Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine
Christian Gailly, La passion de Martin Fissel-Brandt, Paris, Éditions de Minuit, 1998, 144 p.
« Anna l’avait prévenu. S’il arrive quelque chose à Suzanne, je m’en vais. Immédiatement. Définitivement. On ne voulait plus de lui, il ne veut plus de cette vie. Et, au moment même où il croyait finir, voilà qu’il trouve l’envie de tout recommencer. »
(Quatrième de couverture)
DANGY, Isabelle, « Minimalisme et musicalisme : le cas de Christian Gailly », Interval(le)s, vol. I, n° 1 (automne 2004), p. 136-144. +++ Article de revue
###« Nous nous proposons d’examiner ici deux romans de Christian Gailly, L’air (1991) et La passion de Martin Fissel-Brandt (1998), en promenant sur eux l’éclairage vacillant du mot minimalisme, afin d’éprouver sans doute la pertinence de cette étiquette, et plus encore dans le but de localiser, au confluent du minimum et du maximum, un musicalisme propre à cet auteur. »
(Extrait de l’introduction, p. 136.)
BERTINA, Arnaud, « Gailly, l’ironie, le jeu, les personnages. De L’incident à La passion de Martin-Fissel-Brandt », Prétexte, n° 20 (hiver 1999), p. 45-49. +++ Article de revue
EVENSON, Brian, « Introduction », dans Christian GAILLY, The passion of Martin Fissel-Brandt, traduction anglaise (É-U) par Melanie KEMP, Nebraska, University of Nebraska Press, 2002 (1999), p. IX-XIX. +++ Autre
La passion de Martin Fissel-Brandt (oeuvre) | |
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Titre | La passion de Martin Fissel-Brandt |
Auteur | Christian Gailly |
Parution | 1998 |
Tri | passion de Martin Fissel-Brandt |
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