Auteurs contemporains

Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine

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Marie NDiaye - ensemble de l'oeuvre

Documentation critique

MOUDILENO, Lydie, « Marie NDiaye’s Discombobulated Subject », Substance, vol. 35, n° 3 (n° 111 - 2006), p. 83-94. +++ Article de revue

###Résumé (Academic Search Premier)
« The article analyzes French author Marie NDiaye’s style in writing novels. With the publication of six novels, she has established herself as one of the most talented writers in the cohort of new authors who have contributed to the revival of the French novel in the last twenty-five years. What critics usually praise is the singularity of her fictions, which combine a thematic engagement with social issues and an extraordinary talent for storytelling. »

Moudileno, 2006, PDF ###

RYE, Gill, « New Women’s Writing in France », Modern & Contemporary France, vol. 10, n° 2 (mai 2002), p. 165-175. +++ Article de revue

###Résumé (Academic Search Premier)
« Recent years have been marked by the deaths of a number of central figures of French women’s writing : Marguerite Duras (1996), Christiane Rochefort (1998), Nathalie Sarraute (1999) […] None the less, the passing of one generation of authors has coincided with the rise of a new generation of particylarly exciting writers […] Name such as Christine Angot, Marie Darrieussecq […] Marie NDiaye […]. »

Rye, 2002, PDF ###

MICHEL, N., « Marie NDiaye : Plis et replis dans le roman français », Critique, vol. 53, n° 605 (1997), p. 734-744. +++ Article de revue

###Résumé
« Cette étude tente de situer l’écriture de Marie NDiaye au sein du roman contemporain français, et de ses principaux courants, que l’auteur classe autour de trois pôles, soit le roman de langue, le roman social et l’anti-roman. Cette tentative de classification est l’occasion d’une réflexion générale sur l’état actuel du roman, et traite également de la manière dont NDiaye s’insère dans ce décor tout en y apportant sa touche personnelle. » ###

GALLI PELLEGRINI, Rosa, « Marie NDiaye : de l’abandon à la (ré)-appropriation. Thèmes et techniques romanesques », dans Rosa GALLI PELLEGRINI (dir.), Trois études sur le roman de l’extrême contemporain : Marie Ndiaye, Sylvie Germain, Michel Chaillou, Paris/Fasano, PU de Paris-Sorbonne, 2004, p. 9-49. +++ Chapitre de collectif

SARREY-STRACK, Colette, Fictions contemporaines au féminin : Marie Darrieussecq, Marie NDiaye, Marie Nimier, Marie Redonnet, Paris, L’Harmattan, 2002, 276 p. +++ Monographie

###Corpus retenu
Quant au riche avenir, La femme changée en bûche, En famille, Un temps de saison, La sorcière###

ROUSSOS, Katherine, Décoloniser l’imaginaire : du réalisme magique chez Maryse Condé, Sylvie Germain et Marie Ndiaye, Paris, L’Harmattan (Bibliothèque du féminisme), 2007, 251 p. +++Monographie

###Résumé
Le réalisme magique, genre littéraire d’Amérique latine, repris aujourd’hui par les auteurs postcoloniaux, est né de la rébellion contre l’oppression colonisatrice. Cet ouvrage étudie le rôle important des romancières fondatrices qui ont utilisé ce genre littéraire pour remettre en cause la domination masculine et s’attache ensuite à étudier particulièrement les oeuvres romancières de Maryse Condé, Sylvie Germain et Marie Ndiaye.

Ce texte est d’abord paru en tant que thèse de doctorat :
ROUSSOS, Katherine, « Le réalisme magique en quête de liberté chez des romancières contemporaines : Maryse Condé, Marie NDiaye, Sylvie Germain », thèse de doctorat, département de lettres modernes, Université Paul Valéry (Montpellier), 2005, 492 f.###

LINDON, Mathieu, Je vous écris : récits critiques, Paris, POL, 2004, 151 p. +++ Monographie

###Cette monographie contient un chapitre de critique et d’interprétation de l’oeuvre de Marie NDiaye. ###

VIART, Dominique, et Bruno VERCIER, La littérature française au présent : héritage, modernité, mutations, Paris, Bordas, 2005, 511 p.   +++ Monographie

###Cette monographie contient certains passages concernant Marie NDiaye :

  • Rosie Carpe (p. 226 ; 399-401)
  • Quant au riche avenir (p.399-401)
  • Le femme changée en bûche (p.399-401)
  • En famille (p.399-401)
  • Tous mes amis (p. 399-401)

###

COTTILLE-FOLEY, Nora, « Permanence et métamorphose : l’évolution du lieu de mémoire Paris-Province de J.K. Huysmans à Marie NDiaye », Essays in French Literature, n° 43 (juillet 2006), p. 47-64. +++ Article de revue

COTTILLE-FOLEY, Nora, « Postmodernité, non-lieux et mirages de l’anamnèse dans l’oeuvre de Marie NDiaye », French Forum, vol. 31, n° 2 (printemps 2006), p. 81-94. +++ Article de revue

###Cotille-Foley, 2006, HTML ###

FLÜGGE, Manfred, « Avantgarde wider Willen : Jean Echenoz, Patrick Deville, Eric Chevillard, Marie NDiaye, Hélène Merlin, Marie Redonnet », dans Die Widerkehr des Spieler. Tendenzen des Französische Roman nach Sartre, Marburg, Hitzeroth, 1993, p. 54-64. +++ Monographie

KAPI, Catherine Afua, « Writing as a Cultural Negotiation : A Study of Mariama Ba, Marie NDiaye and Ama Ata Aidoo », thèse de doctorat, Faculty of Arts and Sciences, Louisiana State University, 2006, 225 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise

