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Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine

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 ====== Laura Laur ====== ====== Laura Laur ======
  
-[[auteurs:Suzanne Jacob]] - +[[auteurs:Suzanne Jacob]] - Paris, Seuil, 1983, 182 p.
  
-{{ Laura Laur.jpg?100}} +{{ oeuvres:laura_laur.jpg?100|}}
-Deuxième roman signée par Suzanne Jacob, //Laura Laur// permet à l'écrivaine d'atteindre une certaine renommée. Publiée aux Éditions du Seuil, l'oeuvre se caractérise par la présence de plusieurs narrateurs qui, tour à tour, viennent lever le voile sur une facette de l'énigmatique Laura Laur. Bien reçu par la critique, le livre permet à Suzanne Jacob d'obtenir le prix du gouverneur général du Canada de même que le prix Québec-Paris en 1984.+
  
-« Je m'appelle Jean. Je suis le frère de Laur. Je parle lentement. Je suis un faible. Je n'ai pas, à l'intérieur de moi, de ces déchaînements de forces qui poussent les êtres à la poursuite de destins effrénés et assourdissants comme les ambulances. » +« Je m'appelle Jean. Je suis le frère de Laur. Je parle lentement. Je suis un faible. Je n'ai pas, à l'intérieur de moi, de ces déchaînements de forces qui poussent les êtres à la poursuite de destins effrénés et assourdissants comme les ambulances. » (Extrait, Seuil, 1983, p. 7)
-(Extrait, Éditions du Seuil, 1983, p. 7)+
  
 ===== Documentation critique ===== ===== Documentation critique =====
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 Enfin, le troisième chapitre portera sur l’espace des personnages marginaux dans //L'Enfant chargé de songes//. Ici, grâce à la narration omnisciente, nous aurons accès à ces personnages sans autre intermédiaire. Malgré le fait que Lydie sera le personnage à Enfin, le troisième chapitre portera sur l’espace des personnages marginaux dans //L'Enfant chargé de songes//. Ici, grâce à la narration omnisciente, nous aurons accès à ces personnages sans autre intermédiaire. Malgré le fait que Lydie sera le personnage à
-propos duquel nous élaborerons plus longuement, la marginalité de Pauline et de Camille ne pourra être niée. Une partie, plus imposante, sera consacrée à l’espace de Lydie : d’abord son espace privé, ensuite son espace public. Elle sera suivie d’une partie abordant l’espace de Pauline, principalement composé de l’espace privé, et d’une abordant l’espace de Camille qui est plutôt du côté de l’espace public. Nous serons donc en mesure de tenter d’établir dans quel type d’espace Lydie sera le plus à l’aise et comment se manifeste la marginalité de Pauline et de Camille dans l’espace qu’elles ont +propos duquel nous élaborerons plus longuement, la marginalité de Pauline et de Camille ne pourra être niée. Une partie, plus imposante, sera consacrée à l’espace de Lydie : d’abord son espace privé, ensuite son espace public. Elle sera suivie d’une partie abordant l’espace de Pauline, principalement composé de l’espace privé, et d’une abordant l’espace de Camille qui est plutôt du côté de l’espace public. Nous serons donc en mesure de tenter d’établir dans quel type d’espace Lydie sera le plus à l’aise et comment se manifeste la marginalité de Pauline et de Camille dans l’espace qu’elles ont choisi comme étant le leur.
-choisi comme étant le leur.+
  
   * [[http://savoirs.usherbrooke.ca/handle/11143/2462|Pellerin, 2005, PDF]]   * [[http://savoirs.usherbrooke.ca/handle/11143/2462|Pellerin, 2005, PDF]]
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-BOIVIN, Aurélien, « //Laura Laur // ou l'émancipation d'une enfant terrible », //Québec français//, no 117 (printemps 2000), p. 90-92. +++ Article de revue+BOIVIN, Aurélien, « //Laura Laur// ou l'émancipation d'une enfant terrible », //Québec français//, no 117 (printemps 2000), p. 90-92. +++ Article de revue
  
