Christian Gailly, Be-Bop, Paris, Éditions de Minuit, 1995, 192 p.

« Début août, dans un site montagneux, près d’un lac, deux hommes, un jeune et un vieux, s’ignorent. L’un cherche du travail. L’autre a trouvé une maison pour les vacances, il emménage. Ils ne peuvent donc pas se rencontrer. Sauf si le jeune trouve du travail, c’est la première condition. La seconde, ce serait que le vieux ait besoin des services du jeune. En vacances, normalement, non. C’est pourtant ce qui va se passer. Comme si c’était écrit. Ça l’est, mais ce n’est pas aussi simple. Il y a des femmes dans cette histoire. »
(Quatrième de couverture)

BRICCO, Elisa, « Le début et la fin : évolution d’une relation textuelle dans le roman contemporain ? », paru dans le colloque en ligne Le début et la fin : une relation critique, Fabula, en ligne. +++ Autre

SMYTH, Edmund, «Christian Gailly and the Jazz Novel », Nottingham French Studies, vol. 43, n° 1 (printemps 2004), p. 117-125. +++ Article de revue

MILLOIS, Jean-Christophe, « Gailly, apostille à Be-Bop », Prétexte,  n° 20 (hiver 1999), p. 55-58. +++ Article de revue

LOCATELLI, Aude, « Jazz et roman de formation : L’occupation américaine de P. Quignard, Be-bop de C. Gailly et Diabolus in musica de Y. Apperry », dans Aude LOCATELLI et Yves LANDEROUIN (dir.), Musique et roman, Paris, éditions Le Manuscrit (L’Esprit des lettres), 2008, p. 253-274. +++ Chapitre de collectif

###L’auteure analyse « les rapports du jazz et du roman de formation afin de souligner quelles fonctions spécifiques assume, dans ce cadre précis, l’évocation littéraire de la musique » (Extrait, p. 253). ###

ROLLA, Chiara, « Presenza trasparente dell’autore e libertà del lettore : la scrittura peritestuale nei romanzi di Christian Gailly », Trasparenze, n° 27-28 (2006), p. 67-114. +++ Article de revue

###« Chiara Rolla ci fa penetrare nei romanzi di Christian Gailly attraverso la porta principale, ovvero indicandoci un percorso che contempla l’apparato paratestuale e mettendo in luce la profonda coerenza che lega la presenza di titoli e sottotitoli, di epigrafi e dediche con la scrittura romanzesca, e soprattutto con il contratto di lettura che l’autore stipula con il lettore. Difatti, lo scrittore cela nei peritesti dei suoi romanzi una serie di messaggi indirretti, ma molto espliciti, che sono captati più o meno consciamente dal lettore e che ne indirizzano la lettura. »
(Extrait de l’introduction du numéro de la revue par Elisa Bricco, « Approcci al romanzo francese contemporaneo : letture in filigrana », p. 6.) ###