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Auteurs contemporains

Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine

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Catoblépas

Gaétan Soucy - Montréal, Boréal, 2001, 102 p.

« Deux femmes revendiquent la maternité d’un enfant monstrueux. Dans l’affrontement qui s’engage alors, seule la mort sera victorieuse. » (Quatrième de couverture)

Documentation critique

CHAILLOU, Aurore, « Stratégies identitaires et littéraires dans l’oeuvre de Farida Berghoul et de Gaétan Soucy », mémoire de maîtrise, département de littérature comparée, Université de Limoges, et Department of Classical & Modern Languages & Literatures, Texas Tech University, 2005, 126 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise

###« En raison de l’évolution du statut de la femme, longtemps opprimée et marginalisée, mais qui désormais ose faire entendre sa voix, elle devient dans la littérature moderne, et dans ces littératures “mineures” en particulier, la métaphore de la minorité opprimée qui cherche à s’émanciper. Ceci est illustré dans les deux romans qui font l’objet de notre analyse: Georgette! (1986), unique roman publié de l’auteure “beure” Farida Belghoul, et La petite fille qui aimait trop les allumettes (1998), troisième roman du québécois Gaétan Soucy. […] Notre étude se donne pour but de révéler la spécificité des deux romans étudiés. » (Extrait de l’introduction)

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ROBERT, Lucie, « Cryptes et révélations », dans Voix et images, vol. 27, n° 2-80 (hiver 2002), p. 353-360. +++ Article de revue

###« Que les auteurs dramatiques tendent à remplacer l’action dramatique par la mise en scène d’une énigme, est un autre indice du caractère prépondérant de la narration sur la dramatisation dans la dramaturgie contemporaine. Et si les auteurs dramatiques dont il est question ici [Normand Chaurette, Gaétan Soucy, Stefan Psenak] sont aussi, pour la plupart, des romanciers, la chose ne devrait pas nous étonner : confronté à l’indicible, le romancier doit se taire ou trouver une autre manière de dire. Or, cacher, ne pas montrer reste le privilège d’un art qui repose précisément sur le visible. En passant d’une écriture narrative à une écriture dramatique, l’auteur renforce son propos. Encore faut-il qu’il en ait eu un au départ. » (Extrait de l’introduction)

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HELLOT, Marie-Christiane, « Du risque, du réconfort… et de la pertinence de monter les Bonnes et Catoblépas », dans Jeu, no 101-4 (2001), p. 93-98. +++ Article de revue

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Catoblépas (oeuvre)
TitreCatoblépas
AuteurGaétan Soucy
Parution2001
TriCatoblépas
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