 LAPLANTE, Annissa, « La délinquance au féminin dans //Flore Cocon// et //Laura Laur// de Suzanne Jacob », mémoire de maîtrise, département des études françaises, Université de Montréal, 1999, 122 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise LAPLANTE, Annissa, « La délinquance au féminin dans //Flore Cocon// et //Laura Laur// de Suzanne Jacob », mémoire de maîtrise, département des études françaises, Université de Montréal, 1999, 122 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise
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 JOSEPH, Sandrina, « Objet de mépris, sujet de langage : l'injure performative et la construction du sujet féminin chez Annie Ernaux, Suzanne Jacob, Violette Leduc et France Théoret », thèse de doctorat, Department of French, University of Toronto, 2006, 359 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise JOSEPH, Sandrina, « Objet de mépris, sujet de langage : l'injure performative et la construction du sujet féminin chez Annie Ernaux, Suzanne Jacob, Violette Leduc et France Théoret », thèse de doctorat, Department of French, University of Toronto, 2006, 359 f. +++ Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise
  
-###« Cette thèse, qui comporte cinq chapitres, a pour objectif de démontrer que, dans certaines oeuvres d'Annie Ernaux, de Suzanne Jacob, de Violette Leduc et de France Théoret, l'énoncé injurieux est un mode d'émancipation pour les narratrices et les personnages féminins. L'injure peut effectivement être une stratégie discursive libératrice qui permet à une femme injuriée de devenir sujet en critiquant les obstacles empêchant son accès à la subjectivité. La démonstration se fera en deux temps : il s'agira d'élaborer une théorisation de l'injure performative au féminin pour ensuite en analyser le fonctionnement dans des textes littéraires qui révéleront différentes stratégies forgées par des femmes répliquant à leurs injurieurs. La femme injuriée qui injurie à son tour (un mouvement appelé la //chaîne paradigmatique injurieuse//) parvient à avoir prise sur le monde extérieur hostile en s'appropriant un langage qui devait la condamner au silence.+### 
 +**Résumé**
  