###Résumé
« Critical review of the existing literature on African women writers clearly shows that nowhere is the question of writing as a cultural negotiation posed, discussed or much less addressed. This is a lacuna that this dissertation addresses for the first time by proposing a re-reading of the selected works of Ama Ata Aidoo, Mariama Bâ and Marie NDiaye through the new prism of writing as part of cultural negotiation. In doing so, the dissertation goes beyond the paradigm of binary oppositions that undergirds the critical literature on writing by Sub-Saharan women in favor of the innovative concept of negotiation. In addressing women’s issues such as marriage and polygamy, motherhood and witchcraft, this study makes the powerful case that Mariama Bâ, Ama Ata Aidoo and Marie NDiaye have negotiated a space of creativity for themselves through writing, hitherto the preserve of men, and from which they pose, discuss and address through negotiation, those cultural issues affecting them.

Chapter One, with brief biographical sketches of the writers and a summary of their texts, deals with the theoretical framework for the study by providing the critical overview of Sub-Saharan women writers and in-depth analyses of the concepts of writing, negotiation and culture in order to explain how these women writers are able to negotiate their respective cultures in their writing. In Chapter Two, hybridity and its perils are discussed specifically in relation to the colonizer/colonized binary model. Through this binary, displacement of authority is engendered by means of a series of mimetic identifications with the colonizer by the colonized in an ambivalent hybridized cultural space. We discuss interracial and inter-caste polygamy and their role in the victimization of women in Chapter Three. Chapter Four questions the notion that motherhood is the equivalent of men’s reproductive labor and a source of oppression suggests that empowerment can be derived from surrogacy and freedom of choice. Chapter Five explores modern day beliefs in witchcraft and its cultural impact on women. From the feminist theoretical perspective, the study suggests that witchcraft, if reclaimed by women, is a powerful negotiating tool. »

La version PDF de la thèse est disponible pour les membres de communautés universitaires qui ont un abonnement via UMI - Proquest###

BISHOP, Michael, « Modes de conscience. Germain, NDiaye, Lépront et Sallenave », dans Jan BAETENS et Dominique VIART (dir.), Écritures contemporaines, vol. 2, Minard (Lettres modernes), 1999, p. 99-114. +++ Chapitre de collectif

SIMON, Anne et Audrey LASSERRE (dir.), Nomadismes des romancières contemporaines de langue française, Paris, Presses de la Sorbonne Nouvelle, 2008, 216 p. +++ Collectif

###Présentation sur Fabula. ###

RABATÉ, Dominique, Marie NDiaye, Paris, Textuel (Auteurs), 2008, 116 p. +++ Monographie

KAČKUTÉ, EGLÉ, « La métaphore de la famille chez Marie NDiaye », dans Murielle Lucie CLÉMENT et Sabine VAN WESEMAEL (dir.), Relations familiales dans les littératures française et francophones des XXe et XXIe siècles. La figure de la mère, Paris, l’Harmattan, 2008, p. 273-281. +++ Chapitre de collectif

ASIBONG, Andrew et Shirley JORDAN (dir.), Marie NDiaye : l’étrangeté à l’oeuvre, Paris, Presses Universitaires du Septentrion, 2009, 228 p. +++ Collectif

SNAUWAERT, Maïté, « La bataille identitaire. (Auto)portraits et photographies chez Marie NDiaye », La Licorne, n° 84 (2009), p.149-165. +++ Article de revue

PORFIDO, Ida, « Trois femmes puissantes de Marie NDiaye, ou ‘comment s’extraire […] de ce rêve infini, impitoyable, qui n’était autre que la vie même’ », dans Matteo MAJORANO (dir.), Ecrire le fiel, Bari, B.A. Graphis (Marges critiques/Margini critici, 15), 2010, p. 32-44. +++ Chapitre de collectif

TERMITE, Marinella, « Les couleurs de La Naufragée », dans Andrew ASIBONG et Shirley JORDAN (dir.), Marie NDiaye. L’étrangeté à l’œuvre, Paris, Presses Universitaires du Septentrion, 2009, p. 53-63. +++ Chapitre de collectif

BEHAR, Clarissa, « Uncanny Ghosts : Writing Whiteness in Marie NDiaye », Inter-Disciplinary.Net, +++ Chapitre de collectif

###Abstract
« In longtime colorblind France, the work of contemporary French author and prestigious Prix Goncourt Award Winner for 2009, Marie NDiaye, hailed as one of France’s best contemporary authors but at times still marketed as a Subsaharan Francophone, is remarkable for its shifting constructions of racial Whiteness.

From central and invisible in NDiaye’s early novels, racial Whiteness becomes, over a twenty-five-year-long career to date, increasingly defamiliarized as conspicuously central and invisible, in the form of persistent metaphors that progressively incarnate as uncannily transparent ghosts notably, in the first stage of what proves to be a construction of racial whiteness that unfolds in NDiaye’s later novels, plays as well as scenario for Claire Denis’s film “White Material.”

It is the different stages of this process that I track down in this paper, by examining the metamorphoses of racial Whiteness as it is increasingly articulated in NDiaye’s work. I bring out each time the interrelation between the type of constructs of racial Whiteness available to NDiaye as well as the ones she pushes for, and the changing characteristics of her versatile writing over the years. I indeed argue that NDiaye’s writing is both shaped by dominant colorblind constructs of race that are predicated on the invisibility of racial Whiteness long prevalent in France, as well as functions as a laboratory in which these constructs are questioned and socially progressive alternatives are foregrounded as racial Whiteness is de-invisibilized and articulated.

