Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine
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oeuvres:caroline_lamarche_-_ensemble_de_l_oeuvre [2016/08/30 11:36] – Virginie Savard | oeuvres:caroline_lamarche_-_ensemble_de_l_oeuvre [2016/09/06 13:17] – Modified from the form at oeuvres:caroline_lamarche_-_ensemble_de_l_oeuvre Virginie Savard | ||
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[Les] œuvres avec lesquelles Caroline Lamarche débute et se signale d’emblée comme un écrivain audacieux et sans compromis, comportent certains traits que l’on voudrait traiter comme programmatiques pour l’œuvre à venir. Se laisse voir d’abord la dimension initiatique des parcours des protagonistes lamarchiens. Le dernier roman le dit, on l’a vu, explicitement au travers de ce conte qui donne son titre au roman, mais le caractère de quête ainsi que l’évolution du personnage sur un chemin de douleur et de sacrifice qui le mène, ou le rapproche pour le moins, à lui-même, apparaît déjà dans le tout premier texte de Lamarche, . Rappelons qu’il s’agit, dans ce roman des plus audacieux, de l’histoire d’une femme qui n’ayant gardé de son enfance aucun souvenir ni du corps d’elle-même ni de celui de sa mère, décide de le reconstruire dans sa conscience à travers le corps des hommes. Elle répond à une annonce où " | [Les] œuvres avec lesquelles Caroline Lamarche débute et se signale d’emblée comme un écrivain audacieux et sans compromis, comportent certains traits que l’on voudrait traiter comme programmatiques pour l’œuvre à venir. Se laisse voir d’abord la dimension initiatique des parcours des protagonistes lamarchiens. Le dernier roman le dit, on l’a vu, explicitement au travers de ce conte qui donne son titre au roman, mais le caractère de quête ainsi que l’évolution du personnage sur un chemin de douleur et de sacrifice qui le mène, ou le rapproche pour le moins, à lui-même, apparaît déjà dans le tout premier texte de Lamarche, . Rappelons qu’il s’agit, dans ce roman des plus audacieux, de l’histoire d’une femme qui n’ayant gardé de son enfance aucun souvenir ni du corps d’elle-même ni de celui de sa mère, décide de le reconstruire dans sa conscience à travers le corps des hommes. Elle répond à une annonce où " | ||
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+ | Jeannine Pâque, « Un fantastique au féminin pluriel : Jacqueline Harpman et Caroline Lamarche », dans Ana GONZALEZ SALVADOR (dir.), //Couloirs du fantastique//, | ||
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