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Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine

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 [[auteurs:Daniel Lemahieu]]  [[auteurs:Daniel Lemahieu]] 
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-**Les études classées dans cette section portent sur au moins trois oeuvres de Daniel Lemahieu :** 
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-L’étalon or,//(1981-1988), Paris, Théâtre Ouvert (Enjeux), 1988. 
-//L’idéal//, (1988-1989), Paris, Editions des Quatre-Vents, 1990.  
-//La dernière classe//, dans //Brèves d’auteurs//, Arles, Actes Sud (Babel), 1993.  
-//Lumière, //dans //Le théâtre et le temps qui passe. Mémoires singulières//, Bruxelles, Lansman, 1995.  
-//Théâtre 1//, Domens, Pézenas, 1997. 
-Comprend : //Les baigneuses//(1995-1997) ; //Nazebrock//(1992-1996) ; //D’siré //(1982, nouvelle version 1996) ; //Entre chien et loup//(1979, nouvelle version 1997) ; //Usinage//(1981-1982, nouvelle version 1997) ; //Beaux draps//(1984) ; //Lady M //(1982) ; //Djebels//(1983-1988) ; //La gangrène//(1976, nouvelle version 1996). 
-//La petite fille et le corbeau//, Pézenas, Domens, 2000.  
-//Théâtre 2//, Pézenas, Domens, 2002.  
-Comprend : //Viols//(1977) ; //Le tiers exclu//(1978) ; //Bye bye Lehrstück //(1990, nouvelle version en 1998) //; Les veaux de ville ou les erectus pithèques//(1998-1999) ; //Les allogènes//(1999-2000). 
-//L’horreur est humaine//, dans //La plus grande pièce du monde//, s.l.d. Jean-Michel Ribes, Paris, L’Amandier, 2002.  
-//Le petit à la mère//, Pézenas, Domens, 2003.  
-//Une hirondelle ne fait pas le printemps même avec son tutu rosse//, dans //Monologues pour et autres textes//, Montpellier, Editions Espace 34 (Théâtres Labyrinthes), 2003, p. 37-44.  
-//La dialectique peut-elle casser des briques ? Un exercice de style automobile//, dans// Queneau que si !,//Paris, L’Avant-scène Théâtre (Les Quatre-vents), 2003, p. 66-91. 
-//L’utopie à crédit//, numéros 19 et 20 de la revue //Théâtres en Bretagne//, Rennes, 2004. 
  
 ===== Documentation critique ===== ===== Documentation critique =====
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 BOISSEAU, Rosita, « Daniel Lemahieu. La voix tracée », //Théâtre Magazine// (été 1999), p. 78-80. +++ Article de revue BOISSEAU, Rosita, « Daniel Lemahieu. La voix tracée », //Théâtre Magazine// (été 1999), p. 78-80. +++ Article de revue
  
-HEYMANN, Pierre-Etienne, « L'encre et le ragoût. À propos de l'oeuvre de Daniel Lemahieu », //Alternatives Théâtrales,// n°61 (juillet 1999), p. 90-92. +++ Article de revue+HEYMANN, Pierre-Etienne, « L'encre et le ragoût. À propos de l'oeuvre de Daniel Lemahieu », //Alternatives Théâtrales,// n° 61 (juillet 1999), p. 90-92. +++ Article de revue
  
-LAZARO, François, « Traducteur de langues étrangères », //Alternatives Théâtrales//, n°72 (avril 2002), p. 30-33. +++ Article de revue+LAZARO, François, « Traducteur de langues étrangères », //Alternatives Théâtrales//, n° 72 (avril 2002), p. 30-33. +++ Article de revue
  