This interdisciplinary inquiry into the changing constructions of racial Whiteness in NDiaye’s work offers a case in point in the examination of some of the strategies deployed by authors to negotiate the persistent centrality of racial Whiteness to the construction of Frenchness via a literature that has to establish itself as French and therefore white in order to question dominant literary constructs of Frenchness and map out possibilities of undoing French racial nationalism. » ###

BEHAR, Clarissa, « Writing Race in Marie NDiaye », thèse de doctorat, Graduate School of Arts and Sciences, New York University, 2011. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise

ASIBONG, Andrew, « Moja sestra : Marie NDiaye and the Transmission of Horrific Kinship », dans Isabelle McNeill et Bradley Stephens (dir.), Transmissions : Essays in French Literature, Thought and Cinema, Bern, Peter Lang, 2007, p. 95-112. +++ Chapitre de collectif

###« The question I want to address via some examples from the consistently astonishing writings of Marie NDiaye (born 1967) hinges on the psychic, social and ethical stakes of this peculiar two-way transmission, a transmission that both precipitates and is precipitated by the recognition and the address of the weird sister. »
(Extrait de l’article, p. 98)

Asibong, 2007, HTML ###

BARNET, Marie-Claire, « Espèce de vilaine fée ou comment les esprits revinrent à Ève Brulard : la sorcière dans l’oeuvre de Marie NDiaye », dans Margaret-Anne HUTTON (dir.), Redefining the Real : The Fantastic in Contemporary French and Francophone Women’s Writing, Bern, Peter Lang, 2009, p. 225-244. +++ Chapitre de collectif

CAZENAVE, Marie, « Entre migration et errance dans quelques oeuvres de Marie NDiaye », mémoire de master 1, département de Lettres et Arts, Université Stendhal - Grenoble 3, 2010, [n.f.]. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise

###Résumé
« Marie Ndiaye à la fois personnellement et littérairement explore l’espace : elle a beaucoup déménagé et si l’on se penche également sur son oeuvre, il apparaît rapidement qu’elle a deux thèmes de prédilection : la famille et le déplacement. Notre travail se sera donc penché sur la forme romanesque, c’est-à-dire, facilement personnelle qui nous permit de différencier deux de nos trois hypothèses principales de recherche : la migration (simple déplacement d’un lieu vers un autre, éventuellement fréquent) et l’errance (déplacement sans but, souvent alourdi d’un poids psychologique). Ces notions en esquissent en creux une troisième qui permet d’ailleurs de relier à la fois l’oeuvre et son auteur, un troisième espace, mental. Construction de données sensorielles et énonciatives, le paysage devient un objet intériorisé par le personnage, tout comme par l’auteur peut-on supposer, en regardant les intrications entre sa biographie et son oeuvre, un espace particulièrement subjectif. Celui-ci, nous le voyons à l’issue de notre réflexion peut être décliné selon différentes variantes en fonction de la personne qui le construit, comme le suggérait Georges Perec dans La Vie mode d’emploi parlant d’une “géographie dont nous avons oublié que nous sommes les acteurs”.» ###

MOURALIS, Bernard, « Marie NDiaye ou la recherche de l’essentiel », Notre librairie. Revue du livre : Afrique, Caraïbes, Océan Indien, n° 118 (1994), p.108-110. +++ Article de revue

DELTEL, Danielle, « Marie NDiaye : l’ambition de l’universel », Notre librairie. Revue du livre : Afrique, Caraïbes, Océan Indien, n° 118 (1994), p.111-117. +++ Article de revue

DUFFY, Jean, « Liminality and Fantasy in Marie Darrieussecq, Marie NDiaye and Marie Redonnet », Modern Language Notes, vol. 124, n° 4 (2009), p. 901-928. +++ Article de revue

### Duffy, 2009, PDF et HTML ###

GALLI PELLEGRINI, Rosa, « Fantasticheria, fantastico, grottesco : il trattamento del drammatico nei romanzi di Marie NDiaye », Transparenze, nos 27-28 (2006), p. 175-192. +++ Article de revue

GALLI PELLEGRINI, Rosa, « Spostamenti, deambulazioni, fughe nei romanzi di Marie NDiaye: Pulsioni e impedimenti », dans Nuova Corrente: Rivista di Letteratura, dossier « Il romanzo francese contemporaneo (1980-2009) », vol. 56, n° 144 (juillet-décembre 2009), p. 289-308. +++ Article de revue

### Article rédigé en italien . Traduction libre du titre : « Déplacements, errances, fuites dans les romans de Marie NDiaye : Instincts et obstacles » ###

GRAUBNER, Hans-Joachim, « “Je me suis dis” : Und es genügt nicht : Marie NDiaye und der Wert der Identität », dans Wolfgang ASHOLT (dir.), Intertextualität und Subversivität : Studien zur Romanliteratur der achtziger Jahre in Frankreich, Heidelberg, Universitätsverlag Carl Winter, 1994, p. 263-275. +++ Chapitre de collectif

JORDAN, Shirley Ann, « Telling Tales : Marie NDiaye’s Mythopoeic Imagination », dans Contemporary French Women’s Writing : Women’s Visions, Women’s Voices, Women’s Lives, Bern, Peter Lang (Modern French Identities, 37), 2004, p. 151-183. +++ Monographie

###« The current chapter focuses more intensively on women’s relationship to mythical tales and examines how such tales operate as structuring elements in NDiaye’s fiction. More particularly it explores how they relate to the mother figures NDiaye invents, and to women’s experiences of exclusion and marginalisation. In order better to contextualise the specific ways in which NDiaye draws on myth it will hel if we firstly review current thinking about how and why women resort to marvellous ways of telling. Do mythical tales tell us something about the transmission of collective truths and the handing-down from woman to woman of ancient knowledge? Do they tell us something specific about a tale-telling community based on gender identity? »
(Extrait de l’introduction, p. 152)

