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Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine

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oeuvres:la_boucle [2016/04/13 19:20] Virginie Savardoeuvres:la_boucle [2016/04/19 09:57] (Version actuelle) Virginie Savard
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 ===== Documentation critique ===== ===== Documentation critique =====
  
-SAMMARCELLI, Françoise, « Virtualité et complexité : à propos de //La Boucle //de Jacques Roubaud », //Théorie, Littérature, Enseignement, //n°14 (1996), p. 65-82. +++ Article de revue+SAMMARCELLI, Françoise, « Virtualité et complexité : à propos de //La Boucle //de Jacques Roubaud », //Théorie, Littérature, Enseignement, //n° 14 (1996), p. 65-82. +++ Article de revue
  
 ###Selon l'auteur, l’écriture de //La Boucle//se situe dans la tradition de l’écriture digressive de //Tristam Shandy//### ###Selon l'auteur, l’écriture de //La Boucle//se situe dans la tradition de l’écriture digressive de //Tristam Shandy//###
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 ROCHE, Anne, « Mémoire, deuil et intertexte dans// La Boucle// de Jacques Roubaud », //Tangence//, n° 45 (octobre 1994), p. 75-82. +++ Article de revue ROCHE, Anne, « Mémoire, deuil et intertexte dans// La Boucle// de Jacques Roubaud », //Tangence//, n° 45 (octobre 1994), p. 75-82. +++ Article de revue
  
-###AR part du constat que les textes du //Grand Incendie //"entretiennent des rapports forts avec +###Anne Roche part du constat que les textes du //Grand Incendie //"entretiennent des rapports forts avec l'écriture du moi, voire du journal, qu'ils posent des questions au coeur de cette écriture, et que, tout en s'en démarquant de façon formelle, ils sont de nature à nous apporter des clartés sur un fonctionnement qu'ils semblent exclure." Comparant la tonalité endeuillée du premier volume du //Grand incendie de Londres//avec celle de //La Boucle//, elle remarque l'intertextualité massive "qui est généralement masqué[e], voire inconscient[e], dans les textes de fiction, comme si la citation ou la référence venait briser l'illusion de l'authentique. Ici encore, Roubaud prend le contrepied de la pratique habituelle..." de l'autobiographie.
-l'écriture du moi, voire du journal, qu'ils posent des questions au coeur de cette écriture, et que, tout en s'en démarquant de façon formelle, ils sont de nature à nous apporter des clartés sur un +
-fonctionnement qu'ils semblent exclure." Comparant la tonalité endeuillée du premier volume du //GIL//avec celle de //La Boucle//, elle remarque l'intertextualité massive "qui est généralement +
-masqué[e], voire inconscient[e], dans les textes de fiction, comme si la citation ou la référence venait briser l'illusion de l'authentique. Ici encore, Roubaud prend le contrepied de la pratique habituelle..." de l'autobiographie.+
  
-**Distance temporelle et authenticité: le paradoxe de la fleur de gel Le présent de l'écriture De la mémoire enfantine à l'histoire historique **+**Sommaire**\\ 
 +  * Distance temporelle et authenticité: le paradoxe de la fleur de gel 
 +  * Le présent de l'écriture  
 +  * De la mémoire enfantine à l'histoire historique
  
 [[http://id.erudit.org/iderudit/025826ar|Roche, 1994, PDF]] [[http://id.erudit.org/iderudit/025826ar|Roche, 1994, PDF]]
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-BARBEGER, Nathalie, « //La Boucle //:  du côté de Zazetski », //La Licorne//, dossier « Jacques Roubaud », sous la direction de Dominique MONCOND'HUY et Pascaline MOURIER-CASILE////no 40 (février 1997), p. 91-100. +++ Article de revue+BARBEGER, Nathalie, « //La Boucle //:  du côté de Zazetski », //La Licorne//, dossier « Jacques Roubaud », sous la direction de Dominique MONCOND'HUY et Pascaline MOURIER-CASILE, n° 40 (février 1997), p. 91-100. +++ Article de revue
  
-###[[http://edel.univ-poitiers.fr/licorne/document.php?id=3340|[Texte intégral en ligne]]]+###Nathalie Barbeger évoque la méfiance roubaldienne face au récit autobiographique conventionnel qui reste une « fable à tuer »« Le livre que nous lisons n’est que l’échec d’une œuvre toute autre qui avait été rêvée, son ombre ou sa ruine, les morceaux effondrés d’un texte absent»
  
-Nathalie Barbeger évoque la méfiance roubaldienne face au récit autobiographique conventionnel qui reste une « fable à tuer »« Le livre que nous lisons n’est que l’échec d’une œuvre toute autre qui avait été rêvéeson ombre ou sa ruineles morceaux effondrés d’un texte absent. »+[[http://licorne.edel.univ-poitiers.fr/document.php?id=3340|Barbeger1997HTML]]
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-MOURIER-CASILE, Pascaline, « Li(v)re, cette pratique (fragments d’une lecture inachevée des deux premières Branches du //Grand Incendie de Londres//) », //La Licorne//, dossier « Jacques Roubaud », sous la direction de Dominique MONCOND'HUY et Pascaline MOURIER-CASILE, no 40 (février 1997), p. 77-90. +++ Article de revue+MOURIER-CASILE, Pascaline, « Li(v)re, cette pratique (fragments d’une lecture inachevée des deux premières Branches du //Grand Incendie de Londres//) », //La Licorne//, dossier « Jacques Roubaud », sous la direction de Dominique MONCOND'HUY et Pascaline MOURIER-CASILE, n° 40 (février 1997), p. 77-90. +++ Article de revue
  
-###[[http://edel.univ-poitiers.fr/licorne/document.php?id=3339|[Texte intégral en ligne]]]+###Pascaline Mourier-Casile évoque les deux premières « branches » du //Grand Incendie//, et « l'apparente mise au clair d’un programme d’écriture qui porte en lui l’inachèvement ». La révélation de quelques-unes de ses contraintes explicites (de surface) par le texte est à la fois « masque et marque ».
  
-Pascaline Mourier-Casile évoque les deux premières « branches » du //Grand Incendie//, et « l'apparente mise au clair d’un programme d’écriture qui porte en lui l’inachèvement »La révélation de quelques-unes de ses contraintes explicites (de surface) par le texte est à la fois « masque et marque ».+[[http://licorne.edel.univ-poitiers.fr/document.php?id=3339|Mourier-Casile, 1997, HTML]]
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