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oeuvres:la_gloire_de_cassiodore [2015/11/09 11:12] – Audrey Thériault | oeuvres:la_gloire_de_cassiodore [2015/11/09 13:16] (Version actuelle) – Audrey Thériault |
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« Un collège au milieu d'une grande ville. Dans ce milieu clos et plus ou moins incestueux, où les êtres se connaissent et se mesurent les uns aux autres depuis toujours, une année scolaire "normale" se déroule. De la mi-août à la mi-mai, au fil du programme et des saisons, pendant que reprennent les mêmes vieux débats sur la nature de la littérature ou les fins de l'éducation, pendant que s'affrontent poliment, dans de grandes ou de petites batailles, les nostalgiques et les modernes, les ambitieux et les désenchantés, des vies basculent, des amours se nouent, des pensées s'approfondissent, et les mois passent inexorablement. » | « Un collège au milieu d'une grande ville. Dans ce milieu clos et plus ou moins incestueux, où les êtres se connaissent et se mesurent les uns aux autres depuis toujours, une année scolaire "normale" se déroule. De la mi-août à la mi-mai, au fil du programme et des saisons, pendant que reprennent les mêmes vieux débats sur la nature de la littérature ou les fins de l'éducation, pendant que s'affrontent poliment, dans de grandes ou de petites batailles, les nostalgiques et les modernes, les ambitieux et les désenchantés, des vies basculent, des amours se nouent, des pensées s'approfondissent, et les mois passent inexorablement. |
(Quatrième de couverture) | |
| Peinture saisissante du milieu collégial et de la vie littéraire contemporaine, tableau moral et intellectuel de ce qu’on pourrait appeler le désarroi moderne, ce livre est avant tout un grand roman. Fortement construit, fourmillant de personnages et d’intrigues, il est éclairé de part en part par cette fascination pour la vie concrète et par cette perplexité, cette réserve, ce refus de juger, c’est-à-dire par ce mélange indiscernable d’ironie et de compassion qui constitue le regard unique de la littérature. » (Quatrième de couverture) |
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===== Documentation critique ===== | ===== Documentation critique ===== |
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ROBERT, Lucie, « "Étranger à son temps et à lui-même.": L'écrivain et ses signatures », dans //Voix et images//, vol. 30, no 1-88 (automne 2004), p. 31-46. +++ Article de revue | ROBERT, Lucie, « "Étranger à son temps et à lui-même.": L'écrivain et ses signatures », dans //Voix et images//, vol. 30, no 1 (no 88 - automne 2004), p. 31-46. +++ Article de revue |
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### « Remarquablement fictionnalisée par Monique LaRue dans son roman La gloire de Cassiodore, la question de la double profession des écrivains, dans l’histoire de la littérature au Québec, n’a fait l’objet que de rares observations. L’on sait pourtant que l’exercice de cet « autre » métier est une nécessité structurante du champ littéraire. Le présent article amorce une réflexion sur ces doubles carrières, à partir d’exemples où le dédoublement professionnel entraîne l’usage d’une double signature. Dans ce cas, le pseudonyme est non plus le prolongement de l’écriture, mais une manière de poser l’identité double, de distinguer entre la vie et l’oeuvre, d’opérer une rupture entre les deux univers. Sans doute que cette pratique singulière de la signature agit comme révélateur de la conception que les écrivains se font de la littérature à des époques diverses. » (Résumé joint à l'article) | ### « Remarquablement fictionnalisée par Monique LaRue dans son roman //La gloire de Cassiodore//, la question de la double profession des écrivains, dans l’histoire de la littérature au Québec, n’a fait l’objet que de rares observations. L’on sait pourtant que l’exercice de cet "autre" métier est une nécessité structurante du champ littéraire. Le présent article amorce une réflexion sur ces doubles carrières, à partir d’exemples où le dédoublement professionnel entraîne l’usage d’une double signature. Dans ce cas, le pseudonyme est non plus le prolongement de l’écriture, mais une manière de poser l’identité double, de distinguer entre la vie et l’oeuvre, d’opérer une rupture entre les deux univers. Sans doute que cette pratique singulière de la signature agit comme révélateur de la conception que les écrivains se font de la littérature à des époques diverses. » (Résumé joint à l'article) |
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[[http://id.erudit.org/iderudit/009887ar|Robert, 2004, PDF]] ### | * [[http://id.erudit.org/iderudit/009887ar|Robert, 2004, PDF]] ### |
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GÉRIN, Dominique, « Le professeur de lettres fictif : un sujet culturel québécois », mémoire de maîtrise, département des lettres et communications, Université de Sherbrooke, 2013, 171 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise | GÉRIN, Dominique, « Le professeur de lettres fictif : un sujet culturel québécois », mémoire de maîtrise, département des lettres et communications, Université de Sherbrooke, 2013, 171 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise |
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HANS-JÜRGEN, Lüsebrink, « //La gloire de Cassiodore// de Monique LaRue », dans Gilles DUPUIS et Klaus-Dieter ERTLER (dir.), //À la carte. Le roman québécois (2000-2005)//, Frankfurt am Main, Peter Lang, 2007, p. 243-262. +++ Chapitre de collectif | HANS-JÜRGEN, Lüsebrink, « //La gloire de Cassiodore// de Monique LaRue », dans Gilles DUPUIS et Klaus-Dieter ERTLER (dir.), //À la carte. Le roman québécois (2000-2005)//, Frankfurt am Main, Peter Lang, 2007, p. 243-262. +++ Chapitre de collectif |
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