Jordan, 2004, HTML ###

JORDAN, Shirley Ann, « La quête familiale dans les écrits de Marie NDiaye : nomadisme, (in)hospitalité, différence », dans Anne SIMON et Audrey LASSERRE (dir.), Nomadismes de romancières contemporaines de langue française, Paris, Presses Sorbonne Nouvelle, 2008, +++ Chapitre de collectif

DONOVAN, Frédérique, La lettre, le théâtral et les femmes dans la fiction d’aujourd’hui : Ken Bugul, Marie NDiaye et Pascale Roze, Paris, L’Harmattan (Univers théâtral), 2013, 215 p. +++ Monographie

### Résumé
Qu’est-ce qui depuis l’an 2000 entraîne les auteurs de langue française à utiliser la lettre alors que celle-ci est de plus en plus absente au quotidien ? Pourquoi la lettre resurgit-elle dans les narrations au féminin avec tant de présence ? Que révèle-t-elle ? A travers l’analyse de l’oeuvre de trois femmes de langue française mais d’horizons sensiblement différents : Ken Bugul, Marie NDiaye et Pascale Roze, ce livre tente de répondre à ces questions. ###

BÄHLER, Ursula, « Retour à l’homme : Marie NDiaye et Pascale Kramer », Un retour des normes romanesques dans la littérature française contemporaine, Paris, Presses Sorbonne nouvelle, 2010. +++ Chapitre de collectif

RUHE, Cornelia, « La poétique du flou de Marie NDiaye », dans Daniel BENGSCH et Cornelia RUHE (dir.), Une femme puissante. L’œuvre de Marie NDiaye, Amsterdam, Rodopi (Francopolyphonies), 2013. +++ Chapitre de collectif

SHERINGHAM, Michael, « Ambivalences de l’animalité chez Marie NDiaye », dans Daniel BENGSCH et Cornelia RUHE (dir.), Une femme puissante. L’œuvre de Marie NDiaye, Amsterdam, Rodopi (Francopolyphonies), 2013. +++ Chapitre de collectif

RABATÉ, Dominique, « Marie NDiaye et l’art des dérapages contrôlés », dans Daniel BENGSCH et Cornelia RUHE (dir.), Une femme puissante. L’œuvre de Marie NDiaye, Amsterdam, Rodopi (Francopolyphonies), 2013. +++ Chapitre de collectif

BURNAUTSKI, Sarah, « Jeux de visibilité et d’invisibilité : la production romanesque de Marie NDiaye à la lumière de la crise du républicanisme français », dans Daniel BENGSCH et Cornelia RUHE (dir.), Une femme puissante. L’œuvre de Marie NDiaye, Amsterdam, Rodopi (Francopolyphonies), 2013. +++ Chapitre de collectif

MOUDILENO, Lydie, « Marie NDiaye : entre visibilité et réserve », dans Daniel BENGSCH et Cornelia RUHE (dir.), Une femme puissante. L’œuvre de Marie NDiaye, Amsterdam, Rodopi (Francopolyphonies), 2013. +++ Chapitre de collectif

SYLLA, Abdoulaye, « Le négoce de la distance : rhétorique des rapports humains dans le théâtre de Marie NDiaye », dans Daniel BENGSCH et Cornelia RUHE (dir.), Une femme puissante. L’œuvre de Marie NDiaye, Amsterdam, Rodopi (Francopolyphonies), 2013. +++ Chapitre de collectif

FEBEL, Gisela, « Livres pour enfants et protagonistes jeunes dans l’œuvre de Marie NDiaye », dans Daniel BENGSCH et Cornelia RUHE (dir.), Une femme puissante. L’œuvre de Marie NDiaye, Amsterdam, Rodopi (Francopolyphonies), 2013. +++ Chapitre de collectif

LINK-HEER, Ursula, « Noms et toponymes dans l’œuvre de Marie NDiaye », dans Daniel BENGSCH et Cornelia RUHE (dir.), Une femme puissante. L’œuvre de Marie NDiaye, Amsterdam, Rodopi (Francopolyphonies), 2013. +++ Chapitre de collectif

ASIBONG, Andrew Asibong, « Autour de la mère morte », dans Daniel BENGSCH et Cornelia RUHE (dir.), Une femme puissante. L’œuvre de Marie NDiaye, Amsterdam, Rodopi (Francopolyphonies), 2013. +++ Chapitre de collectif

BENGSCH, Daniel et Cornelia RUHE (dir.), Une femme puissante. L’œuvre de Marie NDiaye, Amsterdam, Rodopi (Francopolyphonies), 2013, 326 p. +++ Collectif

### Résumé
Marie NDiaye s’impose comme l’une des voix les plus intéressantes de la littérature française contemporaine. L’obtention du prix Goncourt en novembre 2009 pour Trois femmes puissantes vient confirmer ce constat.
La recherche littéraire n’a pas tardé à interroger les univers insolites de ses romans, de ses pièces de théâtre et de ses nouvelles qui semblent défier toute tentative de classification générique. Le réalisme ndiayïen agit en correcteur des formes préétablies, qui suggèrent une cohérence que la réalité n’offre pas. L’auteure refuse la parenté avec les moules des genres traditionnels et renonce à s’intégrer dans une grande et heureuse « famille » littéraire.
C’est dans cette perspective que le présent ouvrage se propose de relire l’œuvre de Marie NDiaye en réfléchissant sur des sujets tels que les mécanismes d’exclusion sociale, l’étrangeté et les procédés discursifs de racialisation aussi bien que sur la dimension poétique de son écriture et sur la gestion de l’image de l’auteure et les enjeux médiatiques de sa représentation.

