Jacques Poulin, L’anglais n’est pas une langue magique, Montréal - Arles, Léméac - Actes Sud, 2009, 160 p.
« Francis, le petit frère de l’écrivain Jack Waterman, est “lecteur sur demande”. Un coup de fil et il arrive chez vous dans Mini Cooper. Il aime les textes qui parlent des Indiens, de la traite des fourrures, de la place immense que le français a déjà occupé en Amérique. Sa cliente principale est Limoilou, une jeune fille de Québec qui porte encore aux poignets les cicatrices qu’elle avait à la fin de La traduction est une histoire d’amour. Les mots que lit Francis ont parfois des vertus thérapeutiques. Le petit frère serait presque heureux, mais il y a ce rendez-vous manqué avec une mystérieuse femme, et la “Police montée” qui le prend en filature devant les Plaines d’Abraham où la Nouvelle-France est tombée jadis aux mains de l’Angleterre… »
(Quatrième de couverture)
L’anglais n’est pas une langue magique sur Orion Qc
LINDBERG, Svante, « La langue-culture face au monde dans trois roman québécois 2007-2009 », dans Cécilia W. Francis et Robert Viau (dir.), Trajectoires et dérives de la littérature-monde. Poétiques de la relation et du divers dans les espaces francophones, Amsterdam, Rodopi-Brill (Francopolyphonies), 2013, p. 499-517. +++ Chapitre de collectif
LÜSEBRINK, Hans-Jürgen, « Éloge du français et apologie de la lecture. L’anglais n’est pas une langue magique de Jacques Poulin », dans Gilles Dupuis et Klaus-Dieter Ertler (dir.), À la carte. Le roman québécois (2005-2010), Berne (Suisse), Peter Lang, 2011, p. 335-348. +++ Chapitre de collectif
RIENDEAU, Pascal, « De la nostalgie d’un monde possible à la possible fin du monde », Voix et Images, vol. 35, n° 1 (automne 2009), p. 120-125. +++ Article de revue
### Riendeau, 2009, PDF ###
L'anglais n'est pas une langue magique (oeuvre) | |
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Titre | L'anglais n'est pas une langue magique |
Auteur | Jacques Poulin |
Parution | 2009 |
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