 RYNGAERT, Jean-Pierre, « Lemahieu, Daniel », dans Michel CORVIN (dir.), //Dictionnaire encyclopédique du théâtre//, Paris, Bordas, 1991. +++ Autre (voir le commentaire pour plus de détail) RYNGAERT, Jean-Pierre, « Lemahieu, Daniel », dans Michel CORVIN (dir.), //Dictionnaire encyclopédique du théâtre//, Paris, Bordas, 1991. +++ Autre (voir le commentaire pour plus de détail)
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 HERSANT, Céline, « Recyclage et fabrique continue du texte chez Valère Novarina, Noëlle Renaude et Daniel Lemahieu », thèse de doctorat, département des études théâtrales, Université de Paris III - Sorbonne Nouvelle, 2006, 837 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise HERSANT, Céline, « Recyclage et fabrique continue du texte chez Valère Novarina, Noëlle Renaude et Daniel Lemahieu », thèse de doctorat, département des études théâtrales, Université de Paris III - Sorbonne Nouvelle, 2006, 837 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise
  
-###« L’ensemble de ces études propose de démêler l’écheveau de trois œuvres théâtrales contemporaines s’attachant notamment à mettre en scène le geste d’écriture et les conditions de production du texte au sein de la fiction théâtrale. En prenant la forme de petites enquêtes et de parcours parfois incertains dans les œuvres, ces études tentent de cerner les imageries développées par chaque auteur et plus particulièrement les métaphores se rapportant aux techniques de la couture. L’investigation porte donc sur le travail de reprisage ou de tramage intertextuel qui anime ces trois œuvres, mais cherche aussi à interroger un modus operandi, c’est-à-dire les procédures et les techniques d’écriture élaborées par chacun pour construire des systèmes signifiants. L’essentiel de cette démarche consiste à trouver la bonne posture et la bonne distance de lecture quand l’œuvre semble échapper à toute linéarité. L’approche des textes de Valère Novarina, Noëlle Renaude et Daniel Lemahieu tend en effet à devenir un véritable jeu d’orientation : comment naviguer dans les strates textuelles ou les multiples ramifications offertes par de micro-variations ; où trouver des repères dans un espace dramatique confondant sans cesse, avec le jeu typographique, le cadre et le hors-cadre ; comment dresser la carte d’une œuvre sans solution de continuité ? En cherchant ainsi le mode d’emploi du texte, le lecteur, devenu peut-être malgré lui rhapsode, assume finalement, aux côtés de l’auteur, le rôle de monteur. À lui de recomposer une unité dissoute sous la pression d’assemblages fragmentaires et de recoudre un texte souvent livré en lambeaux. » +###**Résumé**\\ 
-(Résumé joint à la thèse)+« L’ensemble de ces études propose de démêler l’écheveau de trois œuvres théâtrales contemporaines s’attachant notamment à mettre en scène le geste d’écriture et les conditions de production du texte au sein de la fiction théâtrale. En prenant la forme de petites enquêtes et de parcours parfois incertains dans les œuvres, ces études tentent de cerner les imageries développées par chaque auteur et plus particulièrement les métaphores se rapportant aux techniques de la couture. L’investigation porte donc sur le travail de reprisage ou de tramage intertextuel qui anime ces trois œuvres, mais cherche aussi à interroger un modus operandi, c’est-à-dire les procédures et les techniques d’écriture élaborées par chacun pour construire des systèmes signifiants. L’essentiel de cette démarche consiste à trouver la bonne posture et la bonne distance de lecture quand l’œuvre semble échapper à toute linéarité. L’approche des textes de Valère Novarina, Noëlle Renaude et Daniel Lemahieu tend en effet à devenir un véritable jeu d’orientation : comment naviguer dans les strates textuelles ou les multiples ramifications offertes par de micro-variations ; où trouver des repères dans un espace dramatique confondant sans cesse, avec le jeu typographique, le cadre et le hors-cadre ; comment dresser la carte d’une œuvre sans solution de continuité ? En cherchant ainsi le mode d’emploi du texte, le lecteur, devenu peut-être malgré lui rhapsode, assume finalement, aux côtés de l’auteur, le rôle de monteur. À lui de recomposer une unité dissoute sous la pression d’assemblages fragmentaires et de recoudre un texte souvent livré en lambeaux. »
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 LE PORS, Sandrine, « Le théâtre des voix dans les écritures dramatiques contemporaines : Jon Fosse, Sarah Kane, Patrick Kermann, Daniel Lemahieu, Roland Schimmelpfennig, Michel Vinaver », thèse de doctorat, département des études théâtrales, Université de Paris III - Sorbonne Nouvelle, 2007, 423 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise LE PORS, Sandrine, « Le théâtre des voix dans les écritures dramatiques contemporaines : Jon Fosse, Sarah Kane, Patrick Kermann, Daniel Lemahieu, Roland Schimmelpfennig, Michel Vinaver », thèse de doctorat, département des études théâtrales, Université de Paris III - Sorbonne Nouvelle, 2007, 423 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise
  