Table des matières

  • Daniel Bengsch et Cornelia Ruhe: « Perturbations inconnues » : l’Œuvre de Marie NDiaye
  • Cornelia Ruhe: La poétique du flou de Marie NDiaye
  • Anne Martine Parent: La nostalgie de soi : l’identité en défaut dans Autoportrait en vert de Marie NDiaye
  • Michael Sheringham: Ambivalences de l’animalité chez Marie NDiaye
  • Dominique Rabaté: Marie NDiaye et l’art des dérapages contrôlés
  • Daniel Bengsch: L’incapacité à rejoindre les autres : réflexions sur la poétique du récit dans Un temps de saison
  • Vanessa Besand: L’art de l’étrange chez Marie NDiaye : enjeux artistiques et sociaux d’une écriture singulière (La Sorcière et Mon coeur à l’étroit)
  • Clarissa Behar: Écrire en pays à majorité blanche : En famille de Marie NDiaye
  • Sarah Burnautzki: Jeux de visibilité et d’invisibilité : la production romanesque de Marie NDiaye à la lumière de la crise du républicanisme français
  • Lydie Moudileno: Marie NDiaye : entre visibilité et réserve
  • Ursula Hennigfeld: Humain, trop humain, rien d’humain : le théâtre de Marie NDiaye
  • Abdoulaye Sylla: Le négoce de la distance : rhétorique des rapports humains dans le théâtre de Marie NDiaye
  • Gisela Febel: Livres pour enfants et protagonistes jeunes dans l’œuvre de Marie NDiaye
  • Ursula Link-Heer: Noms et toponymes dans l’œuvre de Marie NDiaye
  • Andrew Asibong: Autour de la mère morte
  • Shirley Jordan: La puissance de Khady Demba
  • Margarete Zimmermann: Le jeu des intertextualités dans Trois femmes puissantes
  • Christophe Ippolito: Trois contes, Trois femmes puissantes : le puzzle et l’oiseau migrateur
  • Coordonnées bio-bibliographiques ###

CONNON, Daisy, Subjects Not-at-Home : Forms of the Uncanny in the Contemporary French Novel. Emmanuel Carrère, Marie NDiaye, Eugène Savitzkaya, Amsterdam, Rodopi (Faux Titre), 2010, 295 p. +++ Monographie

### Abstract
Subjects Not-at-home is the first book-length study of the concept of the uncanny (Das Unheimliche) in the context of French literature. It explores the ways in which certain contemporary French novelists are exploiting the themes, imagery and dynamics of the uncanny to generate a repertoire of narrative tactics for the portrayal of the chez soi. Through an analysis of nine novels by Marie NDiaye, Eugène Savitzkaya and Emmanuel Carrère, the author reveals a developing tendency within current writing to re-appropriate figures of the strange – the double, intellectual uncertainty, the fragmented body, the spectral, the haunted house – in order to represent the ‘familiar’ spaces of the home, the family, the self and the everyday. This problematic is situated with respect to tendencies in present-day French writing, with the uncanny being viewed as a particular approach to the contemporary novel’s inclination to privilege the site of the chez soi. Readings of the literary texts are informed by philosophical, psychoanalytic and literary reinterpretations of the Freudian uncanny, with an emphasis on the historical and contextual evolution of the concept itself.

Table of contents

  • List of Abbreviations
  • Introduction
  • Das Unheimliche
  • Extra-Ordinary Homes
  • De-familiarization
  • A Narrative Ethics of the Unhomely
  • General Conclusion
  • Bibliography ###

ASIBONG, Andrew, « Marie NDiaye et le rire blanc », dans Violaine HOUDART-MEROT (dir.), Rires en francophonie, Encrage Edition (Collection CRTF), 2013. +++ Chapitre de collectif

ŞTIBUEA, Dana, « Marie Ndiaye – La femme qui tremble, la femme qui impose », dans Communication interculturelle et littérature, vol. 12, n° 4 ( 2010). +++ Article de revue

ASIBONG, Andrew, « (Not) Seeing Things: Marie NDiaye, (Negative) Hallucination and ‘Blank’ Métissage », dans Amaleena DAMLÉ et Gill RYE (dir.), Women’s Writing in Twenty-First-Century France: Life as Literature, Cardiff, University of Wales Press, 2013. +++ Chapitre de collectif

FASSIN, Éric, « Puissance paradoxale des femmes chez Marie NDiaye, dans La Nouvelle Revue Française, dossier « Le Féminisme en 2010 », n° 593 (avril 2010). +++ Article de revue

ENNACIRI, Aïcha, « Dissonante Marie NDiaye », dans French Forum, n° 39 (hiver 2014), p. 113-126. +++ Article de revue

