Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine
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Philippe Delerm, Les amoureux de l’hôtel de ville, Paris, Éditions du Rocher, 1993, p.
« “Le Baiser de l’Hôtel de Ville. Je n’aimais pas cette photo. Tout ce noir et blanc, ce gris flou, c’était juste les couleurs que je ne voulais pas pour la mémoire.”
La librairie où François travaille ferme ses portes ; à l’approche de la quarantaine, il se retrouve face à lui-même. Les souvenirs se bousculent, amplifiés par la vogue des années cinquante. Il éprouve alors le sentiment d’être dépossédé de son enfance. Pourquoi ses parents ont-ils toujours prétendu être les amoureux que l’on voit sur cette photo de Doisneau ? »
(Quatrième de couverture, édition Folio)
VESTBERG, Nina Lager, « Photography as Cultural Memory : Imag(in)ing France in the 1950s », Journal of Romance Studies, vol. 5, n° 2 (été 2005), p. 75-90. +++ Article de revue
Les amoureux de l'hôtel de ville (oeuvre) | |
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Titre | Les amoureux de l'hôtel de ville |
Auteur | Philippe Delerm |
Parution | 1993 |
Tri | amoureux de l'hôtel de ville |
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