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Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine

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 ====== Parc Sauvage - récit ====== ====== Parc Sauvage - récit ======
 +{{ oeuvres:parc_sauvage.jpg?120|}}
 +[[auteurs:Jacques Roubaud]], //Parc sauvage//, Paris, Éditions du Seuil (Fiction et Cie), 2008, 134 p.
  
-[[auteurs:Jacques Roubaud]] +Septembre 42. Deux enfants d’une dizaine d’années, Dora et « Jacques » (c’est son nouveau prénom, il ne faut pas qu’il l’oublie) arrivent dans une grande propriété des Corbières. Dora est venue avec Vlad, son oncle, « qui ne peut plus jouer en ce moment ». Sa mère est restée à Toulouse. Les parents de « Jacques-maintenant » sont il ne sait où, loin. La maison est vaste. Il y a des poules, des canards, des vignes, les « jumeaux », qui se ressemblent tellement qu’ils ne savent peut-être même pas eux-mêmes qui est Joan et qui est Jean. Il y a Teresa, leur mère, qui parle catalan, venue avec Jim, qui parle anglais ; et Camillou, leur grand-père, que Dora aime dès qu’elle le voit. Sainte-Lucie lui appartient et il les reçoit, « en attendant ». En attendant qu’on vienne les chercher pour les emmener dans la montagne, vers l’Espagne.\\ 
 +Les enfants jouent, explorent. Ils découvrent le Parc Sauvage. Au fond du parc, le Vieux Bassin abandonné, sans eau, ses figuiers, ses lézards. Et là…\\ 
 +(Quatrième de couverture)
  
-Paris, Éditions du Seuil, "Fiction et Cie", 2008, 134 p.+=====Documentation critique=====
  
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 +ANDREWS, Chris, « Constraints, Poetry and Play in Jacques Roubaud's //Parc sauvage// », //Australian Journal of French Studies//, vol. 49, n° 2 (mai-août 2012), p. 142-152. +++ Article de revue
 +
 +### **Résumé**\\
 +The Oulipo has often presented its constraints as no more artificial than grammatical or generic conventions. This "naturalization" has been strategically useful, but it has also obscured certain aspects of the constraints' functioning and blocked the way to a deeper understanding of its productivity and limits. Jacques Roubaud has recently recognized certain differences between Oulipian constraints and what he calls "traditional constraints" (i.e. generic conventions). Distinguishing between constraints and conventions can help to explain the reception and uptake of the Oulipo's work since the 1960s. The constraint is a powerful instrument for redirecting the writer's attention, but perhaps it is time, as Roubaud has suggested, to qualify its importance. A reading of Roubaud's //Parc sauvage// (2008), focussing on the "eodermdromes" it contains, shows how strict conformity to a constraint is often sacrificed to poetic or narrative effect. This is not necessarily a betrayal of Oulipian principles, for according to Roubaud the essence of the Oulipian project is not the constraint but potentiality, which may be realized by forms as well as by constraints.
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 +[[http://online.liverpooluniversitypress.co.uk/doi/10.3828/AJFS.2012.12|Andrew, 2012, PDF]] ###
  
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