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oeuvres:dernier_amour [2016/03/29 12:22] – Virginie Savard | oeuvres:dernier_amour [2016/03/29 12:23] (Version actuelle) – Virginie Savard |
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C'est, en somme, un narratif marqué par un état de suspens de l'événement. Je fais donc l'hypothèse que la mise en cause de son Ordre et de la lecture ascendante du temps qu'il propose usuellement est perceptible au niveau microstructural de la succession des éléments sur l'axe syntagmatique, dans la mesure où l'on peut considérer, avec Barthes, que "le récit est une grande phrase, comme toute phrase constative est, d'une certaine manière, l'ébauche d'un petit récit". (...) | C'est, en somme, un narratif marqué par un état de suspens de l'événement. Je fais donc l'hypothèse que la mise en cause de son Ordre et de la lecture ascendante du temps qu'il propose usuellement est perceptible au niveau microstructural de la succession des éléments sur l'axe syntagmatique, dans la mesure où l'on peut considérer, avec Barthes, que "le récit est une grande phrase, comme toute phrase constative est, d'une certaine manière, l'ébauche d'un petit récit". (...) |
Pour le montrer, c'est par le biais formel de la ponctuation (...) que l'appréhenderai cette question. (...) | Pour le montrer, c'est par le biais formel de la ponctuation (...) que l'appréhenderai cette question. (...) |
Dans le cadre de cet article, je m'attacherai spécifiquement à l'étude de la force subversive de ce "topogramme libre" qu'est le point au sein du récit contemporain, à l'appui de quelques romans de Gailly, Oster, Echenoz et Mauvignier. » | Dans le cadre de cet article, je m'attacherai spécifiquement à l'étude de la force subversive de ce "topogramme libre" qu'est le point au sein du récit contemporain, à l'appui de quelques romans de Gailly, Oster, Echenoz et Mauvignier. »\\ |
(Extrait de l'introduction, p. 325) | (Extrait de l'introduction, p. 325) |
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