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Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine

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oeuvres:dissimulations [2015/03/12 12:39] – [Dissimulations] Camille Arpinoeuvres:dissimulations [2015/03/12 12:41] – Modified from the form at oeuvres:dissimulations Camille Arpin
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 [[auteurs:Sergio Kokis]] - Montréal, Lévesque éditeur (Réverbération), 2010, 240 pages. [[auteurs:Sergio Kokis]] - Montréal, Lévesque éditeur (Réverbération), 2010, 240 pages.
  
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 « On sait que les thèmes de prédilection de Sergio Kokis — l’errance, l’exil, la mélancolie — ont donné lieu jusqu’à maintenant à des sommes narratives imposantes, propices à l’analyse psychologique et philosophique, comme dans //Errances// ou, plus récemment, dans //Le retour de Lorenzo Sánchez//. Avec la nouvelle, l’écriture de Kokis gagne en concision. Nous découvrons, dans son recueil, un style moins introspectif ainsi que des personnages riches et complexes campés dans des histoires captivantes et originales. Le Brésil et l’Amérique latine y sont encore les lieux de mille et une fabulations ; le Nord, le lieu de la maturité, de l’expérience et, parfois, de la déception. D’une certaine manière, //Dissimulations// fait la synthèse de l’oeuvre littéraire de Kokis. Le recueil est structuré selon la même division que celle des romans : entre le passé et le présent en lien avec l’exil. À l’exception qu’ici, l’errance existentielle est fragmentée en quinze nouvelles et disséminée dans plusieurs personnages et actions. Cela change bien sûr la perspective, qui est pour ainsi dire décentrée. La prose, elle, est tout aussi truculente. » « On sait que les thèmes de prédilection de Sergio Kokis — l’errance, l’exil, la mélancolie — ont donné lieu jusqu’à maintenant à des sommes narratives imposantes, propices à l’analyse psychologique et philosophique, comme dans //Errances// ou, plus récemment, dans //Le retour de Lorenzo Sánchez//. Avec la nouvelle, l’écriture de Kokis gagne en concision. Nous découvrons, dans son recueil, un style moins introspectif ainsi que des personnages riches et complexes campés dans des histoires captivantes et originales. Le Brésil et l’Amérique latine y sont encore les lieux de mille et une fabulations ; le Nord, le lieu de la maturité, de l’expérience et, parfois, de la déception. D’une certaine manière, //Dissimulations// fait la synthèse de l’oeuvre littéraire de Kokis. Le recueil est structuré selon la même division que celle des romans : entre le passé et le présent en lien avec l’exil. À l’exception qu’ici, l’errance existentielle est fragmentée en quinze nouvelles et disséminée dans plusieurs personnages et actions. Cela change bien sûr la perspective, qui est pour ainsi dire décentrée. La prose, elle, est tout aussi truculente. »
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 (Extrait de la présentation d'un entretien avec Nicolas Tremblay paru dans XYZ. La revue de la nouvelle en novembre 2010)  (Extrait de la présentation d'un entretien avec Nicolas Tremblay paru dans XYZ. La revue de la nouvelle en novembre 2010) 
 ===== Documentation critique ===== ===== Documentation critique =====
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 +TREMBLAY, Nicolas, « La nouvelle selon Sergio Kokis », dans //XYZ. La revue de la nouvelle//, n˚ 104 (2010), p.67-75.  +++ Article de revue
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 +### http://id.erudit.org/iderudit/61322ac  TREMBLAY, 2010, PDF ###
  
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