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Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine

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oeuvres:les_verbes_majeurs [2016/09/23 14:46] – Modified from the form at oeuvres:les_verbes_majeurs Audrey Thériaultoeuvres:les_verbes_majeurs [2016/09/27 17:05] (Version actuelle) Audrey Thériault
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 [[auteurs:Pierre Nepveu]] - Montréal, Éditions du Noroît, 2009, 98 p. [[auteurs:Pierre Nepveu]] - Montréal, Éditions du Noroît, 2009, 98 p.
  
-« D’un trajet en métro au désert du Sud-Ouest américain, en passant par les tours à bureaux du centre-ville et quelques deuils, ce livre en quatre temps est une quête de raisons de vivre. S’il propose des «exercices de survie», ce n’est pas par cynisme ou désabusement, mais par espoir de dépasser la mort en retrouvant un chemin de vie plus dénudé, plus essentiel. Les «verbes majeurs» sont les plus simples mais en réalité les seuls qui comptent : «naître, grandir, aimer / penser, croire, mourir». On s’y cherche, on s’y découvre, on s’y brise. Au bout du parcours, au rythme d’un vieux rituel amérindien de guérison, s’ouvre l’espace d’un rassemblement, d’une ultime lumière. Mais il n’y a pas d’au-delà : nous habitons des tunnels, des maisons, des jardins, des villes aimées, et quelques paysages. On revient toujours chez soi, parfois avec seulement quelques pierres à déposer sur la table. On recommence, on se remet en mouvement. » (Éditions du Noroît)+{{ oeuvres:les_verbes_majeurs.jpg?100|}} 
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 +« D’un trajet en métro au désert du Sud-Ouest américain, en passant par les tours à bureaux du centre-ville et quelques deuils, ce livre en quatre temps est une quête de raisons de vivre. S’il propose des "exercices de survie", ce n’est pas par cynisme ou désabusement, mais par espoir de dépasser la mort en retrouvant un chemin de vie plus dénudé, plus essentiel. Les "verbes majeurs" sont les plus simples mais en réalité les seuls qui comptent : "naître, grandir, aimer / penser, croire, mourir". On s’y cherche, on s’y découvre, on s’y brise. Au bout du parcours, au rythme d’un vieux rituel amérindien de guérison, s’ouvre l’espace d’un rassemblement, d’une ultime lumière. Mais il n’y a pas d’au-delà : nous habitons des tunnels, des maisons, des jardins, des villes aimées, et quelques paysages. On revient toujours chez soi, parfois avec seulement quelques pierres à déposer sur la table. On recommence, on se remet en mouvement. » (Présentation de l'éditeur)
  
 ===== Documentation critique ===== ===== Documentation critique =====
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 PARÉ, François, « Blanche transcendance du poème : Dorion, Riopel, Nepveu », //Québec français//, no 172 (2014), p. 45-47. +++ Article de revue PARÉ, François, « Blanche transcendance du poème : Dorion, Riopel, Nepveu », //Québec français//, no 172 (2014), p. 45-47. +++ Article de revue
  
-### [[http://id.erudit.org/iderudit/72013ac|Paré, 2014, PDF]] ###+###  
 +  * [[http://id.erudit.org/iderudit/72013ac|Paré, 2014, PDF]] ###
  
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