-Le premier chapitre s'ouvre sur un survol des principaux théoriciens de la performativité (Austin, Récanati, de Souza Filho, Butler, Threadgold) pour ensuite proposer une étude de l'insulte qui en exposera la nature performative, le potentiel subversif. Le second chapitre entamera le volet critique de cette thèse par le biais d'une analyse de //L'asphyxie// et de //La bâtarde//, deux autobiographies de Violette Leduc, où il sera démontré qu'en réponse aux insultes de sa mère, Leduc élabore une stratégie auto-injurieuse qui rend possible sa venue à l'écriture. //Les armoires vides// et //L'événement//, deux textes autobiographiques d'Annie Ernaux auxquels est consacré le troisième chapitre, illustrent quant à eux la déchirure culturelle de l'auteure qui, grâce à son avortement clandestin, répond aux insultes dont elle a été victime en injuriant à son tour et en témoignant de son passé. Pour la poète France Théoret, dont les recueils //Bloody Mary// et //Nécessairement putain// sont étudiés dans le quatrième chapitre, le déplacement de l'injure sexuelle patriarcale à l'injure fécale donne jour à une voix féminine subversive. Enfin, pour les héroïnes de //Flore Cocon// et de //Laura Laur//, deux romans de Suzanne Jacob dont il est question dans le cinquième chapitre, les insultes dont elles font l'objet attaquent leur marginalité qu'elles vont réclamer avec leurs répliques. » +Cette thèse, qui comporte cinq chapitres, a pour objectif de démontrer que, dans certaines oeuvres d'Annie Ernaux, de Suzanne Jacob, de Violette Leduc et de France Théoret, l'énoncé injurieux est un mode d'émancipation pour les narratrices et les personnages féminins. L'injure peut effectivement être une stratégie discursive libératrice qui permet à une femme injuriée de devenir sujet en critiquant les obstacles empêchant son accès à la subjectivité. La démonstration se fera en deux temps : il s'agira d'élaborer une théorisation de l'injure performative au féminin pour ensuite en analyser le fonctionnement dans des textes littéraires qui révéleront différentes stratégies forgées par des femmes répliquant à leurs injurieurs. La femme injuriée qui injurie à son tour (un mouvement appelé la //chaîne paradigmatique injurieuse//) parvient à avoir prise sur le monde extérieur hostile en s'appropriant un langage qui devait la condamner au silence. 
-(Résumé joint à la thèse)+ 
 +Le premier chapitre s'ouvre sur un survol des principaux théoriciens de la performativité (Austin, Récanati, de Souza Filho, Butler, Threadgold) pour ensuite proposer une étude de l'insulte qui en exposera la nature performative, le potentiel subversif. Le second chapitre entamera le volet critique de cette thèse par le biais d'une analyse de //L'asphyxie// et de //La bâtarde//, deux autobiographies de Violette Leduc, où il sera démontré qu'en réponse aux insultes de sa mère, Leduc élabore une stratégie auto-injurieuse qui rend possible sa venue à l'écriture. //Les armoires vides// et //L'événement//, deux textes autobiographiques d'Annie Ernaux auxquels est consacré le troisième chapitre, illustrent quant à eux la déchirure culturelle de l'auteure qui, grâce à son avortement clandestin, répond aux insultes dont elle a été victime en injuriant à son tour et en témoignant de son passé. Pour la poète France Théoret, dont les recueils //Bloody Mary// et //Nécessairement putain// sont étudiés dans le quatrième chapitre, le déplacement de l'injure sexuelle patriarcale à l'injure fécale donne jour à une voix féminine subversive. Enfin, pour les héroïnes de //Flore Cocon// et de //Laura Laur//, deux romans de Suzanne Jacob dont il est question dans le cinquième chapitre, les insultes dont elles font l'objet attaquent leur marginalité qu'elles vont réclamer avec leurs répliques.
  
 //La version PDF de la thèse est disponible pour les membres de communautés universitaires qui ont un abonnement institutionnel auprès de [[http://www.proquest.com|UMI - Proquest]].//### //La version PDF de la thèse est disponible pour les membres de communautés universitaires qui ont un abonnement institutionnel auprès de [[http://www.proquest.com|UMI - Proquest]].//###
  
 +BOISCLAIR, Isabelle, « Laura Laur, personnage hologramme. De l’intersubjectivité dans la littérature », dans //temps zéro//, nº 9 (2015), [en ligne].   +++ Article de revue
  
 +### **Résumé**
  
-BOISCLAIR, Isabelle, « Laura Laur, personnage hologramme. De l’intersubjectivité dans la littérature », dans //temps zéro//, nº 9 (2015) [en ligne].   +++ Article de revue 
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-### **Résumé**\\ 
 La construction particulière de //Laura Laur//, de Suzanne Jacob (1983), effaçant la voix du personnage principal au profit de quatre personnages de son entourage (deux frères et deux amants), est ici prise en exemple pour aborder l’intersubjectivité, selon laquelle tout échange entre deux sujets participe à la production des subjectivités de chacun d’entre eux. Compte tenu du sexe des instances narratives (ce sont quatre hommes qui dessinent, depuis leurs positions respectives, une femme), est aussi considérée la dimension genrée du travail des rapports intersubjectifs dans la constitution du soi. Laura Laur apparaît ainsi comme un hologramme trahissant les attentes des uns et des autres envers le féminin. La construction particulière de //Laura Laur//, de Suzanne Jacob (1983), effaçant la voix du personnage principal au profit de quatre personnages de son entourage (deux frères et deux amants), est ici prise en exemple pour aborder l’intersubjectivité, selon laquelle tout échange entre deux sujets participe à la production des subjectivités de chacun d’entre eux. Compte tenu du sexe des instances narratives (ce sont quatre hommes qui dessinent, depuis leurs positions respectives, une femme), est aussi considérée la dimension genrée du travail des rapports intersubjectifs dans la constitution du soi. Laura Laur apparaît ainsi comme un hologramme trahissant les attentes des uns et des autres envers le féminin.
  
