Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine
Marie NDiaye, Quant au riche avenir, Paris, Minuit, 1985, 120 p.
« Les parents du jeune Z moururent lorsque celui-ci n’était encore qu’un enfant et ce fut une vague tante qui l’éleva. Les rapports distants, presque soupçonneux, que, circonspect de nature, il entretenait avec sa Tante, femme avisée, grave et peu expansive, par leur étrangeté l’amenèrent très tôt à réfléchir sur l’existence qui était la sienne, puis, comme son expérience s’élargissait au fil des années, à mille autres choses, qu’il faisait cependant toujours, de près ou de loin, revenir à lui-même. »
(Extrait de l’incipit, Éditions de Minuit, 1985.)
COTTILE-FOLEY, Nora, « Les mots pour ne pas le dire ou encore l’indicibilité d’une visibilité frottée de fantastique dans les oeuvres de Marie NDiaye », Revue des Sciences Humaines, dossier « Marie NDiaye : l’étrangeté à l’oeuvre. », n° 293 (janvier-mars 2009), p. 13-23. +++ Article de revue
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Quant au riche avenir (oeuvre) | |
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Titre | Quant au riche avenir |
Auteur | Marie NDiaye |
Parution | 1985 |
Tri | Quant au riche avenir |
Afficher | oui |