Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine
Sylvie Germain, L’inaperçu, Albin Michel, 2008, 294 p.
« Les Bérynx : une famille ordinaire, avec son patriarche autoritaire, ses mères affairées, ses enfants fragiles, ses secrets non partagés et son lot de drames. Et il y a Pierre, qui vient de se greffer sur cette famille comme une sorte d’ange gardien dont on ignore presque tout, homme à tout faire, mais aussi à tout défaire. Jusqu’au jour où il disparaît sans laisser d’autres traces que les brèches qu’il a ouvertes en chacun.
Roman des origines autant que de la construction de soi, L’Inaperçu, comme Magnus , fait coexister le plus sombre de l’Histoire et des tragédies individuelles avec l’imprévisible, la puissance de l’imaginaire, les rêves les plus fous, tout ce qui échappe à l’emprise du temps et permet d’inventer son destin. »
(Quatrième de couverture)
BESNARD, Annie, « Histoire individuelle, histoire collective dans deux romans de Sylvie Germain », Etudes Romanes de Brno: Sborník Prací Filozofické Fakulty Brněnské Univerzity, L: Řada Romanistická/Series Romanica, vol. 33, n° 1 (2012) p. 177-188. +++ Article de revue
### Porte également sur Magnus ###
L'Inaperçu (oeuvre) | |
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Titre | L'Inaperçu |
Auteur | Sylvie Germain |
Parution | 2008 |
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