### Extrait
« À présent, me dis-je, il s’agit de se mouvoir. Et comment, dans cet élément inapproprié? »
Habitant avec sa famille à Berlin depuis 2007, Marie NDiaye s’est exprimée sur son exil volontaire dans un entretien du journal Les Inrockuptibles. Dans cet entretien datant du 30 août 2009, à la question posée par la journaliste Nelly Kaprielian: “Vous sentez-vous bien dans la France de Sarkozy?,” Marie NDiaye répondait en ces termes: “Je trouve cette France-là monstrueuse. Le fait que nous ayons choisi de vivre à Berlin depuis deux ans est loin d’être étranger à ça.”
Ce que Marie NDiaye reproche au gouvernement de Sarkozy, c’est une certaine “vulgarité.” Elle trouve “détestable, [. . .] cette atmosphère de flicage.” Pour elle, la droite de Sarkozy, telle qu’elle est incarnée par certains ministres, représente “un refus d’une différence possible.” Le terme de “flicage” utilisé par NDiaye pourrait être repris pour ses propres œuvres, si on comprend par cela le fait d’être sur ses gardes, d’avoir l’impression d’être suspect, de se voir singularisé(e), ou, pour l’énoncer simplement, d’être incertain de son sort ou de celui de ses proches.
Le changement de gouvernement annoncé en 2007 a donc fait place pour Marie NDiaye à la dissonance. Dissonance en effet entre l’auteur et son cadre. En réponse à “cette atmosphère de flicage,” NDiaye réagit de manière peu commune dans le paysage littéraire hexagonal actuel: elle se retire de son environnement jusqu’alors familier.
Hormis l’importance que l’auteur attache à la gouvernance de son pays, et à la matière politique telle qu’elle se vit quotidiennement, remarquons que les actes de l’auteur se trouvent en directe opposition avec ceux dont elle affuble les personnages de ses romans. Si Marie NDiaye a pu s’affranchir d’un environnement où elle se sentait en désharmonie, ce n’est pas le cas de ses personnages féminins (pour la grande majorité), qui, justement, sont apposées à un cadre pour le moins inamical, pour ne pas dire hostile. Les personnages auxquels elle donne naissance partagent de façon presque systématique un désaccord avec le milieu dans lequel ils sont installés. Leur champ de manœuvre est très réduit et leur pouvoir sur les événements est pratiquement inexistant. La désharmonie que NDiaye refuse de subir est justement ce qui compose les maillons de la majorité de son œuvre, de La Femme changée en bûche (1989) à Trois femmes puissantes (2009).
En effet, NDiaye fait reposer son œuvre romanesque sur une charpente construite dans les disparités et les discordances. Cette construction en décalage constant est mise en relief et magnifiée par l’exploitation du registre fantastique. Cet essai se propose d’étayer cette fabrique dissonante, fabrique cruciale à l’appréhension d’une œuvre qui se laisse difficilement catégoriser et qui, de toute évidence, prône les combinaisons discordantes comme ligne créatrice.
À titre d’entrée en matière, j’aimerai apporter une précision sur le terme souvent débattu de fantastique. J’entends le fantastique tel que l’a défini, en 1992, Joël Malrieu. D’après lui, “[le fantastique] repose, par essence, sur la confrontation de deux éléments seulement: un personnage et un élément perturbateur” (48). Il spécifie: Qu’il s’agisse de fantômes, d’aberrations spatio-temporelles ou de folie, toutes ces manifestations ont pour point commun de perturber profondément l’équilibre intellectuel du personnage, et par ce biais, de remettre en question les cadres de pensées du lecteur lui-même. Ces manifestations, malgré les figures très différentes qu’elles revêtent, peuvent êtres regroupées et désignées sous le terme générique de “phénomène.”
Cette rencontre problématique entre un personnage et un “phénomène” engendre un récit où la dissonance est de mise. Terme emprunté au registre musical, “dissonance” signifie “une rupture d’une ligne mélodique par l’introduction d’une ou plusieurs notes qui leurs sont étrangers. ###

DONOVAN, Frédérique, « Marie NDiaye ou ‘le dire du trauma de l’abandon’ », dans French Review: Journal of the American Association of Teachers of French, n° 87 (décembre 2013), p. 47-59. +++ Article de revue

### Résumé
Les personnages de l’œuvre de Marie NDiaye souffrent tous de l’abandon. Ils abandonnent ou sont abandonnés, ils traumatisent ou sont traumatisés. Le thème de l’abandon, saisi à différents moments, perpétue la chaîne du dysfonctionnement familial. À travers les exemples du roman La femme changée en bûche (1989), de la pièce de théâtre Les serpents (2004) et d’Autoportrait en vert (2005), cet article montre comment l’exploitation de différents genres littéraires coïncide dans l’œuvre de Ndiaye avec une évolution dans le traitement du trauma de l’abandon, jusqu’à son développement en un véritable motif poétique. ###

MOTTE, Warren et Lydie MOUDILENO (dir.), dossier « Marie NDiaye’s Worlds/Mondes de Marie NDiaye » dans Esprit Créateur, vol. 53, n° 2 (été 2013), 110 p. +++ Dossier de revue

### Sommaire
« Si être écrivain », Lydie Moudileno and Warren Motte (p. 1 - 3)
« À l’écoute du déni dans le théâtre de Marie NDiaye », Martine Antle (p. 4 - 16)
« Rosie Carpe et le récit désastreux », Elisabeth Arnould-Bloomfield (p. 17 - 27)
« NDiaye’s Intelligent Subjects », Andrew Asibong (p. 28 - 41)
« Effets d’épouvante dans Rosie Carpe et Rosemary’s Baby, Sarah Burnautzki (p. 42 - 55)
« Negative Narrative », Warren Motte (p. 56 - 66)
« Puissance insolite de la femme africaine chez Marie Ndiaye », Lydie Moudileno (p. 67 - 75)
« À leur corps défendant: défaillances et excrétions dans Trois femmes puissantes de Marie NDiaye », Anne Martine Parent (p. 76 - 89)
« Exercice de la cruauté », Dominique Rabaté (p. 90 - 96)
« La Figure de l’enseignant chez Marie NDiaye », Michael Sheringham (p. 97 - 110) ###

ANTLE, Martine, « À l’écoute du déni dans le théâtre de Marie NDiaye », dans Warren MOTTE et Lydie MOUDILENO (dir.), dossier « Marie NDiaye’s Worlds/Mondes de Marie NDiaye » dans Esprit Créateur, vol. 53, n° 2 (été 2013), p. 4-16. +++ Article de revue