-**Abstract**\\ +**Abstract** 
-The singular construction of Suzanne Jacob’s //Laura Laur// (1983), which effaces the voice of the main character in favour of that of four characters from her entourage (two brothers and two lovers) is taken here as an example for approaching intersubjectivity, an approach according to which every exchange between two subjects contributes to the production of their subjectivity. Taking into account the sex of the narrative instances (four men depicting a woman from their various perspectives), the gendered dimension of the role of intersubjective relations in the constitution of the self is also considered. Laura Laur then appears as a hologram that betrays the various expectations associated with the feminine.\\ + 
-\\ +The singular construction of Suzanne Jacob’s //Laura Laur// (1983), which effaces the voice of the main character in favour of that of four characters from her entourage (two brothers and two lovers) is taken here as an example for approaching intersubjectivity, an approach according to which every exchange between two subjects contributes to the production of their subjectivity. Taking into account the sex of the narrative instances (four men depicting a woman from their various perspectives), the gendered dimension of the role of intersubjective relations in the constitution of the self is also considered. Laura Laur then appears as a hologram that betrays the various expectations associated with the feminine. 
-[[http://tempszero.contemporain.info/document1279|Boisclair, 2015, HTML]] ###+ 
 +  [[http://tempszero.contemporain.info/document1279|Boisclair, 2015, HTML]] ###
  
 LAHAIE, Christiane, « Alice s’en va au cinéma, ou comment museler le roman féministe », //Recherches féministes//, vol. 7, no 2 (1994), p. 81-94. +++ Article de revue LAHAIE, Christiane, « Alice s’en va au cinéma, ou comment museler le roman féministe », //Recherches féministes//, vol. 7, no 2 (1994), p. 81-94. +++ Article de revue
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 //La rhétorique de l'idiot//, (critique)\\ //La rhétorique de l'idiot//, (critique)\\
-Dans l'ombre du fou, sujet de fascination littéraire extrême depuis quelques années, se berce silencieusement l'idiot. De multiples fois illustré par divers auteurs, sa problématique semble se distinguer de celle de l'«illuminé». Souvent aphasique ou possédant très peu de vocabulaire, l'idiot n'est dans la plupart des cas que décrit. Toutefois, certains écrivains ont su lui donner la parole et ce, dans une prose fortement poétique. Parmi ceux-ci se démarquent William Faulkner (//The Sound and the Fury//), Anne Hébert (//Les fous de Bassan//) et Suzanne Jacob (//Laura Laur//) qui, à divers degrés dans leurs récits, ont légué à des personnages d'idiots ou de simples d'esprit les rênes de la narration. Tâche ardue puisque relevant du paradoxe, ces auteurs ont consacré une section entière de leur roman au «discours» d'un personnage caractérisé par son hermétisme. Ce seront d'ailleurs les outils de la nouvelle rhétorique (rhétorique réconciliée des figures et de l'argumentation) telle qu'appréhendée par Michel Meyer dans ses divers ouvrages qui serviront à l'analyse des trois narrations. Il deviendra alors possible d'investiguer l'assimilation nécessaire du sens et de l'argumentation à l'intérieur de ce qu'il serait permis d'appeler un projet commun aux trois auteurs.+Dans l'ombre du fou, sujet de fascination littéraire extrême depuis quelques années, se berce silencieusement l'idiot. De multiples fois illustré par divers auteurs, sa problématique semble se distinguer de celle de l'« illuminé ». Souvent aphasique ou possédant très peu de vocabulaire, l'idiot n'est dans la plupart des cas que décrit. Toutefois, certains écrivains ont su lui donner la parole et ce, dans une prose fortement poétique. Parmi ceux-ci se démarquent William Faulkner (//The Sound and the Fury//), Anne Hébert (//Les fous de Bassan//) et Suzanne Jacob (//Laura Laur//) qui, à divers degrés dans leurs récits, ont légué à des personnages d'idiots ou de simples d'esprit les rênes de la narration. Tâche ardue puisque relevant du paradoxe, ces auteurs ont consacré une section entière de leur roman au «discours» d'un personnage caractérisé par son hermétisme. Ce seront d'ailleurs les outils de la nouvelle rhétorique (rhétorique réconciliée des figures et de l'argumentation) telle qu'appréhendée par Michel Meyer dans ses divers ouvrages qui serviront à l'analyse des trois narrations. Il deviendra alors possible d'investiguer l'assimilation nécessaire du sens et de l'argumentation à l'intérieur de ce qu'il serait permis d'appeler un projet commun aux trois auteurs.
  
