Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine
Marc-Antoine Mathieu, Le processus, Paris, Éditions Delcourt, 1993.
« Si son horloge murale n’avait pas accidentellement avancé, Julius Corentin Acquefacques n’aurait jamais plongé dans un nouveau tourbillon d’aventures kafkaïennes : perdu dans son rêve, il devient voyageur dans sa propre histoire… prisonnier d’une troisième dimension ! »
(Présentation de l’éditeur)
LAMARCHE-AMIOT, Mélanie, « Spirales et anneaux de Möbius dans Le processus et Le début de la fin de Marc-Antoine Mathieu », Tangence, n° 68 (2002), p. 33-49. +++ Article de revue
### Résumé
Marc-Antoine Mathieu, graphiste de métier et bédéiste à ses heures, donne dans Le processus et Le début de la fin/La fin du
début une direction plus qu’inhabituelle au fil qui conduit ses histoires. Il utilise les motifs de la spirale et de l’anneau de Möbius pour échafauder des labyrinthes narratifs complexes. Ces figures
géométriques qui servent d’assises à l’intrigue sont repérables tant dans le texte que dans l’image et leur étude permet de saisir les subtilités d’une chronologie bouleversée par l’intrusion du
rêve dans l’univers du héros.
Le processus [Julius Corentin Acquefacques, prisonnier des rêves. Tome 3] (oeuvre) | |
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Titre | Le processus [Julius Corentin Acquefacques, prisonnier des rêves. Tome 3] |
Auteur | Marc-Antoine Mathieu |
Parution | 1993 |
Tri | processus [Julius Corentin Acquefacques, prisonnier des rêves. Tome 3] |
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