue
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 CÉSPEDES GALLEGO, Jaime, « //Autobiografía de Federico Sánchez// (1977) », //La obra de Jorge Semprún : Claves de interpretación. Vol. 1 : Autobiografía y novela//, Berne, Peter Lang (Perspectivas hispánicas), 2012, p. 129-140. +++ Monographie CÉSPEDES GALLEGO, Jaime, « //Autobiografía de Federico Sánchez// (1977) », //La obra de Jorge Semprún : Claves de interpretación. Vol. 1 : Autobiografía y novela//, Berne, Peter Lang (Perspectivas hispánicas), 2012, p. 129-140. +++ Monographie
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 CANAL, Jordi, « La verdad de las mentiras, las mentiras de la verdad : Jorge Semprún, Federico Sánchez y el comunismo », dans Xavier PLA (dir.), //Jorge Semprún o las espirales de la memoria//, Kassel, Reichenberger (Problemata literaria), 2010, p. 53-83. +++ Chapitre de collectif CANAL, Jordi, « La verdad de las mentiras, las mentiras de la verdad : Jorge Semprún, Federico Sánchez y el comunismo », dans Xavier PLA (dir.), //Jorge Semprún o las espirales de la memoria//, Kassel, Reichenberger (Problemata literaria), 2010, p. 53-83. +++ Chapitre de collectif
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 QUINTANA, Àngel, « //La Guerre est finie//, esbozo cinematográfico de otra //Autobiografía de Federico Sánchez// », dans Xavier PLA (dir.), //Jorge Semprún o las espirales de la memoria//, Kassel, Reichenberger (Problemata literaria), 2010, p. 211-220. +++ Chapitre de collectif QUINTANA, Àngel, « //La Guerre est finie//, esbozo cinematográfico de otra //Autobiografía de Federico Sánchez// », dans Xavier PLA (dir.), //Jorge Semprún o las espirales de la memoria//, Kassel, Reichenberger (Problemata literaria), 2010, p. 211-220. +++ Chapitre de collectif
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 CÉSPEDES GALLEGO, Jaime, « Valores apocalípticos de la muerte en //Autobiografía de Federico Sánchez// de Jorge Semprún », dans Amadeo LÓPEZ et Béatrice MÉNARD (dir.), //Figures de la mort dans la littérature de langue espagnole, vol. VI//, Université de Nanterre, Presses Universitaires de Paris 10 (CRIIA – Centre de Recherches Ibériques et Ibéro-américaines), 2008, p. 273-284. +++ Chapitre de collectif CÉSPEDES GALLEGO, Jaime, « Valores apocalípticos de la muerte en //Autobiografía de Federico Sánchez// de Jorge Semprún », dans Amadeo LÓPEZ et Béatrice MÉNARD (dir.), //Figures de la mort dans la littérature de langue espagnole, vol. VI//, Université de Nanterre, Presses Universitaires de Paris 10 (CRIIA – Centre de Recherches Ibériques et Ibéro-américaines), 2008, p. 273-284. +++ Chapitre de collectif
  
 +SILVESTRE GUIN, María, « Histoire d'une rupture : //Autobiografía de Federico Sánchez// de Jorge Semprún », //Hispanística XX//, no 20 (2003), p. 57-78. +++ Article de revue
  
 +OMLOR, Daniela, « Exile and Trauma in Jorge Semprún », //Journal of Iberian and Latin American Research//, vol. 17, no 1 (juillet 2011), p. 69-79. +++ Article de revue
  
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-SILVESTRE GUINMaría« Histoire d'une rupture : //Autobiografía de Federico Sánchez// de Jorge Semprún », //Hispanística XX//, no 20 (2003), p57-78+++ Article de revue+Jorge Semprún’s obsession with memory is fed by a triple experience of exile : emigration from Spainimprisonment in Buchenwald and expulsion from the Communist Party. While the notion of exile can be found at the core of his writingit constitutes a complex construction that changes over time. Through the examination of three very different texts this article traces the meanings that exile acquires in Semprún’s writing. Portrayed in partly negative terms in //Autobiografía de Federico Sánchez//, as the Spanish Communist Party leadership is ignorant of the true political situation within Spain due to its being outside, in //Adiós, luz de veranos…// it comes to figure as an internalized virtue enabling the writer to pursue his vocationIn //La escritura o la vida// the focus on the concentration camp underlines the traumatic qualities of exile and the difficulty of creating a listener who can relate to the experience of extreme alienation.
  
 +  * [[http://dx.doi.org/10.1080/13260219.2011.579888|Omlor, 2011, PDF]] ###
  
  

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