Sylvain Trudel - Montréal, Les Allusifs, 2001, 129 p.
« Du mercure sous la langue raconte les dernières semaines de Frédéric Langlois, un adolescent qui, arrivé prématurément au terme de sa vie, fait le bilan de sa courte existence. Maudissant la compassion et la complaisance, le narrateur fustige l’espoir, l’amour, le bonheur, l’âme, la religion, c’est-à-dire toutes les illusions dont les hommes ont besoin pour adoucir leur condition tragique. » (Quatrième de couverture)
Fiche de l’oeuvre sur Orion
OUELLET, François, « Le nouveau roman québécois et la métaphore christique : fragments d’un discours amoureux », Laval théologique et philosophique, vol. 59, no 3 (octobre 2003), p. 451-459. +++ Article de revue
### « Nombreux sont les romans québécois qui, depuis une quizaine d’années, construisent la figure du personnage à partir d’éléments empruntés à la vie de Jésus. Les romanciers ne cherchent pas à renouveler une quelconque vision de la vie du Christ, mais ils prennent prétexte de l’intertexte christique pour traiter de questions qui les préoccupent. Dans ce contexte, cet article fait voir plus précisément comment Pierre Samson, dans Le Messie de Belém, et Sylvain Trudel, dans Du mercure sous la langue, développent la question du rapport de l’homme à l’amour. Tandis que le rapport amoureux est fondateur d’un nouvel espoir messianique chez Pierre Samson, il apparaît radicalement voué à l’inexistence chez Sylvain Trudel. (Résumé joint à l’article)
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BIRON, Michel, « Écrire du côté de la mort », Voix et images, vol. 27, no 2 (no 80 - hiver 2002), p. 337-342. +++ Article de revue
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Du mercure sous la langue (oeuvre) | |
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Titre | Du mercure sous la langue |
Auteur | Sylvain Trudel |
Parution | 2001 |
Tri | Du mercure sous la langue |
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