Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine
Christian Gailly, Les évadés, Paris, Éditions de Minuit, 1997, 256 p.
« Le jeune Jérémie Tod ressemble trop à son père. On va le lui faire payer. En pleine rue, on le fait battre par un policier. Un homme, Théo Panol, intervient. Maladroit, il tue le policier. Il est arrêté, jugé et condamné : trente ans de réclusion. Ses amis décident de le faire évader. Les chances de réussite sont à peu près nulles. Ils vont quand même essayer. »
(Quatrième de couverture)
BERTINA, Arnaud, « Gailly, l’ironie, le jeu, les personnages. De L’incident à La passion de Martin-Fissel-Brandt », Prétexte, n° 20 (hiver 1999), p. 45-49. +++ Article de revue
GALLI PELLEGRINI, Rosa, « Techniques narratives, techniques cinématographiques dans Les évadés de Christian Gailly », dans Matteo MAJORANO (dir.), La caméra des mots, Bari, Graphis, 2007, p. 22-32. +++ Chapitre de collectif
Les évadés (oeuvre) | |
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Titre | Les évadés |
Auteur | Christian Gailly |
Parution | 1997 |
Tri | évadés |
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