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oeuvres:je_m_en_vais [2018/08/12 14:10] – [Documentation critique] Laurianne Thibeault | oeuvres:je_m_en_vais [2018/08/12 14:19] (Version actuelle) – [Documentation critique] Laurianne Thibeault |
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| FARIA , Dominique Almeida Rosa de, « Traduction et invasion culturelle: Jean Echenoz en portugais et José Saramago en français », //Carnets// [en ligne], nº 4 (2012). +++ Article de revue |
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| ### **Résumé** |
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| « La traduction est un moyen d’invasion culturelle dont le pouvoir est souvent sous-estimé. Elle permet, pourtant, l’introduction, dans une culture nationale, d’éléments appartenant à une culture étrangère. Ce pouvoir de la traduction est toutefois potentiel. Pour qu’il y ait effectivement invasion culturelle par le biais de la traduction, il faut la contribution des entités du pays envahisseur (les organismes qui font la promotion de la littérature à l’étranger) et de celles du pays envahi (maisons d’édition, traducteurs et lecteurs). Les traductions de //Je m’en vais// de Jean Echenoz et de //História do cerco de Lisboa// de José Saramago, en portugais et en français respectivement, fonctionneront comme le point de départ pour une réflexion sur le rôle de la traduction dans le rapport entre le Portugal et la France à l’époque contemporaine. » |
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| [[https://journals.openedition.org/carnets/7930|FARIA, 2012, HTML]]### |
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MÉVEL, Yann, « Oh tout finir ? Sur le motif de la disparition dans //Je m’en vais//, de Jean Echenoz », //Littérature//, nº 189 (2018), p. 49-59. +++ Article de revue | MÉVEL, Yann, « Oh tout finir ? Sur le motif de la disparition dans //Je m’en vais//, de Jean Echenoz », //Littérature//, nº 189 (2018), p. 49-59. +++ Article de revue |
« Le titre de cet article renvoie aux derniers mots de Soubresauts, de Beckett, de manière à poser la question de ce qui rapproche et différencie les imaginaires de Beckett et d’Echenoz dans leur rapport à la disparition. Le roman d’Echenoz Je m’en vais met à l’épreuve le personnage en tant que tel, tant l’errance sentimentale donne à voir la perte d’une énergie vitale, l’indécision et l’indifférence, l’ambivalence plutôt que la capacité à se métamorphoser. Le personnage principal, toujours fuyant, échappe dans une certaine mesure à la mélancolie, mais non à une peur obsessionnelle du vide. » | « Le titre de cet article renvoie aux derniers mots de Soubresauts, de Beckett, de manière à poser la question de ce qui rapproche et différencie les imaginaires de Beckett et d’Echenoz dans leur rapport à la disparition. Le roman d’Echenoz Je m’en vais met à l’épreuve le personnage en tant que tel, tant l’errance sentimentale donne à voir la perte d’une énergie vitale, l’indécision et l’indifférence, l’ambivalence plutôt que la capacité à se métamorphoser. Le personnage principal, toujours fuyant, échappe dans une certaine mesure à la mélancolie, mais non à une peur obsessionnelle du vide. » |
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La version PDF de l'article est disponible pour les membres de communautés universitaires qui ont un abonnement institutionnel auprès de [[www.cairn.info|CAIRN]] | La version PDF de l'article est disponible pour les membres de communautés universitaires qui ont un abonnement institutionnel auprès de [[https://www.cairn.info/|CAIRN]] |
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[[https://www.cairn.info/revue-litterature-2018-1-p-49.htm|MÉVEL, 2018, PDF]]### | [[https://www.cairn.info/revue-litterature-2018-1-p-49.htm|MÉVEL, 2018, PDF]]### |