Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine
Gilles Archambault - Montréal, L’Actuelle, 1974, 170 pages.
« Dans La Fuite immobile, par le plus heureux des tours de force, le personnage central est chacun de nous. Sa réflexion, fût-ce la plus singulière, ne cesse pas de nous concerner. […] C’est un livre étonnant, d’une imprégnante sincérité. Alain Pontaut, Le Jour
La Fuite immobile est un roman grave et beau, où le je domine totalement. Un roman qui, du même souffle, fait réfléchir et émeut. Un roman qui, à un autre niveau, est aussi une tentative de réhabilitation de l’individu, autrement dit : un coup bien porté au gauchisme petit-bourgeois. Réginald Martel, La Presse» (Quatrième de couverture, Boréal, 2000)
PELLETIER, Marc, « Gilles Archambault : La fuite immobile ou le destin d’un romancier », dans François GALLAYS, Sylvain SIMARD et Robert VIGNEAULT (dir.), Archives des Lettres canadiennes, t. VIII, Le roman contemporain au Québec, 1960-1985, Anjou, Fides, 1992, p. 75-92. +++ Chapitre de collectif
### « Le silence romanesque d’Archambault depuis À voix basse n’est sans doute pas étranger à cette difficile conciliation – voire cette quasi-incompatibilité – entre la vie et l’écriture. Le texte court, notamment la chronique, convient parfaitement au style intimiste, au ton ironique et à cette complicité d’une conscience à une autre que pratique l’auteur de La fuite immobile. L’art discret de la dissimulation de soi, qui s’exerce à chaque page de ses romans, se transforme dans les petits billets du Regard oblique (1984), de L’Obsédante obèse (1987) et de Chroniques matinales (1989). »
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La fuite immobile (oeuvre) | |
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Titre | La fuite immobile |
Auteur | Gilles Archambault |
Parution | 1974 |
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