   * [[http://digitool.Library.McGill.CA:80/R/-?func=dbin-jump-full&object_id=20455&silo_library=GEN01|Ouellette, 1998, PDF]] ###   * [[http://digitool.Library.McGill.CA:80/R/-?func=dbin-jump-full&object_id=20455&silo_library=GEN01|Ouellette, 1998, PDF]] ###
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 ### L'un des chapitres est consacré à une analyse de //Laura Laur// de Suzanne Jacob.  ### L'un des chapitres est consacré à une analyse de //Laura Laur// de Suzanne Jacob. 
  
-[[http://id.erudit.org/iderudit/038577ar|Compte rendu]] de Lucie Joubert: JOUBERT, Lucie, « Écoutez quand "je" parle », dans //Voix et images//, vol. 35, no 1 (no 103 - automne 2009), p. 132-140.###+[[http://id.erudit.org/iderudit/038577ar|Compte rendu]] de Lucie Joubert sur cet ouvrage : JOUBERT, Lucie, « Écoutez quand "je" parle », //Voix et images//, vol. 35, no 1 (no 103 - automne 2009), p. 132-140.###
  
-MORRIS, Julia, « Le regard-miroir de //Laura Laur// ou comment parler sans dire », // Logosphère: Revue d'Études Linguistiques et Littéraires//, no 3 (2007), p. 113-128. +++ Article de revue+MORRIS, Julia, « Le regard-miroir de //Laura Laur// ou comment parler sans dire », //Logosphère : Revue d'Études Linguistiques et Littéraires//, no 3 (2007), p. 113-128. +++ Article de revue
  
 ### **Résumé** ### **Résumé**
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 DEN TOONDER, Jeanette, « Le sujet féminin nomade : La mouvance spatiale dans //La Vie en prose// de Yolande Villemaire et //Laura Laur// de Suzanne Jacob », dans Louise DUPRÉ, Jaap LINTVELT et Janet M. PATERSON (dir.), //Sexuation, espace, écriture : La littérature québécoise en transformation//, Québec, Nota Bene, 2002, p. 413-430. +++ Chapitre de collectif DEN TOONDER, Jeanette, « Le sujet féminin nomade : La mouvance spatiale dans //La Vie en prose// de Yolande Villemaire et //Laura Laur// de Suzanne Jacob », dans Louise DUPRÉ, Jaap LINTVELT et Janet M. PATERSON (dir.), //Sexuation, espace, écriture : La littérature québécoise en transformation//, Québec, Nota Bene, 2002, p. 413-430. +++ Chapitre de collectif
  
- +LÓPEZ, Marina, « //Laura Laur// : Le miroir déchiré » dans Lídia ANOLL et Marta SEGARRA (dir.), //Voix de la Francophonie (Belgique, Canada, Maghreb)//, Barcelone, Publicacions de la Universitat de Barcelona, 1999, p. 217-223. +++ Chapitre de collectif
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-LÓPEZ, Marina, « //Laura Laur// : Le miroir déchiré » dans Lídia ANOLL et Marta SEGARRA (dir.), //Voix de la Francophonie (Belgique, Canada, Maghreb)//, Barcelone,  Publicacions de la Universitat de Barcelona, 1999, p. 217-223. +++ Chapitre de collectif+
  
  

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