Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine
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Jacques Roubaud, Parc sauvage, Paris, Éditions du Seuil (Fiction et Cie), 2008, 134 p.
Septembre 42. Deux enfants d’une dizaine d’années, Dora et « Jacques » (c’est son nouveau prénom, il ne faut pas qu’il l’oublie) arrivent dans une grande propriété des Corbières. Dora est venue avec Vlad, son oncle, « qui ne peut plus jouer en ce moment ». Sa mère est restée à Toulouse. Les parents de « Jacques-maintenant » sont il ne sait où, loin. La maison est vaste. Il y a des poules, des canards, des vignes, les « jumeaux », qui se ressemblent tellement qu’ils ne savent peut-être même pas eux-mêmes qui est Joan et qui est Jean. Il y a Teresa, leur mère, qui parle catalan, venue avec Jim, qui parle anglais ; et Camillou, leur grand-père, que Dora aime dès qu’elle le voit. Sainte-Lucie lui appartient et il les reçoit, « en attendant ». En attendant qu’on vienne les chercher pour les emmener dans la montagne, vers l’Espagne.
Les enfants jouent, explorent. Ils découvrent le Parc Sauvage. Au fond du parc, le Vieux Bassin abandonné, sans eau, ses figuiers, ses lézards. Et là…
(Quatrième de couverture)
Parc Sauvage - récit (oeuvre) | |
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Titre | Parc Sauvage - récit |
Auteur | Jacques Roubaud |
Parution | 2008 |
Tri | Parc Sauvage - récit |
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