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Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine

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oeuvres:la_memoire_de_l_eau [2015/02/12 17:04] – [Documentation critique] Camille Arpinoeuvres:la_memoire_de_l_eau [2015/02/12 17:05] – [Documentation critique] Camille Arpin
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 « D’une part, l’apprentissage de la lecture littéraire sollicite des normes génériques qui sont autant d’opérateurs de lisibilité, de sorte que leur construction chez les élèves est essentielle. D’autre part, l’acquisition tout aussi essentielle de valeurs culturelles autres requiert elle aussi un certain apprentissage. En ce sens, l’enseignement de la littérature pourrait, dès le niveau primaire, procéder en se référant d’abord aux genres et, plus spécifiquement, à celui du récit de vie, de manière à favoriser l’ouverture à l’Autre et à ceux qui portent en eux leur ailleurs. Qu’il s’agisse d’une traduction ou qu’il appartienne à l’écriture migrante, le récit de vie se révèle un outil précieux en classe pour lire le littéraire, mais aussi pour lire l’Autre et s’ouvrir à la différence. Le récit de vie s’articule notamment autour d’un double noeud didactique, celui de l’en dedans, son appartenance générique, et celui de l’en dehors, la rencontre entre deux cultures, celle de l’écrivain et celle du lecteur. Du moins est-ce là ce que montrent deux oeuvres dont on propose l’examen : //Que cent fleurs s’épanouissent// (1990) de Feng Ji Cai et //La mémoire de l’eau// (1992) de Ying Chen. » « D’une part, l’apprentissage de la lecture littéraire sollicite des normes génériques qui sont autant d’opérateurs de lisibilité, de sorte que leur construction chez les élèves est essentielle. D’autre part, l’acquisition tout aussi essentielle de valeurs culturelles autres requiert elle aussi un certain apprentissage. En ce sens, l’enseignement de la littérature pourrait, dès le niveau primaire, procéder en se référant d’abord aux genres et, plus spécifiquement, à celui du récit de vie, de manière à favoriser l’ouverture à l’Autre et à ceux qui portent en eux leur ailleurs. Qu’il s’agisse d’une traduction ou qu’il appartienne à l’écriture migrante, le récit de vie se révèle un outil précieux en classe pour lire le littéraire, mais aussi pour lire l’Autre et s’ouvrir à la différence. Le récit de vie s’articule notamment autour d’un double noeud didactique, celui de l’en dedans, son appartenance générique, et celui de l’en dehors, la rencontre entre deux cultures, celle de l’écrivain et celle du lecteur. Du moins est-ce là ce que montrent deux oeuvres dont on propose l’examen : //Que cent fleurs s’épanouissent// (1990) de Feng Ji Cai et //La mémoire de l’eau// (1992) de Ying Chen. »
  
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