Auteurs contemporains

Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine

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Nuit blanche en Balkhyrie

Antoine Volodine, Nuit blanche en Balkhyrie, Paris, Gallimard (Blanche), 1997, 192 p.

« Breughel a subi une lobotomie qui l’a privé du sens de la durée, mais pas de ses passions essentielles. Et, quand la guerre éclate en Balkhyrie, il n’a pas besoin de longtemps réfléchir pour choisir son camp : ce sera celui de la nuit, de la violence et de la défaite. Dans le clair-obscur lunaire, Breughel rassemble ceux qu’il aime, tous ses amis hommes, femmes, animaux, dictateurs et poupées, et il essaie de tenir jusqu’à la fin. Pour sa très chère Molly, pour la très émouvante Tariana et pour les gueux qui ont survécu, il compose des opéras et met en scène des histoires d’amour. Comme la Balkhyrie a été détruite, plus rien n’empêche d’imaginer qu’on va y instaurer, fût-ce pour quelques heures, un paradis égalitariste et fraternel. Mais l’appel des décombres est trop fort.
L’utopie sombre dans les flammes… Et seul subsiste l’au-delà : c’est-à-dire l’humour noir. »

(Quatrième de couverture)

Documentation critique

KELLY, Van, « Du bon usage des ruines : Feux croisés de Céline et de Volodine », dans Marie-Hélène Boblet et Bernard Alazet (dir.), Écritures de la guerre aux XXe et XXIe siècles, Dijon, France, Éditions Universitaires de Dijon, 2010, p. 143 -153. +++ Chapitre de collectif

Nuit blanche en Balkhyrie (oeuvre)
TitreNuit blanche en Balkhyrie
AuteurAntoine Volodine
Parution1997
TriNuit blanche en Balkhyrie
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