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oeuvres:ode_a_la_ligne_29_des_autobus_parisiens [2016/04/13 21:22] – Créé depuis le formulaire ajout_oeuvre Virginie Savard | oeuvres:ode_a_la_ligne_29_des_autobus_parisiens [2016/04/13 21:30] – Modified from the form at oeuvres:ode_a_la_ligne_29_des_autobus_parisiens Virginie Savard |
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====== Ode à la ligne 29 des autobus parisiens ====== | ====== Ode à la ligne 29 des autobus parisiens ====== |
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[[auteurs:Jacques Roubaud]] - , //Ode à la ligne 29 des autobus parisiens//, Paris, Le Tripode, 2012, 128 p. | [[auteurs:Jacques Roubaud]], //Ode à la ligne 29 des autobus parisiens//, Paris, Le Tripode, 2012, 128 p. |
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« Jacques Roubaud a emprunté pendant des années les bus de la ligne 29 qui, partant de Saint-Lazare, traversent Paris d’ouest en est pour finir leur trajet à la porte de Montempoivre, près de Saint-Mandé. De ces pérégrinations régulières, il a conçu Ode à la ligne 29 des autobus parisiens. Ce texte drolatique, décomposé en 35 strophes – autant que la ligne 29 compte d’arrêts – est comme une synthèse du travail de cet écrivain. On y retrouve l’ensemble de ce qui caractérise son œuvre : la prédilection pour les textes à contrainte (l’ode est composée d’alexandrins), l’amour des parenthèses (l’ode comprend jusqu’à 9 niveaux de digressions), l’humour (l’ode réinvente quelque peu l’orthographe et passe par les pensées les plus diverses), l’érudition et enfin l’exploration urbaine : connu pour avoir parcouru à pied absolument toutes les rues de Paris, Jacques Roubaud invite cette fois-ci à une déambulation lente dans le coeur de cette ville, suivant le trajet d’un bus arrêt après arrêt.\\ | « Jacques Roubaud a emprunté pendant des années les bus de la ligne 29 qui, partant de Saint-Lazare, traversent Paris d’ouest en est pour finir leur trajet à la porte de Montempoivre, près de Saint-Mandé. De ces pérégrinations régulières, il a conçu Ode à la ligne 29 des autobus parisiens. Ce texte drolatique, décomposé en 35 strophes – autant que la ligne 29 compte d’arrêts – est comme une synthèse du travail de cet écrivain. On y retrouve l’ensemble de ce qui caractérise son œuvre : la prédilection pour les textes à contrainte (l’ode est composée d’alexandrins), l’amour des parenthèses (l’ode comprend jusqu’à 9 niveaux de digressions), l’humour (l’ode réinvente quelque peu l’orthographe et passe par les pensées les plus diverses), l’érudition et enfin l’exploration urbaine : connu pour avoir parcouru à pied absolument toutes les rues de Paris, Jacques Roubaud invite cette fois-ci à une déambulation lente dans le coeur de cette ville, suivant le trajet d’un bus arrêt après arrêt.\\ |
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===== Documentation critique ===== | ===== Documentation critique ===== |
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| CHERQUI, Marie-Claude, « Queneau dans l’autobus : un passager peu clandestin dans |
| l’//Ode à la ligne 29 des autobus parisiens// |
| de Jacques Roubaud », //Cahiers Raymond Queneau//, dossier « Queneau / Perec / Roubaud », n° 4 (2014), p. 43- 48. +++ Article de revue |
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