Jonathan Littell

Le Sec et l’humide. Une brève incursion en territoire fasciste, avec une postface de Klaus Theweleit, Paris, Gallimard (L’Arbalète), 2008.

Dans cet essai, Jonathan Littell analyse le langage fasciste du leader belge Léon Degrelle. Pour ce faire, il a surtout travaillé avec les concepts, les images et les figures élaborées par Klaus Theweleit en 1977 dans Männerphantasien, une étude menée sur la « structure mentale fasciste » à partir des romans, des mémoires et des journaux de vétérans de Freikorps allemands de 1918-1923 (v. Le Sec et l’humide, p. 25-27).

DE BACKER, Bernard, « Le fasciste à l’ombre de sa mère », La Revue Nouvelle, dossier « Jonathan Littell de Degrelle aux Bienveillantes », sous la direction de Benoît LECHAT, no 7-8 (juillet-août 2008), p. 56-61. +++ Article de revue

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MINGELGRÜN, Albert, « De Degrelle aux Bienveillantes, Jonathan Littell et l’écriture de la Shoah », La Revue Nouvelle, dossier « Jonathan Littell de Degrelle aux Bienveillantes », sous la direction de Benoît LECHAT, no 7-8 (juillet-août 2008), p. 36-44. +++ Article de revue

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RASSON, Luc, « Le Sec et l’humide ou comment ne pas lire Les Bienveillantes », Romanistische Zeitschrift für Literaturgeschichte, no 3-4 (2011), p. 425-432. +++ Article de revue

UNGAR, Steven, « Out of the Past : The Perpetrator Portrait as Literary and Historical Exercise », Yale French Studies, dossier « Literature and History : Around Suite française and Les Bienveillantes », sous la direction de Richard J. GOLSAN et Philip WATTS, no 121 (été 2012), p. 185-203. +++ Article de revue ===== =====