Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine
Richard Millet, Le goût des femmes laides, Paris, Gallimard (Blanche), 2005, 196 p.
« “On m’avait assez répété que j’étais laid : il me fallait le devenir, et j’avais, à quinze ans, assez de jugeote pour deviner que tout se jouerait dans le domaine amoureux, à tout le moins sexuel, puisque, je le savais déjà, j’étais de ceux à qui l’amour est refusé, et qui, par conséquent, doivent séparer ce sentiment du désir qui en est la dimension incendiaire, et consolatrice.”
À travers la confession déroutante d’un homme qui, dès l’enfance, a grandi persuadé que sa mère le trouvait laid, Richard Millet cerne au plus près les tourments de la dissonance et de la solitude, et livre, dans une langue superbe, une singulière éducation sentimentale. »
(Quatrième de couverture)
AUCLAIR, Simon, « Le goût des femmes laides de Richard Millet. Une chirurgie esthétique (Lecture d’une phrase de Richard Millet) », dans René AUDET (dir.), Enjeux du contemporain. Études sur la littérature actuelle, Québec, Éditions Nota bene (Contemporanéités), 2009, p. 69-86. +++ Chapitre de collectif
Le goût des femmes laides (oeuvre) | |
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Titre | Le goût des femmes laides |
Auteur | Richard Millet |
Parution | 2005 |
Tri | goût des femmes laides |
Afficher | oui |