-###« Étudié à travers un corpus composé de six œuvres contemporaines – celles de Vinaver, Lemahieu, Kermann, Kane, Fosse et Schimmelpfennig –, //Le Théâtre des voix//permet de dresser les contours d’un paysage théâtral où l’organisation poétique de différentes voix constitue la charpente du drame. Une première partie traite de dramaturgies fondées sur des compositions rythmiques qui prennent en compte une réception auditive. Une deuxième partie déplace l’analyse sous l’angle du personnage, examinant comment des voix – labiles, erratiques, aux identités flottantes – s’incluent au personnage, s’excluent de lui ou tendent à se substituer à lui. Deux orientations qui ne sont pas incompatibles et qui peuvent très bien se combiner. L’ensemble des études réunies dans cette recherche s’appuie en outre, épisodiquement, sur des pièces d’autres auteurs comme Novarina ou Crimp. De la sorte, cette recherche met à jour un théâtre où la priorité est donnée à la vibration sonore des corps et où le lecteur-spectateur se trouve d’abord touché par l’écoute. » +###**Résumé**\\ 
-(Résumé joint à la thèse)+« Étudié à travers un corpus composé de six œuvres contemporaines – celles de Vinaver, Lemahieu, Kermann, Kane, Fosse et Schimmelpfennig –, //Le Théâtre des voix// permet de dresser les contours d’un paysage théâtral où l’organisation poétique de différentes voix constitue la charpente du drame. Une première partie traite de dramaturgies fondées sur des compositions rythmiques qui prennent en compte une réception auditive. Une deuxième partie déplace l’analyse sous l’angle du personnage, examinant comment des voix – labiles, erratiques, aux identités flottantes – s’incluent au personnage, s’excluent de lui ou tendent à se substituer à lui. Deux orientations qui ne sont pas incompatibles et qui peuvent très bien se combiner. L’ensemble des études réunies dans cette recherche s’appuie en outre, épisodiquement, sur des pièces d’autres auteurs comme Novarina ou Crimp. De la sorte, cette recherche met à jour un théâtre où la priorité est donnée à la vibration sonore des corps et où le lecteur-spectateur se trouve d’abord touché par l’écoute. »
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-RYNGAERT, Jean-Pierre, « Le destinataire flottant et la réponse à retardement dans le dialogue théâtral, note sur //Usinage //de Daniel Lemahieu », dans //Mélanges pour Jacques Scherer : dramaturgies langages dramatiques//, Paris, Nizet, 1986, p. 363-368. +++ Chapitre de collectif 
  
 +PETITJEAN, André,  « Effets d’oralité et de parlure populaire dans les textes dramatiques
 +contemporains », dossier « Les voix du peuple et leurs fictions » (André Petitjean et Jean-Marie Privat, dir.), //Recherches textuelles//, n° 7 (2007), p. 355-396. +++ Article de revue
  
 +### « André Petitjean se penche sur l’écriture dramatique de Daniel Lemahieu et de Xavier Durringer »\\ 
 +(Extrait de [[https://questionsdecommunication.revues.org/777|compte rendu]]) ###
  
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