ASIBONG, Andrew, « NDiaye’s Intelligent Subjects », dans Warren MOTTE et Lydie MOUDILENO (dir.), dossier « Marie NDiaye’s Worlds/Mondes de Marie NDiaye » dans Esprit Créateur, vol. 53, n° 2 (été 2013), p. 29-41 +++ Article de revue

SHERINGHAM, Michael, « La figure de l’enseignant chez Marie NDiaye », dans Warren MOTTE et Lydie MOUDILENO (dir.), dossier « Marie NDiaye’s Worlds/Mondes de Marie NDiaye » dans Esprit Créateur, vol. 53, n° 2 (été 2013), p. 97-110. +++ Article de revue

###Résumé
Le personnage de l’enseignant – crispé, pédant, et bien pis – paraît souvent dans l’œuvre de NDiaye. Herman dans Un temps de saison, Titi dans Rosie Carpe, Zelner dans Papa doit manger, le narrateur de « Tous mes amis », Nadia, Ange, et le sinistre Richard Noget dans Mon cœur à l’étroit, le maître d’école dans Les Grandes Personnes. Anatomie d’une figure. ###

ASIBONG, Andrew, « Marie NDiaye, the Half-Self and the White ‘Dead’ Mother », dans International Journal of Francophone Studies, vol. 15, n° 3-4 (février 2013), p. 541-559. +++ Article de revue

### Abstract
This article uses writings by the French novelist and playwright Marie NDiaye (born in Pithiviers in 1967) to theorize a very particular kind of postcolonial inhumanness specific to certain ‘hybrid’ subjects. NDiaye’s work revolves obsessively around the psychic (and often fantastically physical) disintegration of characters (coded as a racialized minority) who fail to internalize a sufficiently ‘alive’ imago of their mother (coded as white). The NDiayean protagonist’s sense of herself as a living human being becomes damaged to the point of irreparability, as she drifts between states of blankness, immobility and affective spectralization. NDiaye’s racialization of psychoanalyst André Green’s dead mother complex provides an important psycho-social context for ‘inhuman’ affectlessness. NDiaye’s scenarios show how a certain kind of postcolonial hybrid is doubly ‘orphaned’, not in concrete, provable or representable terms, but via the emotional deadness of her ‘blank’ mother and the unspoken refusal of her only motherland to recognize her as one of its human children. NDiaye’s protagonists in texts such as En famille (1990) and Autoportrait en vert (2005) dwell in non-human half-life and melancholic ghostliness, emotionally evacuated and symbolically castrated by their internalization of the dead white mother(s). If a more recent text like the novel Mon coeur à l’étroit (2007) manages to offer some kind of tentative ‘happy end’, its protagonist Nadia achieving a belated sense of herself as potentially both human and alive when she manages to give birth to the fantastically dead material she has been carrying inside her, this resolution seems to depend on the text’s concomitant insistence that Nadia is not a hybrid, but in fact has two non-white parents who are alive and well and living on a fantasy island. NDiaye’s ‘family romances’ may be becoming more optimistic, then, but their dream of a postcolonial new human appears to necessitate the foreclosure of the old non-human’s original, messy mixedness. ###

ANDERSON, Andrew Woodruff, « The Violence of Identity Construction in French and Francophone Absurdist Theater », thèse de doctorat, Graduate Program in French and Italian, The Ohio State University, 2011, 203 f. +++Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise

### Abstract
This dissertation examines the way in which the Theater of the Absurd, which flourished between the 1950’s and 1970’s, is especially relevant to a discussion of Postcolonial and regional literature in French because of its preoccupation with the recurring themes of identity, violence, and suicide. Important absurdist authors such as Samuel Beckett, Eugène Ionesco, and Jean Genet were able to take the philosophical ideas of the Absurd and of Existentialism proposed by Albert Camus and Jean-Paul Sartre and create plays that permitted the struggles inherent in the formation of identity to be borne out on stage. In addition to prominent absurdist authors like Beckett, Ionesco, and Genet, authors like Aimé Césaire and Marie Susini were also exploring these same themes in plays that included the additional elements of post-colonial struggle and regional identity. Most recently, author Marie NDiaye has written plays that not only continue to stage questions of identity, but also show an intricate blend of a more traditional Absurdist Theater form and contemporary themes such as interracial family relationships and the changing attitudes towards race in France.This dissertation will also demonstrate the ways in which the Theater of the Absurd evolved, analyzing plays that were less radical in form but that nonetheless maintained their emphasis on themes of identity, violence, and suicide, and more importantly, on the techniques used to explore them.

La version PDF de la thèse est disponible pour les membres de communautés universitaires qui ont un abonnement institutionnel auprès de UMI - Proquest###

THOMAS, Dominic, «The ‘Marie NDiaye Affair’ or the Coming of a Postcolonial Evoluée », dans Alec G. HARGREAVES, Charles FORSDICK et David MURPHY (dir,), Transnational French Studies: Postcolonialism and Littérature-monde, Liverpool, Liverpool University Press, 2010, p. 146-163. +++ Chapitre de collectif

SHERINGHAM, Michael, « Space, Identity and Difference in Contemporary Fiction: Duras, Genet, Ndiaye », dans Christie McDONALD et Susan Rubin SULEIMAN (dir.), French Global: A New Approach to Literary History, New York, Columbia University Press, 2010, p. 437-452. +++ Chapitre de collectif

