Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine
Richard Millet, Le sentiment de la langue, Seysell, Champ Vallon, 1986, 124 p.
« Un livre comme Mallarmé disait ne pas les aimer – «épars et privés d’architecture». Il en publia néanmoins un volume et Valéry, plusieurs : livres issus d’occasions et de carnets divers, constituant ce qui n’est ni vraiment un genre littéraire ni un simple rassemblement d’écrits, mais un mélange.
La langue, la musique, la peinture, l’enseignement, la Corrèze, les mystérieuses architectures du sonore et du silence dans la mémoire : tels sont les points d’intensité, ou d’attraction, que nous ressassons ou qui nous hantent et que ce livre ne saurait épuiser. »
(Quatrième de couverture, éd. complète, Gallimard)
ROGER, Jérome, « L’essai, point aveugle de la critique ? », Études littéraires, vol. 37, n° 1 (automne 2005), p. 49-65. +++ Article de revue
Le sentiment de la langue (oeuvre) | |
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Titre | Le sentiment de la langue I |
Auteur | Richard Millet |
Parution | 1986 |
Tri | sentiment de la langue I |
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