Auteurs contemporains

Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine

Outils pour utilisateurs

Outils du site


Différences

Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.

Lien vers cette vue comparative

Les deux révisions précédentesRévision précédente
oeuvres:catoblepas [2015/11/05 13:18] Audrey Thériaultoeuvres:catoblepas [2015/11/05 13:23] (Version actuelle) Audrey Thériault
Ligne 9: Ligne 9:
 ===== Documentation critique ===== ===== Documentation critique =====
  
-CHAILLOU, Aurore, « Stratégies identitaires et littéraires dans l'oeuvre de Farida Belghoul et de Gaétan Soucy », mémoire de maîtrise, Département de Littérature Comparée, Université de Limoges, et Department of Classical & Modern Languages & Literatures, Université du Texas, 2005, 126 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise+CHAILLOU, Aurore, « Stratégies identitaires et littéraires dans l'oeuvre de Farida Berghoul et de Gaétan Soucy », mémoire de maîtrise, département de littérature comparée, Université de Limoges, et Department of Classical & Modern Languages & Literatures, Texas Tech University, 2005, 126 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise
  
-###« En raison de l'évolution du statut de la femme, longtemps opprimée et marginalisée, mais qui désormais ose faire entendre sa voix, elle devient dans la littérature moderne, et dans ces littératures "mineures" en particulier, la métaphore de la minorité opprimée qui cherche à s'émanciper. Ceci est illustré dans les deux romans qui font l'objet de notre analyse: //Georgette!//(1986), unique roman publié de l'auteure "beure" Farida Belghoul, et //La petite fille qui aimait trop les allumettes //(1998), troisième roman du québécois Gaétan Soucy. [...] Notre étude se donne pour but de révéler la spécificité des deux romans étudiés. »+###« En raison de l'évolution du statut de la femme, longtemps opprimée et marginalisée, mais qui désormais ose faire entendre sa voix, elle devient dans la littérature moderne, et dans ces littératures "mineures" en particulier, la métaphore de la minorité opprimée qui cherche à s'émanciper. Ceci est illustré dans les deux romans qui font l'objet de notre analyse: //Georgette!// (1986), unique roman publié de l'auteure "beure" Farida Belghoul, et //La petite fille qui aimait trop les allumettes// (1998), troisième roman du québécois Gaétan Soucy. [...] Notre étude se donne pour but de révéler la spécificité des deux romans étudiés. » 
 (Extrait de l'introduction) (Extrait de l'introduction)
  
-Noteen raison de la complémentarité de //La petite fille qui aimait trop les allumettes//et de la pièce de théâtre //Catoblépas//, celle-ci fait également l'objet de l'étude. +  * [[http://hdl.handle.net/2346/15817|Chaillou, 2005, PDF]]
-  * [[etd.lib.ttu.edu/theses/available/etd-05052005-165554/ unrestricted/AuroreChaillouthesis.pdf|Chaillou, 2005, PDF]] +
-  * {{AuroreChaillouthesis.pdf}}+
 ### ###
  
-ROBERT, Lucie, « Cryptes et révélations », //Voix et images,// vol. XXVII, n° 2 (n° 80 [[traitement|—]] hiver 2002), p. 353-360. +++ Article de revue +ROBERT, Lucie, « Cryptes et révélations », dans //Voix et images,// vol. 27, n° 2-80 (hiver 2002), p. 353-360. +++ Article de revue
- +
-###« Que les auteurs dramatiques tendent à remplacer l'action dramatique par la mise en scène d'une énigme, est un autre indice du caractère prépondérant de la narration sur la dramatisation dans la dramaturgie contemporaine. Et si les auteurs dramatiques dont il est question ici [Normand Chaurette, Gaétan Soucy, Stefan Psenak] sont aussi, pour la plupart, des romanciers, la chose ne devrait pas nous étonner : confronté à l'indicible, le romancier doit se taire ou trouver une autre manière de dire. Or, cacher, ne pas montrer reste le privilège d'un art qui repose précisément sur le visible. En passant d'une écriture narrative à une écriture dramatique, l'auteur renforce son propos. Encore faut-il qu'il en ait eu un au départ. » +
-(Extrait de l'introduction) +
- +
-//L'article est disponible en ligne via le site d'//[[font-style: italic;|Érudit]]###+
  
 +###« Que les auteurs dramatiques tendent à remplacer l'action dramatique par la mise en scène d'une énigme, est un autre indice du caractère prépondérant de la narration sur la dramatisation dans la dramaturgie contemporaine. Et si les auteurs dramatiques dont il est question ici [Normand Chaurette, Gaétan Soucy, Stefan Psenak] sont aussi, pour la plupart, des romanciers, la chose ne devrait pas nous étonner : confronté à l'indicible, le romancier doit se taire ou trouver une autre manière de dire. Or, cacher, ne pas montrer reste le privilège d'un art qui repose précisément sur le visible. En passant d'une écriture narrative à une écriture dramatique, l'auteur renforce son propos. Encore faut-il qu'il en ait eu un au départ. » (Extrait de l'introduction)
  
 +  * [[http://id.erudit.org/iderudit/290063ar|Robert, 2002, PDF]]
 +###
  
 HELLOT, Marie-Christiane, « Du risque, du réconfort... et de la pertinence de monter //les Bonnes// et //Catoblépas// », dans //Jeu//, no 101-4 (2001), p. 93-98. +++ Article de revue HELLOT, Marie-Christiane, « Du risque, du réconfort... et de la pertinence de monter //les Bonnes// et //Catoblépas// », dans //Jeu//, no 101-4 (2001), p. 93-98. +++ Article de revue
  
-### [[http://id.erudit.org/iderudit/26305ac|Hellot, 2001, PDF]] ###+###  
 +  * [[http://id.erudit.org/iderudit/26305ac|Hellot, 2001, PDF]] ###
  
 <pagemod add_ref>@@Référence@@ +++ @@Type@@ <pagemod add_ref>@@Référence@@ +++ @@Type@@

Outils de la page

complaint