Discours critique sur les œuvres de littérature contemporaine
Daniel Oster, Rangements, Paris, P.O.L., 2001, 279 p.
« “Je ne lis pas, je délie.” Dans Rangements, Daniel Oster, avant la mort qu’il sait proche, reprend les questions qui ont fondé son œuvre, cherchant à débrouiller, parfois à rompre, les fils qui attachent langage, pensée, écriture dans l’« ancienne et très vague pratique », particulièrement lorsqu’elle use du « Je » ou du « Moi », qu’elle se veut biographique ou autobiographique. Par la référence érudite, l’expérience de l’écriture, par des bribes d’un impossible journal intime, par la dérision et la parodie, l’analyse (parfois la dénonciation) de quelques postures d’écrivains, il démontre que nul ne peut s’écrire, sinon comme fiction. »
(Quatrième de couverture)
ECHINARD-GARIN, Paul, « Daniel Oster, deleatur, moriendo : À propos de Rangements », French Forum, vol. 29, n° 1 (hiver 2004), p. 101-112. +++ Article de revue
### Oster, 2004, PDF ###
Rangements (oeuvre) | |
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Titre | Rangements |
Auteur | Daniel Oster |
Parution | 2001 |
Tri | Rangements |
Afficher | oui |