ASIBONG, Andrew, « Radically Fantastical: The Politics of the Truth-Event in the ‘Metic’ Novels of Mohammed Dib and Marie NDiaye », dans Contemporary French and Francophone Studies, vol. 14, n° 4 (septembre 2010), p. 349-356. +++ Article de revue

MOUDILENO, Lydie, « L’excellent français de Marie NDiaye », dans Revue des Sciences Humaines, dossier « Marie NDiaye : l’étrangeté à l’oeuvre. », n° 293 (janvier-mars 2009), p. 25-38. +++ Article de revue

CONNAN-PINTADO, Christiane, « L’Univers étrange et familier de Marie NDiaye : trois paraboles à l’usage des enfants », dans Revue des Sciences Humaines, dossier « Marie NDiaye : l’étrangeté à l’oeuvre. », n° 293 (janvier-mars 2009), p. 39-52. +++ Article de revue

### Porte sur La Diablesse et son enfant (2000), Les Paradis de Prunelle (2003) et Le Souhait (2004) ###

JÉRUSALEM, Christine, « Des Larmes de sang au sang épuisé dans l’oeuvre de Marie NDiaye (hoc est enim corpus meum) », dans Revue des Sciences Humaines, dossier « Marie NDiaye : l’étrangeté à l’oeuvre », n° 293 (janvier-mars 2009), p. 83-91. +++ Article de revue

MEURÉE, Christophe, « Au diable le sujet : le concave et le convexe dans le théâtre de Marie NDiaye », dans Revue des Sciences Humaines, dossier « Marie NDiaye: l’étrangeté à l’oeuvre », n° 293 (janvier-mars 2009), p. 119-136. +++ Article de revue

BARNET, Marie-Claire, « “Espèce de villaine fée” ou comment les esprits revinrent à Eve Brulard : la sorcière dans l’œuvre de Marie NDiaye », dans Margaret-Anne HUTTON (dir.), Redefining the Real: The Fantastic in Contemporary French and Francophone Women’s Writing, Oxford, Peter Lang (Modern French Identities), 2009, p. 225-244. +++ Article de revue

KAČKUTÉ, Eglé, « La métaphore de la famille chez Marie NDiaye », dans Murielle Lucie CLÉMENT et Wesemael, Sabine VAN WESEMAEL (dir.), Relations familiales dans les littératures française et francophone des XXe et XXIe siècles : la figure de la mère, Paris, L’Harmattan, 2008, p. 273-281. +++ Chapitre de collectif

MOUDILENO, Lydie, « Fame, Celebrity, and the Conditions of Visibility of the Postcolonial Writer », dans Yale French Studies, n° 120 (2011), p. 62-74. +++ Article de revue

###Cet article s’intéresse plus spécifiquement aux cas de Marie NDiaye et de Calixthe Beyala.

Moudileno, 2011, HTML ###

COLLECTIF, « Quelle écriture pour la violence ? », dans Assises du roman 2009. Le roman : hors frontières, Villa Gillet, Le Monde / Christian Bourgois (Titre, n° 102). +++ Collectif

### « Par quels procédés subtils la Française Marie NDiaye, l’Américain Stewart O’Nan ou l’Australienne Julia Leigh parviennent à imposer un climat de violence à leurs textes ? […] Quarante-cinq auteurs venus de tous les continents s’y expriment sur des sujets touchant directement à leurs pratiques d’écriture. Contrairement à ce qui se produit souvent dans les rencontres littéraires, les Assises du roman ne constituent pas un lieu de promotion des livres, mais un espace de réflexion. Elles sont l’occasion d’un échange sur les grands thèmes qui traversent la littérature (par exemple, la place de la psychanalyse, la puissance de la nature, la voix de l’enfant), ou sur les différentes “techniques” de l’art romanesque (le roman psychologique ou les déformations de la réalité). Chaque débat permet d’entrer dans la pensée des écrivains, par l’intermédiaire de ces textes courts (environ 10 minutes de lecture), extrêmement variés,toujours personnels. Et si le livre ne rend évidemment pas compte de la discussion qui s’est amorcée à partir de ces écrits, leur juxtaposition à l’intérieur d’un même livre permet de faire surgir des comparaisons et des observations particulièrement stimulantes. On y découvre notamment, chose assez rare, de quelle manière les écrivains parviennent à résoudre certains problèmes de structure, comment ils se débrouillent face au texte, pourquoi leurs oeuvres prennent telle ou telle direction - un aperçu de leurs laboratoires intimes, en quelque sorte. »
(Extrait de Fabula) ###

MOTTE, Warren, « Negative Narrative », dans Warren MOTTE et Lydie MOUDILENO (dir.), dossier « Marie NDiaye’s Worlds/Mondes de Marie NDiaye » dans Esprit Créateur, vol. 53, n° 2 (été 2013), p. 56-66. +++ Article de revue

### Porte sur Autoportrait en vert, La Sorcière, Mon coeur à l’étroit et Un temps de saison. ###

CHARRIN, Ève, « Le roman de l’égarement français », dans Esprit, vol. 10 (octobre 2012), p. 12-30. +++ Article de revue

### Résumé
On s’inquiète souvent de la difficulté du roman français à rendre compte des bouleversements du vaste monde. Repli hexagonal ? Pourquoi ne pas reconnaître plutôt un art d’écrire exprimant au mieux ce flou, ce trouble des certitudes géographiques, qui raconte aussi à sa manière une obsession d’époque, la peur de se perdre, commune à de nombreux auteurs actuels ?

Charrin, 2012, HTML###

Marie NDiaye - ensemble de l'oeuvre (oeuvre)
TitreMarie NDiaye - ensemble de l'oeuvre
AuteurMarie NDiaye
Parution9999
TriMarie NDiaye - ensemble de l'oeuvre
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