Patrick Deville

Paris, Seuil (Fiction & Cie), 2006, 140 p.

« Peu de villes au monde, autant que Montevideo, savent ainsi suinter la nostalgie. J’attendais  l’ouverture du café Sorocabana, et patientais dans les boutiques en entresol du marché aux puces, comme si j’allais y découvrir une raison de vivre soldée mais en assez bon état, et j’étais tombé, comme au fond d’un puits, sur la photographie de 1933 dont j’avais oublié depuis deux ans l’existence. »

BAETENS, Jan, « La novellisation contemporaine en langue française », dans Ce que le cinéma fait à la littérature (et réciproquement), Fabula LHT (Littérature, histoire, théorie), no 2 (décembre 2006), [en ligne]. +++ Article de revue

###L’article n’est pas entièrement consacré à Patrick Deville mais cite plusieurs auteurs contemporains : il propose néanmoins un axe de lecture intéressant pour La tentation des armes à feu.###

HAMEL, Jean-François, « Le pistolet passé sous la ceinture », Critique, no 719 (avril 2007), p. 263-378. +++ Article de revue

BERNARD-RABADI, Isabelle“ La nouvelle tentation romanesque de Patrick Deville : Pura Vida et La Tentation des armes à feu”, Estudios Romanicos (Université de Murcia, Espagne), vol19, 2010, p. 53-82. +++ Article de revue